Le silence silence s'était instauré dans la grande bibliothèque. Le roi nous avait rejoind et attendais lui aussi en silence.
C'est, j'avais encore beaucouo de question qui tourbillonnaient dans ma tête mais je prenais le temps d'assimiler les première information dont celle qu'Othar ce tenais à coté de moi en parfaite santé.
J'en profitais pour remarquer que la pièce n'avait pas de fenêtre et en y réfléchissant, c'était aussi le cas de la chambre. Je décidais de briser le silence que je commenceais à trouver lourd.- Pourquoi sommes nous ici ? demandais-je simplement.
Tout le monde ce tourna vers moi.
Le roi me regaeda avec ses yeux de glace et pris la parole.- He bien pour commencer pendant l'attaque du chateaux, je me suis réfugier dans la foret par un passage secret.
- Un roi ne drevrait-il pas ce battre aux coté de ses sujet dans ce genre de situation ? demandais-je avec une once de défi dans la voix.
- Pas dans notre peuple, répondit le roi séchement. Si cela ne vous convien pas, vous n'avez qu'à retourné chez vous.
C'est bien ce que je voulais faire depuis longtemps déja mais c'était impossible. Je repensais à ma soeur et à ma mère. C'était un sujet très sensible pour moi.
- Bref... nous interromoit Othar. Pour faire simple, après un certain planqué, il est revenu voir les déguas du combat et m'a trouvé mort. Il a alors décidé de m'emmener ici car je suis bien précieux et bien beau pour mourire ainsi.
Je roulais les yeux le faisant sourire.
- En fait, si le roi ma demandé de te réssucité, c'était pour accomplire une mission, mais nous en reparlerons après. Comanta Alice.
- Et pour notre part, Audénise, lorsque nous avons remarqué ta disparition, je suis parti à ta recherche, me dit Elessar. Tu es moin endurante que les elfes et tu ne sais pas masqué ton énergie. Te retrouver à été plutot simple. J'ai choisi de te suivre pour voir ce que tu allais faire. Quand tu t'es perdu dans la foret j'ai ésité me montrer mais tu t'es fait assomé par Othar.
- Il n'y a que lui pour traiter une femme de cette façon, gremolais-je en donnant une tape derière la tête de ami.
- Je fus tout aussi surpris que toi lorsque je le reconnus. Il m'a alors dit qu'il te suivais depuis ton entré dans la foret et que la personne qui fesait qu'il était encore en vie, voulais te voir.
Voila donc comment tu arrivé ici.Je ne répondit pas instantanément. Je fixais les yeux d'Elessar, aussi pale que ceux de son pére mais téllement plus doux.
Tu es totalement sous le charme.
Mais pas du tout...- Pourquoi n'y a-t-il pas de fenêtre ? demandais-je
Alice ce redressa dans le fauteille dans lequel elle s'était assise.
- Et bien nous somme actuelement dans un arbre géant, me répondit-elle sans dire plus de tétaille. Oh et tutoi-moi, je n'aime pas trop ses formes de politesse inutil, contrairement à certain elfes. Dit-elle en jetant un coup d'oeil au roi.
J'écarquillais les yeux en essayant de ma souvenir si j'avais déja vu un arbre géant dans la foret de l'est mais rien.
- Vous pouvez m'expliquer où nous sommes ? De toute façon, à partir du moment où on a un oeil violet, qu'on s'est fait attaqué par des gobelin et sauvé par un elfe, plus grand chose ne nous étonne.
Alice me regarda avec ses yeux veron, soupira avant de dire :
- L'arbre de Nareth à la particularité de pousser dans la terre. A la surface il à s'aspect d'un chène un peu mégrichon, mais dans la terre son tron grossi très rapidement. Nous somme dans le tron d'un de ces arbres. Nous somme donc sous terre.C'est un lieu très sur.
- Pourquoi cherchez vous à vous cacher ?
Elle sourit à ma question.
- Tu as sans aucun doute remarquer mes yeux.
Effectivement des yeux ainsi ne passaient malheureusement pas inaperçut.
- Cet oeil violet que j'ai et que tu as aussi représente de grand pouvoir, pouvoir qui aussi permi de sauver Othar. Cet oeil représente un danger. Nous ne somme pas dans comte pour enfant où ces pouvoirs ne serve qu'à faire le bien. Nos ennemi ont eux aussi dans leur rang des personne comme nous. Alors pour moi qui ne désire qu-une vie paisible, il me fallait un lieu sur.
J'ètais désormais éclairée sur certain point dont mon oeil. Bon il y avait encore des chose que je comprenais pas sur mon oeil mais j'en savait tellement plus qu'avant. Chaque découverte était un pas en avant.
- Audénise, repris Alice, j'ai une mission à te confier. J'ai eu vent de tes talent en tant que gerriere.
Cette mission était d'abord destiné à Othar mais tu es la et a cous trois ( en désignant aussi Elessar ) cette mission ne peut etre que mené à bien.- De quel mission s'agit- il ?
S'empréssa de questioner Elessar.Il avaitles yeux qui brillaient légèrement. Comme un enfant qui avait hate d'afronter le dangé.
C'était mignon.
Tu en pince pour lui.
Pas du tout c'est juste mignon.- Je voudrais que vous alliez au nord est, a Derisma, me tira de mes pensés Alice .La-bas ce trouve un magicien. Vous devrez le prévenir que l'enemis est revenu... donné lui ce médaillon et il comprendra tout.
Elle tendit à Elessar une chaine ou pendait une pierre aussi sombre que la nuit. Elle me donna des frisson dans le dos. Comme si cette pierre n'était que ténèbre et kao.
- Pourquoi n'y vas-tu pas toi même ? Othar me regarda comme si la réponce était évidente.
- Il se trouve que le magicien en question m'a, pour ma sécurité il disait, jeté un sort qui m'empêche de sortir de la foret des elfes. Il ne sera pas non très content de voir que c'est toi qur j'ai choisi Audénise, mais bon, me répondit Alice un peu atristé.
Ce magicien m'intriguais énormément. Je ne savais n'y qui était l'ennemi, n'y ce qu'il devait comprendre en voyant le médaillon qu'Ellessar tenais dans ses main.
Othar se leva soudainement et mis une main sur sa poitrine.
- J'accepte cette mission quelque soit le danger ! J'ai juré de protéger cette terre qui m'est chère ! Demain sera peut-etre je jour de ma fin, mais c'est avec honeur que j'accepte le destin que j'ai moi même choisi !
Ellessar à son tour mit une main sur sa poitrine est répéta le discoure de son ami.
C'était surement le serment des chevaliers elfes.Je me mit à coté d'eux.
- Et bien maintenant partez, annonça Alice.
Dans quoi venais-je de m'ambarquer ?
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le monde d'aurobé
FantasiUn mur qui assure la protecrion des hommes faces à des créatures magique qu'ils ne prennent même pas le temps de connaitrent. Lors du 1250ième anniversaire de ce mur, les porttes sont ouvertes au homme, mais ça ne se passe pas exactement comme prévu.