Un jour, à l'université deux mecs qui se ressemblaient sont venus me chercher. Je me demandais pourquoi jusqu'à ce que je tombe dans cette organisation criminelle, dont mon frère fait partie. Il fallait que je reste auprès d'eux,
pour ma soit disant...
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Je me lève et après avoir prit mon café, je monte les marche pour aller réveiller Anya afin qu'elle aille à la fac. J'ouvre donc doucement la porte avant de lui chuchoter de se réveiller.
Problème : Elle ne me répond pas. Pourtant elle bouge. Je sais très bien qu'elle fait son caprice de fille pourrie gâtée qui a pas envie d'aller à la fac. Je m'avance donc doucement vers elle avant de mettre mes bras sur ses épaules et la bousculer.
— Laisses moi dormir. Dit elle sèchement en se blottissant dans ses draps.
- Faut que t'ailles à la fac !
— Mais je ne suis pas bien !
- Arrêtes de mentir. Soufflé-je, totalement exaspéré par son comportement.
Elle bouge et se met sur le dos, je la prends par les deux bras pour la soulever mais à l'aide de ses pieds, elle se débat. Elle me donne des coups de bien dans l'abdomen en pleurant et criant de la laisser dormir.
Bordel c'est à cause de moi qu'elle pleure ? Ça me fait un mal de chien de la voir pleurer, mais je ne sais pas comment agir. Alors comme d'habitude j'agis comme un putain de connard irrespectueux.
Je m'arrête de la secouer, le regarde froidement dans ses yeux. Apercevant ses larmes qui ruissellent sur ses joues roses.
— Arrête de jouer la comédie putain !
Je pars violemment en claquant la porte, et je l'entends pousser un léger cri de stupeur. Rindo se tient juste devant moi. Et comme c'est mon frère, ça ne le trompe pas.
— Arrête de la materner.
Vous voyez ? Il a directement compris. Si j'agis comme ça c'est parce que je veux qu'elle ait un putain d'avenir car elle a des capacités et ne s'en rend pas compte
- Mais il faut qu'elle aille à la fac putain.
— Pourquoi ça t'importe autant ?
Pour pas qu'elle finisse comme son frère. Pour pas qu'elle finisse dans le meurtre. Pour pas qu'elle finisse comme moi, je finirai
- Pour pas qu'elle finisse dans le besoin.
— Mhh, bref tant elle est vraiment malade.
- mais tu vois pas à chaque fois elle cherche des excuses ?
— Bah déjà va t'excuser. (Voyant que je secoue ma tête de manière négative, il surenchérit) Ran.. t'es mon grand frère ok, t'es une putain de tête de con, ok. Mais la t'agir comme un daron avec elle. A croire tu la protèges comme ta nana... Attend ! Mais oui ! C'est ça !
— Roh ta gueule Rindo, sérieusement. Déjà il y a son putain de frère. J'ai pas envie de me prendre un savon... (je réfléchis quelques secondes) mais c'est vrai que je ne l'avais jamais vu d'aussi mauvaise humeur.
