Bonjour à toi lecteur de prendre le temps de me lire et surtout merci.
Aujourd'hui, je n'ai pas seulement corrigé les tournures de phrases ou rectifié quelques pans de l'histoire ; j'ai complété et changé le texte de façon outrancière !!!!
Je vous mets l'original d'abord, puis ma conception de l'histoire 12 ans après puisque je rappelle que se sont à la base des « vieux écrits ». Mais c'est très rigolo de les mettre à la sauce de comment je suis aujourd'hui.
Je vous bise, même en ces temps de restriction !!!!
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Version 2008 !!
J'entre dans la salle de bain, tu te brosses les dents. Je me déshabille, un strip-tease langoureux, avec un air coquin. Tu me regardes avec un sourire et l'œil qui s'émoustille.
Je rentre dans le bac à douche et sans me retourner referme entièrement les portes derrière moi.
Tu finis ce que tu as à faire, et part ne sachant pas ce qu'il t'attend, mais sachant qu'il y aura quelque chose. Les cheveux encore mouillés et entièrement nue, je pénètre dans notre chambre. Tu es couché. Tu lis.
Très bien bonhomme continu.
J'ouvre une porte de l'armoire, me penche, en faisant dépasser ma chute de reins en la cambrant, pour attraper ma boite de nuisettes et autres dentelles de nuit.
Je pose ce trésor sur tes jambes. Je l'ouvre et attrape une à une les plus affriolantes, que je sème sur le lit. J'opte pour la rouge, dentelle transparente pour le haut et satin opaque pour le bas.
- Celle-là ?
- Non, je te préfère nue.
Bien, parfait.
Je range mon déballage, ferme la boite la remet dans l'armoire en attrapant discrètement le shorty assortie et part dans la salle de bain. Je réapparais trente secondes après avec mon intimité et mes fesses recouvertes de fleurs et d'arabesques rouges, légèrement volantes sur les cuisses. Comme j'aime.
Tu ris aux éclats comme un gamin, en lançant gentiment :
- Oh non ! C'est pas vrai !!!
Et oui ! C'est vrai !!!
Je monte sur le lit, j'enlève tout : draps et couvertures, ton livre, le pose sur la table de nuit, ton tee-shirt, envoi balader ton caleçon.
Tu souris, un peu déboussolé, tu ne m'as jamais vu dans cet état. J'attrape la fameuse nuisette rouge et sans réfléchir je te bande les yeux avec. Toujours déboussolé, mais ravi tu es. Je m'agenouille à côté de toi et commence à te caresser par petites touches, en haut, en bas, au milieu, partout. Avec mes mains, mes lèvres, ma langue, mes cheveux encore humides.
Tu soupires, tu te contractes au fur et à mesure de mes nombreux passages.
Tu t'impatientes.
Je le sais.
Il faut que ça aille plus vite. Quand je sens cette impatience presque à bout ; je passe mes pieds entre tes jambes, les écartent d'un coup. Tu es retissant, c'est trop brutal pour toi, pas l'habitude. Je maintiens ma position. Une fois obtenu satisfaction je m'installe confortablement sur le côté ta jambe gauche sur ma hanche et ta jambe droite sous mon épaule.
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Il était une fois ... le plaisir.
Historia CortaDu plaisir d'un regard posé sur un corps à l'intense volupté d'une étreinte torride ... il y en a pour tous les goûts ! Venez butiner dans mon assortiment du plaisir sous toutes ses formes : poèmes, regroupement de quelques centaines de mots, cour...