L'asticot et l'escargot !

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Bonjour, tout d'abord, je vous souhaite une excellente année 2022, comme si l'année prochaine je vous souhaiterais une année de malheur !

Une seule chose, essayez au maximum, non pas de passer entre les gouttes (les belles plantes ont besoin d'eau!), mais de passer entre tous ces maudits virus qui nous pourrissent la vie à n'en plus finir.

Comme d'habitude, un vieux texte remis au goût du jour, quoique celui-là presque conforme à l'original. Je le dédie à un certain Valentin, quand j'ai relu ce texte, il m'a fait penser à lui.

Bonne lecture, j'espère. Je vous embrasse. Wouelena.

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Mon amour.

J'ai envie de vous aimer, mon amour.
J'ai envie de vous faire plaisir, mon amour.
J'ai envie de vous faire jouir, mon amour.
Vous regardez un film très intéressant étalé sur le mur du salon, mon amour.
J'en suis fort aise, mon amour.
J'ai terriblement envie de vous, mon amour.
Je pense que la fin de votre film va changer, mon amour.
Étendu sur votre canapé, absorbé par votre écran, vous ne voyez pas mes yeux qui crépitent au vu de mes projets, mon amour.
Vous ne me voyez pas avancer vers vous, à pas de loup, la langue pendante, les mains qui tremblent, mon amour.
Je me mets à genoux, à côté de votre canapé, sur votre carrelage si froid qui me fait frissonner, vous commencez à discerner mon corps près de vous, mon amour.
J'ai décider, de n'utiliser que ma bouche et tout ce qu'elle comporte, pour vous faire plaisir, mon amour.
Je fais coulisser votre ceinture en l'attrapant à coup de dents, je tire un coup sec pour enlever l'agrafe, puis retire le dernier pan, mon amour.
Heureusement pour moi, vous avez une fermeture zippée, j'aperçois votre intimité bossu par l'ouverture créée, mon amour.
Je descends votre vêtement jusqu'à mi-cuisse en sachant que vous détestez cela, mon amour.
Je promène mes joues, le bout de mon nez, mes lèvres, mes cheveux sur vos cuisses et par dessus votre caleçon, mon amour.
Ce dernier, à son tour se retrouve au même stade que vos pantalons, mon amour.
Votre sexe est au meilleur de sa forme, mais vu que votre écran à l'air de vous passionner, passionnément, je regarde cette chose sautiller, toute seule et je me mets à la fixer aussi passionnément que vous et votre écran, mon amour.
Au bout d'un moment, vous m'avez oubliez, mon amour, mais je ne vous en veux pas, c'est ce que je voulais.
L'escargot est rentré dans sa coquille, mon amour.
Vous êtes au repos, mais pas du guerrier, la guerre n'est pas encore déclarée, mon amour.
Je m'approche de votre asticot, inerte pour l'instant, et vous prends en bouche dans votre intégralité, mon amour.
Je vous suce, de façon délicate, faisant aller et venir votre gland dans ma cavité buccale, mon amour.
J'entends vos fortes inspirations et des bruits incompréhensibles qui sortent de votre bouche ne cachant rien de votre émoi, mon amour.
Vous sentir grandir en moi, me fait tourbillonner de bonheur, mon amour.
J'aime subir cette transformation diabolique de votre puissance, mon amour.
Maintenant que l'asticot n'est plus et l'escargot sorti de sa coquille, je vous pompe avec ardeur, mon amour.
Je vous gratifie de quelques coups de dents savamment dispersés qui vous fait sursauter, pour notre plus grand plaisir, mon amour.
Métronome de la montée de votre jouissance, diapason de votre évasion, je m'applique à vous prodiguer cette caresse, mon amour.
Vous gicler violemment dans mon arrière-gorge, mon amour.
Vous manquez m'étouffer, mon amour.
Dans une dernière secousse, vous vous apaisez, mon amour.
Je continue de vous sucer, mon amour.
Après vous avoir senti grandir en moi, j'aime à vous sentir redevenir le petit asticot, mon amour.
Quand le repos est là, je fais un dernier retour précautionneux pour récupérer l'ensemble de votre perdition et m'en délecter en le faisant coulisser au plus profond de mes entrailles, mon                                                                                                 amour.                                                                                            Je vous laisse dans l'état et je rejoints notre lit dans lequel je me glisse en étant excitée de cette                                                                                   luxure, mon amour.                                                                                Peu de temps après, vous vous collez à moi dans le plus simple appareil et vous vous endormez,                                                                                      mon amour.                                                                                    J'écoute votre respiration, que je copie sans m'en rendre compte et je vous suis chez Morphée, mon amour.

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Photo de Justin Lauria sur Unsplash.

Il était une fois ... le plaisir.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant