Chapitre 32

410 2 9
                                    

Lino

Elle était là. Elle avait mis un pied sur mon territoire. Ça n'annonce rien de bon. Mais le faite que elle soit dans une certaine sécurité ici me rassure. Je sais que je peux garder un œil sur elle. Elle a atterri il y a déjà quelques heures. Elle s'est trouvé un hôtel.

Mes hommes la surveille de près sous mes ordres.

Je ne l'ai pas vue depuis deux mois. Elle a changé. Ses cheveux sont au carré à présent. Elle les a coupés. Ça lui allait pourtant bien.

La longueur qui tomber sur ses belles fesses n'est plus là.

Un carre prenait place, ses yeux, profond, exprimait une assurance qui n'étais pas la avant, une force, mais une légère vulnérabilité désarmante qui me rappelait que cette vulnérabilité était placé au fond d'elle.

Elle marchait avec une assurance qui faisait tourner les têtes, comment ne pas se retourner après son passage, son charme laisser des traces, c'est ce qui me séduisait chez elle. Dans ce monde remplis de noirceur elle avait était ma lumière, ne sachant pas comment la séduire après mon erreur, j'ai continuer ma torture, malheureusement ce n'étais pas la meilleure choses a faire. Elle avait était à mes cotés pendant le chaos totale, elle valait beaucoup au yeux des mafieux italiens.

Elle était précieuse, elle n'aimait pas le danger, j'ai essayer de lui faire aimer, Oriana ma encore plus détester. Et malgré plusieurs occasions, elle avait rester décider de rester parfois a mes cotées. Ça, c'était plus précieux que n'importe quel trésors qu'on pouvait trouver.

Je voulais trouver la raison de sa venue en Italie, puisque nous savons tous qu'elle n'aurais jamais remis un pied dans mon territoire après l'enfer que je lui es fais vivre l'enfer. Malgré les centaines de fleurs que j'ai essayé d'envoyer aucune n'a du la satisfaire. Je sais pourtant que ce n'est pas comme ça que on se rachète. En achetant la personne mais j'avais un petit espoirs au fond de moi qui je savais n'aller pas fonctionner.

J'ai alors repris mes affaires a temps pleins, repris tout ce que j'avais léguer durant sa présence. Pour recevoir l'argent que je devais recevoir en temps et en heure. En deux mois passer mes affaires on doublés. Je suis devenu encore plus emblématique que je ne le suis déjà, j'ai pris encore plus de pouvoir.

Je me suis rajouter du travail inutile mais qui a fini par payé en quelque sorte pour essayer de l'oublier si on peut dire ça.

Le travail était devenue mon refuge, mon exutoire, chaque matin je le levais, je me mettais au travail, j'avais qu'une seule idée en tête, m'immerger dans mes affaires. Remplir chaque journée de la journée avec une occupation pour ne pas penser a ce que j'avais fait. La culpabilité me rongé de plus en plus, elle me suivait partout, mais tant que j'avais quelques choses a faire, c'était ignorer, malgré que ce soit temporaire.

Je savais que j'avais merdé, je l'avais détruit profondément, ses yeux remplis de douleur me hantais jours et nuits. Ses mots qui me suppliait d'arrêter compléter ma culpabilité. J'avais trahi sa confiance la première fois que j'ai croisés son regard et aucune excuse ne pourrait réparer l'enfer que je lui es fait vivre. Alors j'avais décider de me noyé  dans le travail, de tuer encore plus de personne, de faire encore plus trafique qu'il y en avait déjà, je me j'étais corps et âme dans le travail, essayant de compenser ce mal qui me rongeait pour l'enfer causé.

Les jours passaient et j'attendais des nouvelles de sa part qui n'arrivait pas, chaque projet accompli, chaque objectif atteint était une manière de me dire que je pouvais encore faire les choses biens, meme si cela compensait en rien le mal que je lui avait causé. 
Derrière cette facette d'homme impassible, se cachait un homme rongée par les remords.

Mais quand plus aucune occupation était présente, la vérité revenait me frapper de plein fouet, aucun travail je pouvait effacer ce que j'avais fait, travailler sans relâche devenait une forme de pertinence, un moyen de me punir moi-même, en espérant qu'un jour, je pourrais être pardonner, mêmes si elle ne le ferais jamais.

Le travail n'avait pas guérit, il avait juste occupée. Je pourrais lui acheter les choses les plus chers au monde avec l'argent que j'avais gagner en deux mois, mais l'argent n'achète pas le pardon, je continue donc a travailler, à espérer que, d'une manière ou d'une autre, j'aillais trouver la paix et un accord avec lui, au milieu de tout les efforts et les sacrifices que je suis prêt a faire. Je dois maintenant affronter la vérité de ce que j'avais fait.

Je devais trouver une solution pour me retrouver seule avec elle.

Je devais avoir une discussion avec elle, je vais trouver un moyen de lui envoyer un message pour lui donner rendez-vous.

Puisque dorénavant la seule chose qui avait réussi à me rongeait tant de temps était la culpabilité.

Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : May 26 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

Cartello Où les histoires vivent. Découvrez maintenant