Chapitre 21

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J'avais finalement opté pour escalader. Aucun garde ne m'avais vu. Sauf un. Qui a fini avec mon couteau sous la gorges. Je paraissais peut-être innocente au début ayant peur de tué. J'en suis tout sauf à mon premier meurtre.

J'avançais encore essayant de trouver le plus de gardes possible. Trois étant dans mon champ de vision. Lino et Jacob étais en face de moi. Il m'échangea un regard et nous avançons tout les trois droit sur ses trois personnes.

Je pris le premier avant de lui enfonçais mon couteau dans le cœur puis dans la george.

Évidemment je repris mon chemin en individuel. Je marcha en direction de la maison. Toutes les autres personnes n'était pas dans mon champ de vison. Donc j'avance.

La maison atteinte je vis beaucoup de monde dans ce qui semble être le salon. Plusieurs d'entre eux étaient dans une cuisine des casseroles en main.

Des mafieux ça fait la cuisine ?
Apparement.

Ils me choqueront tous décidément. Lino fit son apparition par surprise derrière moi.

-HAAAA- Il me mit sa main sur ma bouche.

-Ta gueule. Me chuchota t-il.

-Tout le monde est en position?

-Oui. Pose le sur la fenêtre.

Je posa un casseur de vitre sur ma vitre. Et ça explosa la vitre.

Lino avait posé la même chose sur toute les fenêtres et tout a cassé en même temps. Nous entrons par la porte d'entrée.

Des tires commencent à retentir. J'esquive et tire. Les mitraillette on étaient donnés au tireur sur le toit et j'ai récupéré des guns.

Je tira sur un des hommes, balle entre les deux yeux.

-Fier de ce que mon élève devient.

-Pas si sur d'avoir étais ton élève.
Si tu savais. Tu serais toute aussi choqué.

Je tira encore sur des hommes n'étant pas armés. D'autres arrivent à tenir le coup en se cachant ou en sautant par la fenêtre. Je monta à l'étage voir ce qui se passe.

Des hommes s'étaient installés pour tirée des fenêtres. Une balle entre les deux yeux et se fut terminé. Du sang gicla sur mes vêtements et mon visage.

-Oriana. Fît une voix derrière moi, qui n'était pas celle de Lino.

-Je me retournis mon gum en main pointé vers cette personne qui n'est d'autre que Manolo. Celui qui gère le cartel.

-Je ne pensais pas te voir ici. Encore moins avec des italiens. Je pensais que ton truc à toi c'était plus les français.

Il tourna autour moi son gun derrière sa ceinture dans son dos, je suivi ses mouvements toujours mon gun fixé sur lui.

-A croire que les gens change Manolo.

-C'est vrai mais pas toi. Tu viens de Russie. Les russes détestent les Italiens c'est bien connus.

-Bien sûr que non. C'est toi qui as inventé cette phrase.

-Il est au courant au moins.

-Au courant de quoi?

-Du faite que-

Je tira une balle dans sa direction avant qu'il ne finisse sa phrase. La balle heurta son abdomen. Son endroit sensible. Je me dirigea vers lui, points mon armes sur son crâne.

-Il n'a pas besoin de le savoir et ne le sera jamais.

-Tu sais pas-c-ce qu-qui se passe de-derrière t-t-on dos. Méfie t-o-i- de lui. Il e-st pl-us int-ellig-ent qu'il en a l'air.

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