DANGEREUSE ATTRACTION

chapitre 4

—q-quoi? Soufflait je du bout des lèvres alors que mon ventre se tord de dégout, je n'arrive pas à y croire pourtant quand je regarde cet homme dans les yeux je sais qu'il dit la vérité c'est bien le genre de mon géniteur de faire sa, mais je ne peux m'empêché d'être blessé et incrédule, je me souviens bien qu'avant notre fuite il avait prévu de me donner à ce porc de caïn alors à quel moment cet homme qui me regarde en attendant une réaction de ma part entre t'il en jeu hein?.
— vous aurez peut être du mal à me croire mais c'est bien vrai, vue que votre père ne m'a jamais remboursé je recupère ce qui me reviens de droit, à l'occurrence vous. Dit il calmement comme s'il parlait d'une simple transaction, comme si moi je n'avais pas mon mot à dire dans tout sa.
— mais moi je n'ai aucune envie d'être lier de près ou de loin avec vous ou mon géniteur, ce que vous gérez avec lui ne me regarde en rien, je ne suis pas un putain d'objet que l'on peu changer ou utiliser comme sa le chante, et puis comment avez vous pû accepter un truc aussi dégueulasse, épousé quelqu'un que vous ne connaissez même pas seulement pour contrat c'est pathétique, vous n'avez pas pensé à ce que moi je pouvais ressentir à hein, bien sûr que non, seul votre argent vous intéresse pas vrai ? vous êtes exactement comme lui. Hurlait je en vidant toute ma colère sur lui et bien qu'il ne parle pas j'ai clairement vu son regard s'assombrit, sa machoire se contracté et ces poings se serré ce qui me pousse à me reculé instinctivement de peur de recevoir une punition comme celle infligé par mon géniteur par le passé, mon dieu a quel moment j'en suis arrivée là? Je devais juste livré un gâteau et m'en aller alors pourquoi sa m'arrive ? Suis je condamné à vivre des méfaits de mon géniteur? Et jess que va t'il lui arrivé?
— vous avez finir ou il y'a autre chose que je dois savoir? Dit il d'une voix grave et tranchante, tellement que je sens mon corps tressailli de peur, je déglutis difficilement en baissant la tête devant ces yeux qui me transperce.
— j-je...pourquoi faites vous sa? O-on peu trouvé une attente, voilà c'est sa, j-je peux vous remboursé ce que mon géniteur vous dois ,vous me laissez partir et on oublie tous cette histoire vous êtes d'accord ? Dis je en relevant la tête pleine d'espoir mais quel ne fut pas ma surprise de le voir rire face à mes propos qui doivent lui semblé absurde en vue de son regard.
— vous voulez remboursé la dette de votre père, c'est très honorable de votre par je le conçois, mais je doutes fortement que vous ayez 15millions en votre possession je me trompe mlle hamilton? Dit il en prénant place sur un fauteuil près de la fenêtre alors que mon coeur de lâché prise de même que mon corps d'ailleur.
— c'est une blague hein.
— malheureusement non ma chère demoiselle. Dit il en me fixant intensément comme s'il cherchait quelque chose en moi, j'ai la tête lourde je sens que je vais vomir, c'est un cauchemar. Bien maintenant que vous êtes plus calme ou plutôt en état de choc vous êtes à peu près disposé à m'écouter alors, vous avez ne pas vouloir être lier à quelqu'un comme moi, mais tu l'es déjà ma belle, au yeux de la loi tu es ma femme et ceux depuis 4 ans que tu le veux ou pas, la seul solution pour te sortie de là est mon argent chose que nous savons ni toi ni ton père ne l'a et je suis sur que tu ne veux pas impliqué ta petite soeur dans cette histoire pas vrai? Et à l'avenir évite de me comparé avec ce déchet qui n'hésite pas à sacrifier sa propre fille pour du fric, et en se qui te concerne j'ai murement refléchir avant de prendre cette décision figure toi, depuis que l'on c'est revue hier j'espérais que tu me reconnaisse mais on dirai que non, c'est vraiment triste tu sais, moi qui n'est jamais cessé de penser à toi. Termine t'il en portant une main à son coeur de manière théâtral  pourtant cette lueur qui brille dans ces yeux verts me dire qu'il est parfaitement sérieux ou alors je me fais encore des films parce que j'ai du mal à assimilé tout ce qui m'arrive. J'ai beau regardé cet homme sur toute les coutures je n'arrive pas à savoir où et quand j'aurais pu l'avoir rencontré mais je ne trouve pas, on n'oublie pas un homme pareil si? Quand bien même je refuse de subir cette situation, je n'en veux pas de tout sa, tout ce que j'ai toujours voulu c'est la paix alors pitié mère nature fiche moi la paix.
— Mr preston, je comprends parfaitement que vous vouliez ce que mon géniteur vous à promit mais je n'ai jamais été mise au courant de toute cette affaire et je ne l'ai jamais voulu d'ailleur vous avez déjà son entreprise et je suis sûr tout ces biens alors pourquoi ne pas oublier cette histoire de mariage, je suis sur qu'il y'a une centaine de femme qui voudrais être votre épouse  mais...
— mais pas toi c'est sa? Alors vois tu ma belle, je suis un homme d'affaire et surtout de parole, quand je m'engage dans quelque chose j'y vais jusqu'au bout, alors je veux passé un nouveau contrat avec toi es tu d'accord ?
— un contrat? Qu'est ce que vous voulez? Dis je méfiante ce qui le faire sourire. Il se lève d'un coup et en quelque seconde il se retrouve de nouveau en face de moi ce qui à pour effet de coupé mon souffle déjà inférieur à la normal, il tend la main et m'aide à me redressé pour que je lui fasse face, chose qui est vraiment difficile vu sa taille de géant, sa main posé sur le bas de mon dos me rapproche encore plus de lui alors que son parfum envahir mon nez, me procurant une sensation bizarre au bas ventre, et il sourit encore plus comme s'il sait ce qui se passe dans mon corps.
— tu ne te souviens vraiment pas de moi? Chuchote t'il près de mon oreille comme si c'était le plus important du monde.
— n-non, j-je ne vous connais p-pas désolé. Dis je dans un souffle en priant de toute mes forces pour ne pas perdre connaissance devant tant de beauté, c'est presque irréel d'ailleur.
— je vois. Je voudrais te proposé quelque chose et je voudrais vraiment que tu l'accepte sinon je serais obligé de faire autrement. Dit il plus sérieusement, toute lueur ayant quitté son regard comme s'il était une coquille vide, je déglutis difficilement.
— j-je...pouvez vous d'abord me lâché s'il vous plait? Dis je et a ma grande surprise il s'exécute avec un sourire moqueur aux lèvres. Merci, je vous écoute.
— très bien, vu que nous sommes déjà marié et que de toute évidence tu ne souhaite pas le resté...
— je n'ai jamais voulu l'être. Le coupais je automatiquement avant d'être rappeler à l'ordre par son regard noir. Je suis désolé continuer s'il vous plait.
— j'ai besoin de ma femme pour tuer certaine rumeur que la presse s'amuse à accumulé sur moi, ce qui impacte beaucoup dans mes affaires, j'ai voulu réglé sa à ma façon mais mon avocat m'a conseillé cette solution, je veux que nous soyons le parfait petit couple et ceux pour 1ans, passé cet année je jure de te rendre ta liberté, nous allons établir un contrat dans le quel tu vas pouvoir mettre toute les closes qui t'arrange, et pendant ce délai je jure de tout faire pour te protégé et tu ne manquera de rien, alors tu es d'accord ? Déballe t'il en ne me quittant pas des yeux ce qui me laisse sans voix.
— mai-mais j-je... J'ai besoin de refléchir pitié, c'est trop...trop soudain pour moi tout sa.
— très bien, alors tu as une semaine pour te décidé pas un jour de plus, et n'essaie même pas de t'en fuir sinon je serais moins clément avec toi et n'aimera pas ce coté de moi compris? Dit il avec un sourire presque diabolique aux lèvres ce qui malgré moi fait monté mes larmes, tout ceci c'est de la faute de mon père, je le déteste tellement, comment je peux échappé à toute cette merde hein?.