La jeune Danielle est une étudiante en psycho-criminologie. D'un optimiste débordant et d'un sourire toujours collé au visage elle va être accepté en période d'essai au pénitencier de Sainte-Anne comme psycho-criminologue grâce a ses bonnes notes.
M...
Assise dans l'herbe, près d'un ruisseau, elle écrit, les mots s'entrecroise dans de légères arabesques. Elle replonge la plume dans l'encre. Le soleil tape fort, mais a l'ombre d'un arbre et de son large chapeau, elle ne crain rien, la légère brise qui se font soulever les pages de son cahier la fait rester dehors et supporter cette chaude journée de fin d'été. Elle ne note pas la présence de l'homme derrière elle jusqu'à ce que ses mains se pose doucement sur ses yeux.
- Qui est-ce ? La jeune femme ria en posant ses mains sur celles de l'homme.
-Louis retirez vos mains, je vais mettre de l'encre partout ! L'homme retira ses mains et pris place à ses côtés.
-Comment vous portez vous ma douce ?
- Bien, merci. Ne posez vous pas la question pour ton enfant ?
Il posa sa main sur le ventre arrondit de la jeune femme
- Je ne m'inquiète guère, cet enfant à naître à la meilleure mère qu'il soit.
Il lui sourit avec tendresse et elle lui rendit cette douceur. La guerre lui semblait si loin ici, dans sa campagne avec l'homme qu'elle aime.
- Comment se porte la boutique ?
- Bien, mais il commence à y avoir moins de monde, les gens fuis, ils on peur que les combats ne rejoigne la ville. Mais si nous venons à être dans le besoin, mes parents pourrons nous aider.
- C'est gentil. Tout ça me fait peur, je ne veux pas que notre enfant naisse dans le feu et le sang.
- Moi aussi. Mais tout ira bien. J'ai confier la boutique à mon ami Philippe Barbet et son épouse. Ils prendrons soin de vous.
- Pourquoi avoir fait tout ça ?
- Je veux m'inscrire pour me battre.
- Non ! Ne faites pas ça. Et si vous mourrez?... Laissez donc se battre ceux qui ne peuvent se permettre le luxe de fuir le champs de bataille.
- Ne dite pas ça. Ma vie ne vaut pas plus que celle d'un autre uniquement car j'ai de l'argent. Et si je leur, parler de moi a notre enfant comme un héro.
Il embrassa son front. Le lendemain, il parti s'inscrire. Deux jours plus tard, il avait rejoint les autres soldats.
Un peut plus d'un mois c'était écouler depuis le départ de Louis De Bruguière, elle n'avait plus eu de nouvelles depuis bientôt cinq jours. Aujourd'hui, il faisait froid. Elle c'était installer devant la cheminée avec un livre. Elle devait y être depuis une bonne heure déjà lorsqu'on frappa à la porte. Elle se leva pour ouvrir alors qu'un corps a peine conscient lui tomba dans les bras
-Louis ?! Elle le tira à l'intérieur
-Antoinette... Enfuis toi...
Elle n'eu pas le temps de dire quoique ce soit que la porte qu'elle venait de fermer fût enfoncée. Trois hommes entrèrent.
- C'est donc la que tu voulais te cacher traître ? Tu est rentré voir ta tendre épouse.
Il ris alors que ses yeux glissèrent sur le corps de la jeune femme jusqu'à s'arrêter sur son ventre.
-Ta tendre épouse et ton futur gamin.
Il ricana de nouveau et dégréna son épée. En quelque secondes, elle traversa la chaire. Elle s'effondrât, la lame avait traversé son ventre, probablement empalé la tête du fœtus. Ecrouler dans un mélange de larme et de sang, elle vit l'homme de sa vie se faire trancher la gorge. Une dernière larme roula sur sa joue avant que ses yeux ne se ferme.
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Hey, ça va vous ? Moi très bien XD
On dit "merci" à la dessinatrices (comme d'habitude),qui nous a fait une représentation de Antoinette et Louis au petits oignons :3
N'hésitez pas à commenter. Je vous l'ai déjà dit mais c'est un vrai moteur pour moi :3
