Alwena

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Elle avait de grosses cernes et portait les même vétement que le veille, ce qui me laissais présumer qu'elle n'avais pas fermée l'oeil de la nuit.

Face à mon manque de réaction, elle ouvrit les barreaux et me tirra par le bras dans les couloires.

- Vous devez partire. M'avez-vous comprise ?

- Heu.... Mais pourquoi .... ? demandais-je consternée.

- Ne vous etes-vous jamais demandé d'où venais ses yeux ?

- He bien... non.

- Vos yeux sont porteur de pouvoirs et atirerons des forces que je ne souhaite guère ici, me répondit-elle sur un ton qu'elle éssayait de garder calme.

Elle m'ammena au écurit et s'empréssa de me celer un étalon noir.

- Est-ce qu'Elessar sait mon dépard ?

- Non, il n'a pas à savoir.

Et elle partis sans demander son reste.

Je sortais de la forteresse au galop. Je ne savais pas où me diriger. En réfléchissant, le seul endroit qui me venais à l'esprit était le chateaux des elfes où nous avions subit l'attaque.

J'arrivais devant les ruine de la forteresse le deux jours plus tard à l'aube. Pendant le voyage, j'avais mis toute mon énergie à bloquer mes pensés négatives.

Mais en arrivant devant le chateaux,  je ne puis retenir les larmes.

Je marchais dans un silence religieux entre les corp.
où vas-tu aller ? Cet endroit n'est plus habitable.

C'était une très bomne question. Oui cela faisait plus de deux mois que je vivais parmi les elfes mais jamais je ne m'était trop éloigné.
À part cette fois où tu t'es fais kidnaper et que Elessar est venu te secourire comme une princesse en detresse.

Elessar... Mon esprit divagua alors vers lui. Il m'avait sauvé d'une mort au mains des gobelin, il m'avait fait confiance. On s'était disputer, réconcilier et voilat que je partais sans qu'il le sache. Quand j'y repenssais lors de notre voyage entre le mur des hommes en le royaume elfe, il m'avait donné une robe qu'il disait être à sa soeur, je ne l'ai jamais rencontré.

Il y avait aussi Othar, mon ami, mon mentor, un imbécile vaniteus et égocentrique, mais au fond, je l'aimais bien.

À cette pensé, je décidait d'aller voir son corp laissé à l'abandon, comme tou les autre morts. En m'aprochant, je revivais ses derniers instants.

Arrivé à l'endroit exacte, je me mis à paniquer.

- Pourquoi... ? Cest ici qu'il est mort.... Ici qu'on la laissé... Alors pourquoi sont corp n'est plus ici ?

le monde d'aurobéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant