le monde d'aurobé

Les elfes du nord

Les gardes m'emmenèrent sans discution dans le cachot, m'enfermèrent derrière les barreaux et partirent sans dire un mot.

Je restais quelque instants à examiner ce qui m'entourai. La pièce était petite et la lumière rentrais pas une petite fenêtre et le couloir. À ma droite ce troubais un lit . Bon ce n'était pas un lit de princesse, loin de là, mais au moins je n'allais pas dormire sur le sol ce qui était plutot positive.  Et.... c'était tous ce qui meublais ma "chambre" de fortune.

Je m'allongeais sur le lit et me couvrais de la cape que m'avais donné Elessar. Je laissais mon esprit replonger une fois encore dans mes souvenir. Je me rappellais les enfants qui me jettais des cailloux quand j'étais petite, des personnes qui me dévisageais lorsque j'allais au marché. Je me souvenais de ce jours où les portes se sont ouvertes, je me souvenais du massacre, je revoyais les corps étendus sans vie. Puis le visage de ma soeur me vint à l'esprit. Toujours les même question revenais "est-elle en vie ?", "si oui, s'inquiette-elle pour moi ?", "si non, comment se porte alors ma mère ?".

- Je vois que vous etes dans la lune.

Je relevais la tête, c'étais l'elfe au cheveu bleu.

- Je ne me suis pas comvenablement présentée. Je suis Alwena, fille du seigneur Nahoba et future épouse du prince Elessar.

Un malaise me traversa à ses derniers mots.

- Sachez que je ne m'attendais surement pas à renconter une humaine, chez moi de plus. Pourquoi étiez vous là ? Et pourquoi vos yeux sont-ils ainsi ? Est-ce que tous les humains ont les même ? continua-t-elle.

Ce qu'elle disait me faisait penser à enfant qui me jettaient des cailloux. Certe elle n'était pas en train de me jetter des pierres sur la tête, mais ses mot avait pour moi le même effet.

- Mon histoire est bien long à raconter, mais pour fair briève j'habitais chez les elfes, et lorsque le chateaux à été attaqué, j'ai seulement fait comme les autres. en ce qui concerne mes yeux, ils sont différent, je le sais et je suis là seule personne que je connaisse à ce jour, à avoir des yeux pareil, lui répondis-je d'un ton qui se voulais neutre.

- Je suis bien surprise que vous me parliez ainsi. Avez-vous besoin quz je vous rappelle mon titre ?

- En vous, avez vous besoin que je vous rappelle que je suis dans un cachot sans en connaitre la raison ?

- La raison ? Le fait que vous soyer humaine et que vous puissier avoir une mauvaise influence sur le prince est sufisant.

Exaspérée, je me recouchais lui laissant comme seul réponse le silence. Elle tourna alors les talon et s'en alla.

Je me tournais et regardais par la fenêtre. La nuit me paru interminable. Je n'arrivais pas à dormire. J'attendais avec espoir que Elessar se mkntre devant ma cellule qui m'en fasse sortire. Mais les heure passais, le soleil se levais et toujours rien.

Au matin, j'endentais finalement des pas s'approcher. Je me levais en prian poir que se soit le prince, mais non. Alwena s'approcha moi, elle paressait paniquée.

- Vous devez partire, partire loin !