Un Récit De Nouvelles

Besoin de lui.

Il a vraiment besoin d'amour, d'attention surtout en se moment..

À seulement 17 ans, il n'a plus de famille, presque plus d'amis, et ses seuls point de repère physique ne font plus attention à lui.

Il se demande chaque jours, chaque heures, chaques minutes, chaques secondes, que doit-il faire ?

Comment est-il sensé rester stable et heureux dans tout ça...?
Comment est-il sensé allez mieux alors que celui qui lui a jurer l'aider, l'aimer, et le protégé et aussi la cause de ses larmes chaque soir ?

Il a 17 ans, mais l'impression d'en avoir 60. D'avoir rater toute sa vie. Il souffre.
Il souffre du manque de sa famille, de ses amis qu'il n'a jamais pu avoir, de son enfance qui n'a pas eu lieu, de son futur qui n'existera peut être pas.

Il souffre de son amour perdu pour ce garçon. Ce garçon qui, quand il allez mourir, as essayé de l'aider, mais qui l'a rejeté quand il allez bien.

Est-il l'erreur ? Le problème ? La souffrance ? La tristesse ? La colère ? Est-il le mal ? Est-ce de sa faute, si son entourage souffre et le rejette a chaque instant ?

Donc ce serait vrai ? Toute ces paroles qu'on lui as dites.
"Tu ne sert a rien à part faire souffrir les autres"
"Tu devrait mourir ordure"
"Ta mère aurait dû t'avorter"
"Personne ne viendra sur ta tombe que se soit aujourd'hui, ou plus tard, alors autant crever maintenant"
"Jette toi d'un pont et reste au fond de l'eau"
"Si tu saute sous un train je suis sur qu'il ferait demie tour avant d'arriver à toi tellement tu fait peur"
"Les trains ne peuvent pas te passer dessus tellement t'es gros"
Etc.. etc..

Comment peut-il continué de sourire quand ces phrases lui reviennent chaque jours.
Quand le soir de son viol lui reviens chaque nuit.
Quand, sous prétexte qu'il es un homme, et qu'il était en couple, ce n'était pas un viol.
Quand on lui répète qu'il a mérité de souffrir jusqu'à son dernier souffle.