Chapitre 38: Secret dévoilé

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Salut! Voici la suite avec la fameuse fin de l'épisode 5. N'hésitez pas à voter (si vous aimez) ou à commenter.

Point de vue de Luke

Je m'attendais à une grande difficulté face à Vador. Je ne pensais pas que le fossé de niveau était si grand! Le seigneur noir se jouait de moi, parant sans aucune difficulté mes coups. Tout ce que suis parvenu à faire, était de parer ses coups. J'ai failli succomber à ma colère contre lui. Néanmoins, je parvins à me contrôler, jusque là. Je savais que je n'arriverai pas à gagner par l'expérience ou la force. Il me fallait trouver une solution. Réfléchis Luke...

Emporté par ma réflexion, je ne fis pas attention où j'allais, jusqu'à entendre se fermer derrière moi, soudainement. Je regardais avec attention. Devant moi, il y avait une fenêtre circulaire, entouré de différentes machines, devant sans doute gérer la gestion électrique de la station. On devait se situer en son cœur, à en juger par le souffle du vent à l'extérieur. Je fermais les yeux, me concentrant sur la Force pour repérer Vador. Suivant le conseil de Kyria, j'utilisais ma colère pour me donner de l'énergie, tout en ne franchissant pas le cap vers l'obscurité. Comment remporter mon combat contre le cyborg qui semblait hors d'atteinte?

Soudain, j'entendais une respiration à ma droite, me faisant me retourner. Je voyais l'ombre noire aller vers moi, sa lame rouge allumée. Sa silhouette imposante semblant m'écraser, niveau taille. Il me toisa, en silence, avant de se mettre en position de garde. Cette fois, je n'allais pas me jeter, sans réfléchir. Je trouvais cela étrange qu'il ne bougea pas. Soudain, mon instinct m'indiqua un danger derrière moi. En me retournant, je vis un pilier énergique vers moi, que je tranchais d'un coup net. Le seigneur sith en profita pour m'attaquer. Par la suite, je ne le laissais pas porter le premier coup, afin de profiter de son avantage. On fit quelques échanges avec nos lames, avant de sentir un objet frapper ma tête, me déconcentrant et me sonnant légèrement. Il recula et me lança plusieurs objets. Cette fois, j'usais de la Force pour les repousser au mur. Soudain, je sentais un danger et eus tout juste le temps de voir un autre pilier, foncer vers moi. Je parvins à me décaler sur le côté, juste à temps pour éviter le projectile qui brisa la vitre. Je tentais vainement de résister au souffle, tentant de m'attirer vers le vide. Malheureusement, la force du vent était trop fort et je ne pus résister davantage.

Je chutais dans le vide et parvins à m'accrocher juste à temps à la rambarde, pour ne pas tomber davantage. Avec efforts, je parvins à me redresser, reprenant mon souffle en voyant le destin que je venais d'échapper. Je ne savais pas où cela mènerait et si même cet abysse avait une fin. Cependant, je n'avais pas envie de le savoir. Comment j'allais m'en sortir? Je fermais les yeux, essayant de calmer ma peur dominant.

Une flamme familière vint me prendre dans son étreinte, calmant petit à petit ma terreur. Celle de la présence de mère. Sitôt calmé, je me relevais et me remis en route, pour faire face à l'homme ayant détruit ma vie et tant d'autres. Je continuais ma route, m'enfonçant dans les entrailles de la station, le sentiment de malaise parcourant mon être, me faisant sortir mon arme. Je m'y enfonçais, les sens aux aguets.

Soudain, il sortit de nulle part, m'obligeant à reculer pour éviter d'être décapité. Il me fit face, ses respirations saccadées m'angoissaient, tandis que ses coups devinrent plus rapides et brutaux, démontrant une parfaite maitrise de la cinquième forme. Je ne pus que reculer pour esquiver ou parer les attaques lourdes et dévastatrices, ne repérant aucune ouverture. Rien ne semblait l'arrêter, et je n'arrivais pas à déceler le moindre faille. Je devais trouver une solution! Sinon, je me retrouverais bientôt, à sa merci. Malheureusement, mon adversaire ne me laissait aucun répit, ne me donnant pas le temps d'y réfléchir. Il ne cessait de gagner du terrain, tandis que je reculais vers un lieu, de plus en plus étroit. J''essayais de reprendre la main du combat, en vain. Et bientôt, je me retrouvais à terre, la lame rouge me menaçant.

La Gardienne de l'EluOù les histoires vivent. Découvrez maintenant