Chapitre 17

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Miraculeusement tout s'était bien passé, tellement bien qu'ils se demandèrent s'il n'y avait pas quelque chose qui clochait.

Jungwoo et Doyoung s'étaient dirigés chez les parents de Jungwoo car celui-ci habitait trop loin et que sans s'en rendre vraiment compte, il avait envie que ses parents s'en veuillent de lui avoir caché sa mort. De plus, la police aurait cherché directement chez Jungwoo, mais aussi chez ses parents, c'est pourquoi il s'agissait d'un endroit temporaire. Le temps qu'ils se rendent compte que Doyoung avait disparu, et qu'ils se mettent à chdrcher ils avaient une petite marge.

Les parents de Jungwoo avaient réagi de maniere etrange lorsqu'ils virent Doyoung pour la première fois depuis des années. Au lieu de s'excuser ou de s'en vouloir, ils paraissaient s'intéresser à lui de manière malsaine. Ils voulaient tout savoir de Doyoung, ses moindres habitudes.

Doyoung et Jungwoo lui même, étaient plus qu'embarrassés et ne répondaient a rien jusqu'à ce que le père de Jungwoo s'exclama:
-Si j'étais vous je coopérerai, parce que si vous le faites pas, nous n'allons pas le faire non plus.

-Je vous demande pardon? C'est quoi ces conneries? C'est quoi votre problème? Et comment vous savez? Jungwoo questionnait ses parents qu'il ne reconnaissait plus. C'était comme s'il avaient été changés par la simple présence de Doyoung.

- Nous partirons demain matin sans faute. Dit Doyoung plus calme que Jungwoo.

L'ambiance du repas était pesante, mais cela n'enlevait pas la bonne humeur de Doyoung qui se sentait libre.

Tandis qu'ils rejoignaient leurs habitations dans un mini studio aménagé en face de la maison des parents de Jungwoo, Doyoung tentait de rassurer Jungwoo.

Ils posèrent leurs affaires au pied de leur lit, alors que Jungwoo tirait Doyoung sur lui pour l'enlacer.

-Mes parents n'ont aucun droit sur toi, sache le. Jungwoo lui pris le menton et l'embrassa tendrement.

Ils commencèrent à s'embrasser de plus en plus sérieusement. Ils prenaient leur temps. Leurs langues jouant avec leur conjointe, ils avaient succombé l'un a l'autre.

Ils commençaient à être excités l'un de l'autre.
Jungwoo pris la main de Doyoung doucement, et enlaça ses doigts à la sienne.
-Est-ce que tu le veux vraiment? Demanda Jungwoo au préalable.
Doyoung l'embrassa pour pallier a la réponse.

Jungwoo le regard plein d'envie, tint encore une fois le menton de Doyoung.

-J'ai besoin d'une vraie réponse. Il faut que je sache si tu es consentant.

-J'ai... terriblement envie de toi Jungwoo... Est ce que c'est suffisant comme réponse?

Jungwoo sourit en l'embrassant encore.
La tension était tellement forte qu'ils sentait leurs veines pulser a un rythme soutenu.

Jungwoo cherchait un préservatif dans son sac tout en deshabillant Doyoung.

Jungwoo découvrait le corps grandi de Doyoung et le trouva terriblement beau. Il commença a lui laisser une traînée de bisous le long de son cou et ses épaules. Doyoung respirait fort.

Doyoung pris lui même l'initiative de se mettre en sous vêtements devant Jungwoo qui fit de même. L'ambiance de la piece s'était réchauffée. Leurs boxers s'étaient élargis sous leur sexe excités.

Ils s'étaient servis de leur salive comme lubrifiant comme ils n'en avaient pas.

Ils avaient essayé une première fois, mais Doyoung n'était pas tout a fait prêt. Il avait mal, un bout seulement du sexe de Jungwoo était rentré et Doyoung avait versé quelques larmes.

-Mon amour, je suis désolé. Comment te sens-tu? Veux-tu arrêter?

- Continues, je t'en supplie.

Alors Jungwoo entra en Doyoung non sans mal. Doyoung qui était haletant, pris son souffle plusieurs fois avant de commencer a bouger lui même sur le sexe de Jungwoo.

C'était d'une telle alchimie que c'en était vraiment beau. Leurs corps parlaient pour eux mêmes. La douleur de Doyoung laissait place progressivement au plaisir.

Jungwoo grogna en sentant Doyoung bouger sur son sexe. C'était un rêve a peine imaginable.
Il pris Doyoung par les hanches et le pénétrait plus fort, plus loin.

Tantôt doux et lent, tantôt assez brutal et puissant, ils laissaient le plaisir s'exprimer.
C'était une tension qui grandissait au fil du temps qui passait.

Ils frissonnaient sous le plaisir, s'accrochant l'un a l'autre, s'embrassant inlassablement.
Les coups de reins étaient réguliers et sensuels et lorsqu'ils virent Doyoung eu des spasmes de plaisir.

Jungwoo se retirait de Doyoung lentement. Et l'attirait vers lui en lui chuchotant:
-Je t'aime Doyoung.

-Et je t'aime aussi mon Colonel.

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(Désolé si c'est mal écrit, c'est mon premier lemon) :'(((((((

Read me/ DowooOù les histoires vivent. Découvrez maintenant