On est parti pour le chapitre 2 !!!!! C'est parti mon kiki hehe !!
Je viens de réaliser que j'écris ça à Halloween et que Baji est mort à Halloween. C'est très symbolique...Je précise juste un point sur l'oc :
son prénom c'est Akira et son nom c'est Ito, pas l'inverse. Je préfère le dire comme ça je suis sûre qu'on est sur la même longueur d'onde et tout et tout._______________________________
Lundi 4 septembre 2007~12h30~Lycée Sakura, Tokyo
PDV Baji :
Ito : Tu t'es planté un couteau dans le ventre ?!
Moi : Ouais le jour d'Halloween, ça mets dans l'ambiance...Après notre petite discussion dans les couloirs du premier étage et une rapide visite des salles que nous dépassions en sortant du bâtiment principal, j'ai amené Ito sur un banc près des labos de sciences. Ça doit bien faire 20 minutes qu'on est assis là mais nous sommes tellement plongé dans la conversation qu'on en oubli de mangé. Nos bentos, posés entre nous, sont encore soigneusement encore emballés dans leur carré de tissu.
Ito: Mais t'es complètement fou. Ça veut dire que t'as passé ton anniversaire à l'hôpital ?
Elle se rappelle de ma date d'anniversaire ?! Moi j'ai oublié la sienne...
Baji: Ouais, c'est pas ouf pour les 15 ans mais tout le monde était à mes petits soins !
Ito: Mais c'est vrai t'as pas un an de plus que moi ? Je me rappelle que tu nous appelais les petites avec Teruko à la primaire.
Moi: C'est vrai... J'ai redoublé l'année ma quatrième... Pour faire plaisir à ma mère je donne tout ce que je peux mais chaque année je passe de justesse. Je veux pas qu'elle s'inquiète pour moi...
Elle ne me répond pas, elle se contente de me regarder. Moi je préfère reluquer mes chaussures, un peu intimidé de m'ouvrir alors que je ne l'ai pas vu depuis des années. Je sais qu'elle ne me juge pas, elle n'est pas comme ça. C'est juste bizarre pour moi de raconter ce que je ressens vraiment.
Ito: T'as pas changé.
Moi: Hm ?
Ito: Au-delà du simple fait que tu as toujours les mêmes traits, tu as encore le même discours à propos de ta mère, après 8 ans.
Moi: 7 ans et 9 mois.
Ito: Tu comptes les jours ?
Moi: J'ai fais des bâtons sur les murs de ma chambre.
Elle rigole en commençant enfin sa boulette de riz. En avalant une bouchée, elle ajoute le bouche pleine,
Ito: Tu chais je chuis contente d'être revenue. Chinon je n'aurais jamais connu les merveilleuses hichtoires de Baji !
Lundi 4 septembre ~ 16h~ Lycée Sakura, Tokyo
PDV Akira :
Mon après-midi à ensuite été occupé par une heure de matières scientifiques dans laquelle j'ai cherché le moyen de rendre intéressant un chapitre que j'avais déjà vu à Okayama, et puis deux heures de littérature japonaise. De quoi s'endormir. La meilleure partie fut le club. Je me suis inscrite en photographie, comme dans mon ancienne ville. Ici nous avons seulement fait un tour de l'établissement alors que là bas on faisait des shootings dans les champs, sur les cours d'eau ou dans les petites rues typiques de la campagne japonaise.
En quittant la salle du club où nous venons de ranger le matériel je vois Baji qui sort descends les escaliers à toute vitesse. Qu'est-ce qu'il faisait au premier étage ? Je retourne à ma conversation avec les membres de mon équipe quand je comprends que l'on me pose une question. Ils sont tous super sympas et mon très bien accueilli.
Comme certains du groupe, je les abandonne pour aller remettre mes chaussures de ville et rentrer chez moi, dans ma chambre, mon cocon calme et sans ces flux d'élèves. J'adore être entourée de plein de mes amis, mais retrouver mon accalmie au bout de quelques heures est très important pour moi. Je remplace ma paire de basket dans mon casier par ma paire de pantoufles et prend le chemin vers la sortie. En arrivant dans la large allée conduisant au portail vert sapin, je vois Baji sortir avec une moto d'une remise en tôle. Je m'approche de lui.
Moi: Elle est trop stylé !
Baji: Merci.
Moi: C'est pas dangereux de conduire ça à ton âge ?
Baji: Mais un mec de gang sans moto c'est comme... c'est comme...
Moi: Un samouraï sans katana ?
Baji: Exact. Je te ramène ? T'habite où maintenant ?
Moi: Au 34 rue *******.
Baji: C'est à côté de chez moi ça !
Moi: L'immeuble juste de l'autre côté de la route. Mais je monterai pas avec toi. Pas envie de crever.
Il enfourche son deux roues, lève la béquille et allume le contact. Pour finir il détache ses cheveux jusqu'à là nouer en une queue-de-cheval basse. Je réalise seulement que c'est cheveux sont plus longs que les miens.
Baji: Comme tu veux. Oh demain y'a une évaluation de maths.
Moi: Ah bon sur quoi ?
Sans même me répondre le noiraud appuie sur l'accélérateur et disparaît, certainement trop vite pour les limitations de la villes, dans les avenues de Tokyo. Il me laisse
Je rentre chez moi et croise ma mère qui aide mon petit frère à faire ses devoirs.
Maman: Alors Aki comment c'était ta première journée ?
Moi: Bien, j'ai des bons profs mais c'est un peu dur de se recaler sur le programme des autres.
Maman : Bien sûr. T'as parlé avec des gens ?
Moi: Je suis dans la classe de Baji.
Maman: Baji Keisuke ? Je me rappelle bien de lui. Mais il a pas 1 an de plus que toi normalement ?
Moi: Si mais il a redoublé
Maman: Ah zut, c'est des choses qui arrivent. Mais si tu veux que tout se passe bien il faut bien travailler alors concentre-toi sur tes exercices de japonais Koji.
Koji: Bah moi j'me suis fait plein de copains aussi, j'ai même déjà gagné des billes !
Koji Ito, c'est mon petit frère il a 10 ans, il peut être très mignon quand il veut mais il est surtout trop plein d'énergie. J'adore mon petit frère, il est toujours très généreux et serviable. Il adore aider ma maman à cuisiner. Mais le seul moment où tout est vraiment calme est quand il est au lit.
Après mon débriefing de la journée, je suis partie dans ma chambre et j'ai travaillé jusqu'à l'heure du dîner. Je me suis endormie très vite ce soir à cause de ma journée qui m'a demandé bien trop d'énergie.
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T'as presque pas changé...
FanfictionEN RÉÉCRITURE !!!!!!! (donc ça peut-être le bazar entre les chapitres) Retrouver un vieil ami des années après, retrouver des délires des années après, retrouver des sentiments des années après... C'est drôle de retrouver quelqu'un qui n'a pas chang...