Chapitre 31

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Oriana

Je venais de passer deux mois qui avait passé comme deux ans. Elle n'avait pas apprécié ce que j'avais dit à son très cher petit ami.

Ma mère s'est bien mis avec mon oncle. Malgré ma réprobation. Je ne peux rien dire j'en suis consciente mais je trouve ça tant de même dégoûtant. Je ne sortirais pas avec les frères ou quelques choses qui ramènent au sang de quelqu'un avec qui j'avais était.

C'est très peu compréhensible. C'est comme si je sortais avec le frère de mon ex. Comme Elena avec Stephan et Damon. Assez glauque quand même. Personne a envie de ça en plus.

J'avais passé de très bon mauvais avec elle, des mauvais aussi, avec mon super « beau père » comme elle dit. D'après lui j'aurais du être sa fille. Je ne dis pas que mon père est un exemple et que je l'aime profondément. Je ne veux juste pas d'une ordure comme ça comme père. Qui tue des gens. Non merci.

Ma mere est heureuse alors je le suis aussi quel question malgré que mes choix sois opposé au siens. C'est la vie.

Je ne pense plus à ça et avance.

L'heure a sonné.

Je suis fatigué mentalement mais c'était enfin le grand moment de la vengeance. De la Vendetta !

Je venais de déposer un pied sur le territoire Italien. Mon sac à la main. Téléphone dans l'autre. L'air était chaud. La chaleur de fin de journée était présente. L'ambiance était pesante. Le vent frais nous rappelais le mois de janvier qui aller commencer dans quelques jours.

Je respira un bon coup et sorti de l'aéroport. Si je dirais de vive voix que je ne suis pas la pour me venger mes yeux diraient le contraire. Ils transpires la haine.

J'avais fait deux heures d'avions. Sans escale. Pour une fois. Pour deux heures c'est rares mais ça arrive malheureusement. Mon petit sac était passé avec difficulté. Mon arme dans le sac, c'était impossible qu'il sonne pas. J'avais réussi à dissimulé grâce à l'aide de mon oncle. Si on peut appeler ça comme ça.

Je venais de poser un pied sur ce cher continent. L'italie.

Je le cherche. Il est apparement à Rome. De toute façons quand il sera que j'ai mis un pied sur son territoire c'est lui qui viendra à moi. Pas l'inverse. Je vais gentiment attendre à ma chambre d'hôtel. Je ne suis pratiquement jamais sorti de sa demeure qui est maintenant brûlé.

Toute l'Italie est son territoire. Je suis donc directement mise dans les fichiers qu'il tient des entres des passants dans le pays.

Quelqu'un met un pied il est au courant.

Mon plan va fonctionner a merveille. Je vais l'attendre patiemment il viendra tout seul à moi. Sans même que je ne lève le petit doigt. Quel bonheur. Je vais pouvoir visiter cette belle ville.

Je vais attendre, il va venir dans la gueule du loup, et se faire tirer dessus. Après ça je partirais calmement à ma vie. Comme si tout ça n'avait pas existé. Mon plan va être mis en œuvre.

Ma plausible de vie. Sans ma mère pour cette partie.

Je ne sais même pas si elle va en faire partie pour ls suite. Depuis mon retour à Paris, tout avait changé. Elle avait préféré mon « oncle » à moi. Elle m'avait dit que il avait beaucoup souffert. Sauf que moi aussi. Je ne veux pas qu'on pense que je suis une personne égoïste. Dans cette histoire je suis la seule qui a était kidnappé, c'est moi, maltraité, c'est encore moi. Je pourrais en faire une énorme liste mais ce n'est en aucun cas mon but. Je ne suis pas la pour récupérer la pitié de ma mère.

Il est parfois mieux de s'éloigner de sa famille pour avancer sans blessure.

Je suis ici pour la vengeance.

Je me poserais toujours cette question pourquoi moi et pas une autre, c'est tombé sur moi. J'ai vue cette scène. J'ai croisé son regard ce soir là. Ses pupilles avaient pas une couleur naturel mais un noir de soif. Soif de sang ? Une soif inconnue à mes yeux.

Cette histoire fini, ma vie reprendra son cours, je déménage dans un autre pays pour tout recommencer à zéro. En oubliant les 2 dernières années. Un nouveau départ égale une nouvelle vie.

La mafia ce sera fini pour moi. Ça n'a jamais réellement commencé avec mon consentement mais je fais comme je peux.

Je veux plus être cette fille faible qui dit oui à tout, accepte tout ce qui lui arrive dans sa vie. Je veux plus être là faible, je veux savoir dire non. Que les gens aient peur de moi limite.

Que cette histoire soit derrière moi, une bonne fois pour toute, que cette homme ne m'attire plus de problème.

Depuis déjà dix-neuf heures je me préparais pour aller au restaurant. Un dîner avec moi et moi. Je vais aller dans son préféré celui dans lequel il allait souvent . Sur un malentendu je peux tomber sur lui.

Cartello Où les histoires vivent. Découvrez maintenant