Sale temps

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Combien de temps c'est écouler depuis son arrivée ? Un mois, probablement plus. Pour ne pas parler qu'a Chernobog et histoire de marcher un peut, il continue de prendre rendez-vous avec Danielle. Il ne se confie toujours pas. Ensembles, ils parlent de tout et de rien, mais ça ne semble pas poser problème. Avec elle, il retire son bandeau, c'est plus agréable. Et puis, point non négligeable, elle n'avait pas eu peur. Ni de sursaut, ni de cris, pas même un peut d'inquiétude. Elle n'avait qu'hausser un sourcils. Puis elle l'avait questionner, c'était intéressée à sa façon de vivre. Ça avait suffit a lui faire plaisir, ça fait longtemps qu'on ne lui avait pas porter ce genre d'attention.

Dans tous les cas, il avait finis par s'habituer à sa présence parfois envahissante et à son sourire permanant. Tout les jours il attendait qu'elle vienne le voir avec son repas. C'était, en dehors des rendez vous, les seules fois ou il pouvait discuter avec quelqu'un d'autre que Chernobog.  Mais bien qu'il commencer à supporter la présence de Danielle, elle ne ferait pas exception à son plan.

Certains gardiens qui c'était habituer a sa présence passer de temps en temps devant sa cellule pour se moquer de lui. Comme pour se venger de la crainte qu'il leur avait aspirer à son arrivé. Ces abrutis, le moment venue, serait les premiers à mourir. 

- Alors le monstre, comment ça va la vie dans ton superbe appartement grand confort ?

Du sarcasme ? Quel originalité. Il avait pris l'habitude de les ignorés. D'autant que ces abrutis était de l'autre côté d'une porte blindée, ce qui les protéger d'une éviscérations certaine. T'en pis pour lui, t'en mieux pour eux.
Et puis "monstre", il ne pouvait pas leur donner tors, c'est ce qu'il était. Le traiter de monstre revenait à les traiter d'humains, aucun intérêt concret. 
Si ces gardiens savait qu'un démon Slave était son coloc' de cerveau, serait-ils toujours aussi chiants ? Peut-être bien, qui sait. 

Mais passons, pour l'instant, son problème majeur était que ces abrutis était toujours là et qu'ils l'empêchait de dormir. Ho bon sang, il avait envie de leur arracher la langue. Juste la langue et leur faire bouffer !
Il inspira profondément. Il ne devait pas perde pied, si ça arriver, il était fichus.

- Jack ?

jack ? Lui ? Non, il s'appelle Jackson, pas Jack. C'est un surnom qu'il n'aime pas. Ou...N'était il pas "Eyeless Jack" ? Bon sang, son cerveau était en train de surchauffer, c'était un bazars sans nom, une vrai galère et dire qu'à la base il ne voulais faire qu'une sieste.

D'un coup tout s'arrêta, mais sa joue lui fessait mal. Qui était l'énorme enfoiré qui avait décider de signer son arrêt de mort ?

-Pardon... Je vous ai pas fait trop mal ?

"Pardon", "pas fait trop mal" ? Tien donc. Enfoiré au féminin visiblement et pas d'arrête de mort pour celle là.
Il retira son bandeau pour croiser le regard de Danielle. Pas souriant, juste inquiets. 

-Tu es complètement conn-

-Si vous m'insulter je vous en colle une autre. Lui répondit elle durement. Cette fille pouvait, visiblement, se lever du pied gauche aussi. Quoi que... Maintenant qu'il y regarder bien, ses griffes enfoncées jusqu'à la première phalanges dans le poignet de la jeune fille avait du aider à sa mauvaise humeur et rendait cette gifle plutôt légitime.
Il la lâcha et lécha ses doigts.

-Pardon. Dit-il platement. La jeune femme resta silencieuse pendant que les cinq petits creux se refermèrent. Elle soupira.

-Ce n'est rien. Disons simplement que nous somme quittes. Comment vous sentez vous ?

-Tu as une sacré force.

-Je ne parle pas de ça. Vous aviez l'air en pleine crise de "je ne sais quoi". Une crise bien à vous je suppose.

-Ha bon ? 

-Vous m'avez enfoncé vos griffes dans la peau volontairement ?

-Non.

-Et bien vous avez votre réponse. Une sorte de transe j'imagine. Vous êtes sur de ne pas vouloir parler un peut ? il ne répondit rien alors elle continua. Vous avez du vous en rendre compte, mais avec l'ennuie vous êtes plus à même d'être confronté a vos angoisses. Je ne vous oblige à rien, cela va s'en dire. Mais j'avoue que je m'inquiète...

-Pour moi ?

-Pour les autres.

Evidement, pourquoi s'inquiéter pour lui ? Les gens normaux sont plus important.

-Mais oui, pour vous aussi. La priorité aux autres car un "laisser aller" de votre part dû à vos angoisses leur sera plus fatal qu'à vous. C'est n'est qu'après coup que vous souffrirez. Lorsque vous aurez tué tout le monde et que vous seriez seul avec vous même, vous n'auriez plus rien pour vous évader de vos peurs... 

- Danielle. Si je te parle, qu'est ce qu'il se passera ? 

-Vous irez mieux.

-C'est un fait ?

-C'est une promesse.

Aisssh. Fin de ce chapitre

J'espère que cette histoire vous plait toujours malgré sa publication irrégulière ^^. N'oublier pas le piti commentaire qui fait plaisir (j'ai l'impression d'être youtubeuse XD) et je vous dit a la prochaine ^^

(CreepyPasta E.J X Oc) You Are Mine And Only Mine...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant