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Cédric était étonner qui était ce médecin? Il n’avait pas le temps de se poser des questions sur son identité il prend Lydia le médecin prend la bouteille d’oxygène et ils sortent discrètement de l’hôpital. En voyant Cédric d’un clin d’œil mon oncle fait signe à papa. Les hommes armés était tout près d’eux. Papa sourit et dit tout doucement à mon oncle

José : Je n’aurai jamais crû mourir sans voir mes petits enfants. Mais je te fait confiance.

Oncle Ralf ne comprends rien c’est quand papa se lève et bouscule l’un des hommes essayant de lui prendre son arme que son petit frère comprends que mon père leur donnait un échappatoire. Ralf sourit et dit

Ralf : Ont mourra tout les deux alors. Antoine Adelys foutez le Camp vite. Ne vous retourner pas.

Kanel et Adelys se mettent à courir vers nous Cédric débarque avec sa voiture Jules ouvre le feu sur les hommes armés. Ils montent tous et s’en vont. Moi non il était hors de question pour moi de laisser mon père et mon oncle devant une mort certaine. Je ne savais conduire qu’une moto mais mes pieds était encore plus rapide croyant avoir maîtriser mon père et mon oncle trois assaillants vont rester pour les surveiller ma chance je me saisit d’un Trompe d’arbres et je donne un coup violent sur la tête de l’un des hommes. Papa et oncle Ralf prend leur arme et les prends en jout.

Ralf : Tu fait quoi ici idiote tu veux mourir ?

Cornelia : Je n’irai nulle part sans vous deux.

José : Pour la première fois de ma vie dès qu’on sera en sécurité je vais te battre. Ont doit partir et vite.

En jout les hommes ne pouvais que nous regarder disparaître dans l’obscurité à toute vitesse. Les rues était déserte et chaque porte qu’ont frapper était fermer. Tout le monde était enfermée à double tour chez lui espérant survivre à cette nuit horrible. Sur la grande route qui était aussi vide de voiture je vois les Farres d’une voiture foncer à toute vitesse sur nous la peur nous prend ont veux aller se cacher mais une voix familier arrête ma course c’était Romain et Augustin. Ont montent avec les tires nourri qui nous escorte. Sur la grande route une voiture se dirigeait à toute vitesse sur nous Romain l’évite mais quand il nous dépasse je vois un homme qui ne m’était pas étranger. Un homme qui avait marquer la vie de Kanel. Son père. Un amis de mon père sans hésiter il tire sur la voiture dans lequel nous étions. Je crie

Cornelia : Papa tu l’a vu tu l’a vue c’est lui c’est lui

José : Calme toi ma fille de qui tu parle

Augustin : D’où est ce que tu connais Maurice ? C’est lui au volant lui et ces hommes viennent de nous dépasser.

Les yeux de mon mari change encore je lui répond

Cornelia : Non pas celui qui conduisait celui qui à tiré sur nous c’est de lui dont je parle

Romain : Visiblement les morts ne sont toujours pas mort. La prochaine fois je vais le tuer de mes mains

Cornelia : Je ne comprends plus rien je croyais c’est où je me trompes peut être que je me trompes.

Je reste dans mon coins à murmurer jusqu’à la maison secrète. Enfin nous étions tous réunis. Personne ne manquait à l’appel à part Daniel Kouamé qui était toujours à l’aéroport. Je cours me laver le visage. Kanel me rejoint en larme en disant

Kanel : Ma sœur je croyais que tu étais morte c’est pour ça que je n’ai pas résister quand ils sont venu

Cornelia : Je ne peut pas mourir sans toi et puis où est ta mère elle est ici avec nous n’est ce pas ?

Kanel : Oui elle surveille sont mari il ne faut pas qu’il vide le bar de tes beaux parents tu le connais.

Cornelia : Ok viens avec moi ont doit parler cacher.

Ont va s’éloigner de tout le monde Augustin nous voit et nous suit discrètement il était sur que je lui avais mentit. Derrière le mur il écoute notre conversation

Cornelia : bébé ton père est vivant il n’est pas mort.

Kanel me regarde et sourit un peu il me dit

Kanel : C’est impossible maman à identifier son corps à l’époque. Tu à oublier qu’on était au funérailles

Cornelia : Je connais ton père et c’est lui que j’ai vue tirer sur notre voiture tout à l’heure ton père est belle et bien en vie mon chéri

Kanel : Attend c’est au funérailles de qui je suis parti pleurer cadeau comme ça ?

Cornelia : La question est plus simple pourquoi ta mère est entrain de nous mentir ?

Kanel : Peut-être qu’elle ne sais pas qu’il est envie.

Cornelia : Tu crois vraiment que ta mère ne pourrai pas reconnaître le corps de ton père si elle le voit ?

Kanel reste silencieux tout d’un coup. Sa mère lui avait mentit c’était clair. Mais une autre peur se saisit de mon meilleur pote. Il me dit avec frayeur

Kanel : Si mon père est en vie et que tu l’a vue avec les assaillants crois moi que ces hommes armés vont bientôt arriver ici ont doit vite partir d’ici.

Cornelia : Tu crois qu’elle va lui dire ?

Kanel : Oui allons prévenir tout le monde.

Trop tard on entend des voitures se garer devant la maison. Augustin cour attraper la main de Flore qui était sur le point d’ouvrir la porte mais il est trop tard la maman de Kanel nous avait déjà vendu. Maurice entre dans la maison avec ces hommes et sa première réaction était de tirer sur mon mari. Une balle en pleine poitrine mon mari s’écroule je veux le rattraper mais Flore m’empêche en disant

Flore : Laisse le passe par ici gamine

Kanel : Mais maman il est blesser

Flore : Et alors ? Tu sais qui sont ces gens ?

Nia et Stéphane se lève. Le père de Jules cri

Stéph : Maurice tu est vivant ?

Maurice : Oui je suis vivant

Etienne : Bref de discussion ou est Daniel il a des documents à signer pour nous. Il a 10 minutes pour se montrer sinon je commence à vous tuer un à un

Flore : Quoi ce n’est pas ce qui était prévu

Etienne : Tait toi. J’ai reçu assez d’argent pour nous mettre à l’abri du besoin et je vais me débarrasser de l’ivrogne se soir. Et faire de mon fils un vrai homme

En vitesse nous sommes tous réunis au salon mon mari est laisser pour mort nia n’était plus dans son esprit elle ne faisait que regarder en direction de son fils aîné. Kanel voulais des explications de sa mère cette dernière va tout lui expliquer.

Flore : Il y a encore quelques mois je ne savais pas qu’il était en vie c’est quand nous sommes aller aux Etats Unis que je l’ai revue.

Etienne : Laisse moi te raconter toute l’histoire

Kanel : Non tait toi je parle pas avec les morts. Une fois le certificat sortit tu n’a plus droit à la parole.

Etienne : Un peu de respect petit voyous

Kanel : Pourquoi faire employées du mal ?

Flore : Ton père travaillais pour le frère de madame Aurélie. Quand il est aller en prison c’est elle qui l’a fait sortir en brûlant la prison.

Etienne : J’étais l’homme de main de Ludovic quand madame Aurélie m’a appelé pour former son fils j’ai suivi

José : Donc pendant tout ce temps tu étais vivant. Pour ces gens tu a abandonner femme et enfants ?

Etienne : Oui quand j’ai appris que c’était ta fille qui allait épouser le fils aîné de l’homme derrière la mort de mon patron alors je n’ai pas pû résister.

José : Waouh Flore c’est pour lui que tu est aller ouvrir la porte et signer la mort de ma fille ?

La mère de Kanel ne répond pas. Quand Kanel voit du bout de l’œil qu’Augustin était vivant il va vers lui en disant ‘’ donnons du respect au mari de ma sœur’’ il fait comme s’il lui mettais une couverture sur le visage et lui glisse discrètement son portable dans les mains. Il revient et ferme la porte tu salon

Etienne : Et pourquoi tu fermes la porte ?

Kanel : Il y a des enfants ici leurs yeux ne doit pas tomber sur un mort.

Dès que la porte était fermée Augustin se relève et va dehors pour appeler du renfort. Il vérifie son arme et n’avait que deux balles.

Comment allait il pouvoir sauver sa famille avec deux balles. Le médecin de Lydia qui était dans la maison n’avait pas été remarquer par les mercenaires. Il sort de la chambre et petit à petit il emmène les enfants discrètement hors de la maison une fois dehors il tombent sur Augustin qui le remercie il ne manquait que Lydia qui ne devait plus être bouger. Herya et Jason qui avait réussi à s’éclipser vont se retrouver dehors eux aussi. Mon mari leur dit d’aller avec le médecin à l’aéroport que Daniel Kouamé les y attendait mais le docteur refuse. Le médecin retourne discrètement dans la chambre de Lydia Maurice qui dans son excès habituelle était parti vite en besogne se tourne vers Adelys et Nia en disant

Maurice : Vous avez le choix. Voici les documents des entreprises Kouamé signer sinon je bute les enfants un à un. Adelys tu commences.

Quand ma belle sœur voit le document elle sourit et lui dit sur un ton moqueur

Adelys : Je n’ai plus rien à dire dans l’entreprise de mon père tu à tuer le seul qui pouvait te signé ce bout de papier. Augustin est mort votre rêve aussi.

Maurice : Oui mais tu possèdes encore le suprême signe ne perd pas mon temps.

La SaGa des Kouamé Tome 3 ''Les Héritiers'' Où les histoires vivent. Découvrez maintenant