Chapitre 11: Combat et Départ

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Salut! Voici la suite dans le contexte de la Guerre des Clones. En espérant que cela vous plaise. N'hésitez pas à voter ou à commenter. Ci-dessus, une représentation de Kyria, dans sa tenue de Jedi.

Point de vue de Kyria

Des mois ont passé depuis notre mariage et nos noces, qui n'ont duré que quelques jours. La guerre était arrivée, poussant les Jedis à guider les clones dans cette guerre galactique. Par conséquent, je me retrouvais à la tête d'une escouade. La 177e . Cela me dérangeait d'avoir un tel rôle, même si les circonstances m'y obligeaient. Pour moi, les Jedis n'étaient pas censés être des généraux. Ce n'étaient pas leurs rôles !

Maintenant, je me retrouvais dans une planète dans la bordure intérieur, défendant une ville contre l'invasion séparatiste. Cette dernière était survenue deux semaines plus tôt, surprenant la défense planétaire. La République répondit à l'appel de détresse, en nous envoyant en renfort. Toutefois, arrivé sur place, on s'était vite rendu compte de l'ampleur de la tâche au-quelle on était confronté. Après plusieurs jours à livrer bataille, dans cette ville, on a dû demander des renforts, afin de pouvoir les repousser. Malheureusement, les Séparatistes s'en étaient rendus compte et ont donc lancé un assaut massif, afin nous obliger à se replier.

Cependant, je ne comptais pas abandonner les civils et j'avais donc du adapter la défense, pour garantir une sécurité des civils et leur laisser un point d'évacuation.

J'avais réparti mon escouade, en plusieurs séries de défense. Afin de garantir une meilleure protection aux habitants et leur permettre d'éviter les zones de conflits. Le sabre violet allumé, je déviais les tirs, pour protéger mes troupes et les éventuels trainards.Quant aux clones, ils continuaient à répliquer par un feu nourri, usant des bâtiments vides comme abri contre les tirs ennemis. La météo, décidant de préférer les combats rapprochés. En effet, l'orage frappant et le brouillard, ne donnaient aucune visibilité pour l'artillerie ou le soutien aérien. C'était donc un combat de guérilla, où chaque camp se battait avec férocité.

Moi, en parant un tir : Statut des civils, capitaine ?

Capitaine : Tous les civils sont éloignés de la zone de danger. Prêts pour une éventuelle évacuation.

Moi : Bien.

A peine ai je fini la phrase, que j'entendais un bruit de missile tiré, suivi de celle d'une explosion, venant d'un grand bâtiment. Le haut s'écroulant, menaçant de nous écraser. Je levais aussitôt les mains pour ralentir la chute, et nous donner la possibilité de nous écarter, en usant de la Force. Le poids écrasant, fit trembler mes bras, puisant dans mon mental. Une fois assurée que les soldats étaient hors de danger, je m'écartais par un saut, en usant de la Force. La poussière dégagée par les débris, obscurcissaient notre vision, mais je n'avais pas besoin de voir, pour parer les tirs. La Force était mon alliée et je la laissais guider mes gestes Bien que les efforts précédents, firent trembler mes membres et de la sueur perla de mon front. Cela, s'ajoutant à ma fatigue dû à des jours intenses de combat.

Capitaine : La ligne de front devient intenable, madame ! Nous devrions nous replier !

Moi : Si on se replie, ils pourront déployer leurs forces, pour nous entourer et menacer les voies d'évacuations. On doit tenir cette ligne ! Sinon, on ne pourra pas tenir le reste et garantir la sécurité des civils !Et plus rien ne les arrêtera, ensuite.

A ces mots, je dégainais ma deuxième lame et me lançais à l'assaut. Je parais les tirs venant dans ma direction et usa des débris m'entourant, comme projectile. Cela me permettait une ouverture, pour me glisser en travers de leurs lignes. J'usais de mon agilité et de ma vitesse, pour couper tout ce qui se passait à ma portée.

La Gardienne de l'EluOù les histoires vivent. Découvrez maintenant