Chapitre 4

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Une semaine plus tard,

J'avais survécu , les entraînements était mieux. Je n'avais tirer que trois fois, dont une seule réussi. Je n'aime pas blessé, normalement je soigne les personnes. Je voulais être chirurgienne, avant. Mais ce fameux Lino en avais décidé autrement.

Pourquoi moi?

Pourquoi pas une autre ?

Mes amies s'inquiètent?

Ma famille avaient-ils étaient mis au courant?

Ces questions rôdaient dans ma tête. Je tournis la tête vers mon « reveil » qui indiqué, «3:18», il était tard. Je n'arrivais pas à dormir. Lino était dans sa chambre, qui se trouvais en face de la mienne, ou à côté je ne sais plus. Il ne voulais pas me donner de chambre normalement mais Nella l'avais forçais.

Des bruits se fit entendre de la chambre de l'abruti. N'osant pas bouger pour ne pas faire de bruit. Je sorti de ma couette et marcha sur la pointe dès pieds pour ne pas faire de bruit qui pourrait le réveiller. Des gloussements se faisaient entendre, comme si il faisait un cauchemar. Je l'entendis se réveillé en sursaut, d'un coup je couru jusqu'à ma chambre. Je pris un de mes carnets, alluma la lampe de chevet. Et commença à écrire.

«12 janvier,
Il doit être 3 heures du matin, je n'arrive pas à dormir. Ça faisait longtemps que je n'avais pas exprimé mes pensées ou mes émotions, vu la situation que je n'avais pas choisi de vivre j'en avais le besoin. Je ne connais pas ce garçon, juste son prénom, Lino, et son nom de famille me semble être, Calkins, de ce qui m'avais était dit. Lino Calkins, voici son nom complet. Mon kidnappeur. Pourquoi je m'étais approché du danger? Je n'avais pas la réponse malheureusement. Certains dirons que ceci est bête, d'écrire ce que l'on ressent. Mais moi c'est ma seule raison de communiqué. Je voyais une psychiatre avant. En France. Mais plus maintenant. C'est dans une logique. Quand je sorti de cette boîte la musique qui était diffusée était du The weekend si je ne me trompe pas. Je serais toujours étonné de voir les italiens écouter du Thé weekend . Mais je ne me pleins pas. J'aimais beaucoup The Weekend . En sortant je n'avais pas sentie le danger. Bizarre..»

En pensant à ceci, ça me fis penser que je devais poser une question à l'abruti, ou est ma moto. Je veux une réponse. J'avais mis trois ans à me l'acheter. Et j'espérais juste qu'elle n'était pas tombé en ruine face au coup de feu. Cela m'en donnais ma nausée de penser à ceci. Ce n'était pas mon genre de me défilée, je tenais tête au personne. Tous le temps. Rien ne m'arrêter. J'étais triste, je ne pourrais plus vivre sans être tranquille.

Je n'avais pas encore eu mon première amour. Malheureusement. Mais je ne voulais pas. Je n'aimais pas l'amour. Ça se finissait toujours mal. Si tu te voyais avec quelqu'un plus tard, ça n'allais jamais durer, règle une, se préparer à être déçus c'est le meilleur moyen d'éviter toute déception, règle deux, ne jamais, je dis bien jamais, montrer ses sentiments, troisième règle ne jamais espérais Mes trois règles à moi. Je n'ai jamais cherché à avoir un petit copain. Ma meilleure amie, Leila, voulais a tous pris me mettre avec quelqu'un. Contrairement à elle c'était plus compliqué avec moi pour me trouver quelqu'un. Alors qu'elle, elle était lesbienne donc ses critères était moins compliqué que moi.

Je voulais lui ressembler avant, mais avant. Elle est une fille extraordinaire. Mais elle vis comme si on avait plusieurs vie. Et évidemment elle m'implique dans ses connerie, sinon ce n'est pas drôle.

Elle est écrivaine, elle essaye de faire percer un de ses livre, « Cartello » une histoire qu'on avais eu l'idée de me faire ensemble, sur la mafia. Malheureusement ça existe réellement. Même si ça parais cool c'est compliqué. Après avoir passé une semaine avec un mafieux, j'ai envie de me tirer une balle.

Cartello Où les histoires vivent. Découvrez maintenant