Chapitre 2: Ce que tu me fais

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Amaliya

Il se tourna vers moi et sourit de toutes ces dents, un sourire qui disait « ne t'en fais pas »

Et l'espace d'un instant j'étais protégée, parce que cet homme n'avait pas hésité à me défendre lorsque personne n'avais bouger le moindre doigt pour moi.

Il lisait en moi.

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La journée passait plutôt normalement, l'heure de midi étais arrivée, je fein de rentrer chez moi pour éviter la cantine.

Cet endroit étais un enfer pour moi, à manger, des gens, mon enfer.

Alors je trainais dans la rue, et j'attendais que l'heure de reprendre les cours arrive. Puis ma tristesse me revint en pleins visage, comme une gifle que je mis longtemps à assimiler, comme si mon âme avait été repeinte le temps d'une matinée, mais voilà que mon visage reprenait son habituelle tristesse, et mon cœur avec.

Tu le feras souffrir même sans le vouloir Ama.

Je feins de ne pas écouter cette voix et répartis en direction du lycée.

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Le reste de la journée j'avais tout fais pour éviter Aser, et ça avait marché puisqu'il avait fini par me laisser tranquille. Je m'étais aussi excusée au près d'Anna parce que c'était ma seule amie et que sans elle, j'étais encore plus seule extérieurement.

Parce que intérieurement ma solitude me tuait a petit feu, mais ça jamais je ne l'assumerait.

Quelqu'un toqua à ma porte, me faisant sortir de mes pensée, et le visage de mon père m'assena une gifle, son regard étais remplis d'inquiétude et de tristesse, et mon cœur s'était déchirer, tellement que le bruit m'étais parvenu.

-Je t'en prie ma fille mange quelque chose, tu n'es pas rentré ce midi, comme à chaque fois. Dit-il

Je me détestais pour ce que je lui faisait subir, mais je n'arrivais pas à contrôler ca

Mes démons

-Je suis désolé papa, pardonne moi, je te promets de manger ce soir. Dis-je en faisant un faux sourire

Mes démons me consument.

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L'heure du repas avait sonné, je m'assis à table, face à mon père, qui elle étais à côté de mon père.

Il me regardait à chaque bouchée, comme si ses poumons se regonflaient à chaque mastications.

Après mon repas, je m'alluma une cigarette pour tenter d'oublier ces calories qui entrent dans mon corp.

Ça me hante

Je pris mon téléphone et après un long moment d'hésitation j'appuie sur Instagram et envoya un message à Aser

-Pardonne moi pour cet après midi, je t'apprécie vraiment mais il est mieux pour toi de m'oublier, je ne suis pas une femme pour toi, merci de m'avoir donner l'envie de sourire ces deux jours, bonne continuation à toi.

Je n'attendais pas sa réponse, parce que je savais qu'il m'aurait fais changer d'avis, et je n'ai pas envie de lui faire subir ça

Mes démons

Sans m'en rendre compte, mes jours étais inondée de larmes, que je n'avais même pas sentie coulée tellement j'avais pris l'habitude de les sentir, alors du revers de la main, j'essuyais ces larmes pour que personne ne les voit.

Souviens-toi de moi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant