Cartello

Chapitre 7

Trois putain d'heures que je suis là à m'ennuyer. La soirée se passe bien pour le moment. D'après Lino ce n'est que le début mais j'espère que ça va bien ce passer. J'espère. Il y a beaucoup de mercenaires, des femmes qui les accompagne à mon avis. Lino à parler avec quelques mercenaries qui connaît ou avec qui il a travaillé de ce qu'il m'a dit. Il parle de meurtre de filles beaucoup trop de choses. Un verre à la main, Lino a coter de moi.
Mais j'ai juste envie de m'éclipser pendant un petit moment. L'ambiance est trop calme.

-Lino?

-Oui.

-Je peux allée au toilette?

-Oui. Je t'accompagne je vais y aller aussi.

-D'accord.

On dirige vers les toilettes, enfin.
Une fois entrée dans celle-ci, je me regarde dans le miroir voir si je suis toujours présentable. Mon maquillage n'a pas coulé.

La porte s'ouvrît sur une femme a qui Lino avait parlé.

-Bonjour. Me dit-elle en souriant.

-Bonjour. Lui répondis-je.

-Vous accompagnez Lino? Me demande t-elle.

-Oui. Lui dis-je.

-Vous connaissais son réseau? Me dit-elle en se tournant vers moi.

-Pardon? Lui répondis-je étonné.

-Non laissez tomber mon mari m'attend bonne soirée.

-Bonne soirée..

Perplexe voilà comment j'étais. J'étais perplexe. Je parti au toilette, l'envie pressé. Je sorti des toilettes pour me laver les mains et aperçu un homme. Un homme? Un homme dans les toilettes des femmes?

Ils me regarde, je le regardes. Il dit rien. Je ne dit rien.

J'avance pour me laver les mains. Toujours son regard posé moi. Il me suit du regard je le sens. Un mauvais pressentiment arrive. Je le sens. Je sèche mes mains après avoir lavé mes mains. Je prend le chemin de la sortie.

Appuie sur la poignée.

Bloquer.

La porte est bloqué.

-Tu accompagne notre très chers Lino. Intéressant. Commença t-il.

-Vous êtes? Le coupais-je.

-Ce n'est pas important tu sera plus tard. Pour l'instant tu vas venir avec moi. M'annonce t-il comme si c'était normal.

Normal c'est un mercenaire. C'est logique pour lui. Pas pour toi.

-Je ne crois pas. Lui répondis-je.

-Moi je crois que si. Me répondît-il.

A peine ai-je le temps de me retourner pour lui faire face que, trou noir.

6 heures plus tard,
Italie.

T.r.o.u. n.o.i.r. Trou noir. Avant de me réveiller dans cette cave. C'est une cave? Il me semble.

Il fait froid. L'ambiance est glaciale. J'ai peur. Très peur.

La porte s'ouvrît sur l'homme de tout à l'heure.

-La mia bellezza est réveillé.