Quatre jours que je suis rentré à la maison et je n'arrête pas de pensé à tout ce qui me tombe dessus, je n'arrive pas à croire que mon père m'a vendu à cet homme<< vraiment ariana? Tu n'y arrive vraiment pas alors qu'il t'a vendu à ce vieux porc de Caïn ?>> me rappel ma conscience alors qu'un frisson de dégout me saisit, ce vrai que sa ne m'étonne plus vraiment mais j'aurais aimé pensé qu'avec le temps qui est passé il aurait pu changer mais faut croire que j'ai trop espéré, d'ailleur je me demande à quel moment il a pu passé ce contrat un autre frisson me parcours à la simple pensé qu'il est pu me vendre à ces deux hommes, la bile me monte à la gorge, mon géniteur ne recule vraiment devant rien, je me sens sale tout à coup, alors je n'ai été pour lui qu'une marchandise et rien de plus? Ce n'est que sa que je vaux alors? Oh mon dieu.
— Mlle vous m'écoutez? Dit une voix en face de moi, je cligne plusieur fois des yeux pour me reconnecté à la réalité avec un sourire désolé sur les lèvres.
— j-je suis désolé mr, qu'est ce que je vous serres? Dis je doucement en posant enfin le gâteau au chocolat que j'avais en main depuis un moment il me semble.
— vous semblez dans la lune ma petite demoiselle, est ce votre fiancé qui vous met dans cet état? dit innocemment le vieux mr en face de moi en rigolant alors que les battements de mon coeur redouble en intensité, j'essaie de faire bonne figure et sourit.
— vous vous trompez mr, je ne suis pas fiancé, d'ailleur je n'ai même pas de petit ami alors un fiancé c'est un peu trop vous ne pensez pas? Dis je en riant nerveusement, il me regarde un sourcil levé avant qu'il ne rit aussi ce qui me retire un poids des épaules.
— pourtant j'aurais juré que cet homme était votre fiancé vu comment il vous regarde depuis un moment, mais bon je suis beaucoup trop vieux pour ce genre de chose on dirait, je voudrais une tarte au fraise s'il vous plait. Dit il alors que je fronce les sourcils d'incompréhension, je m'exécute tout de même et emballe sa tarte.
— merci. Dis je en lui tendant son reste mais avant qu'il ne parte de l'arrête. Euh...mr, d-de quel homme vous parliez tout à l'heure ? Dis je, il se retourne vers moi avec un sourire aux lèvres avant de me montré une place au fond de la salle.
— si vous voulez mon avis, cet homme est fou de vous, c'est rare de voir un homme regardé une femme avec autant de possessivité dans le regard, si c'est un ami à vous ,je vous conseillerais de tenté quelque chose avec lui, enfin c'est juste mon avis, sur ce bonne journée mlle. Dit il en reprenant sa marche, je quitte de derrière le comptoir intrigué par les propos du papy et me dirige vers les table du fond le coeur battant, j'ai l'impression que plus j'avance plus mes pas se font lourd, mon magasin ne m'a jamais parut aussi grand de toute ma vie, quand j'arrive au fond de la salle je me fige d'un coup en voyant celui qui s'y trouve, << qu'est ce qu'il fait içi ?>> je suis comme pétrifié, je n'arrive plus à bouger d'un pas et il le remarque vu le sourire qui apparait sur ces lèvres, tout mon être me demande de fuir, de m'éloigner le plus possible de cet homme mais pourtant je ne bouge toujours pas, pourquoi ? Je n'en sais rien, je suis comme envouté par ces yeux verts, et mon dieu son aura, comment j'ai pu le manqué dès son arriver hein?
Il se lève gracieusement en réajustant sa veste de costume et en quelque enjambé il se retrouve en face de moi me surplombant de toute sa hauteur ce foutue sourire ne quittant pas ces lèvres, je ne bouge toujours pas et garde les yeux rivé sur sa veste noir, son parfum envahit de plein fouet mon nez et tout mon être.
— bonjour ma douce. Dit il de sa voix rauque qui me donne des frissons sur tout le corps, et c'est à ce moment que j'arrive enfin à bougé, je me dirige presque en courant vers la cuisine en priant pour qu'il s'en aille sans insisté, mais quand je m'apprête à verrouillé la porte un pied énorme le bloque.
— allons ma douce ce ne sont pas des manière pour une demoiselle aussi belle que toi. Dit il en entrant dans la cuisine un sourire fière au visage alors que je détourne le mien qui est tout rouge à cause de lui.
— qu'est ce que vous faites ici? Vous avez dire que j'avais une semaine et il me reste encore...
— trois jours je le sais, mais.. disons que j'ai eu envie d'un délicieux gâteau et je me suis souvenu que mon adorable petite femme fait les meilleurs pâtisseries du monde alors me voici. Dit il en écartant les bras dans geste théâtral.
— je ne suis pas votre femme, e-et si vous voulez une pâtisserie il y'en a plein de beaucoup plus qualifié que moi alors allez vous en je vous en prie. Dis je en m'éloignant le plus possible de lui mais je m'arrête quand je me rends compte que je suis arrivé au fond de la pièce alors qu'il n'a pas bougé de l'entrée et ce sourire, pourquoi il n'arrête pas de sourire bon sang.
— alors tu refuse de servir un client qui viens de si loin pour mangé un de tes succulent gâteau, comme c'est triste moi qui me fesait une joie d'en savouré chaque bouché jusqu'à la toute dernière. Dit il avec un regard insistant sur mes lèvres ou je me fais encore des films dans ma tête, j'aurais pourtant juré qu'il ne parlait pas uniquement de pâtisserie là, << non arrête de te faire des films ma pauvre, cet homme veut juste se servir de toi il a pourtant été clair là dessus, alors réveille toi>>.
— j-je suis désolé de ne pas être très accueillante envers vous, mais comprenez que je ne pensais pas vous revoir avant lundi.
— tu aurais espéré ne plus me revoir du tout je me trompe ma belle? Dit il en fessant un pas dans ma direction et là je ne peux m'empêché de me maudit de m'être autant éloigné, comment je fuis maintenant hein.
— je ne vous dirais pas le contraire vu les circonstances mr Preston, je ne trouve aucun plaisir dans ce que vous me proposez, j'ai juste l'impression d'être un pion dans un jeu sordide dont j'ignore totalement les règles, j'ai beau retourné cette situation dans tout les sens je n'arrive pas à comprendre ce qu'un homme tel que vous gagne à avoir une fille comme moi à vos côtés, pourquoi avoir accepté ce contrat hein, vous n'aviez pas le droit de faire sa, je ne suis pas un outil que l'on donne au premier venu . Dis je en essuyant une larme qui m'a échappé alors qu'il se retrouve maintenant face à moi le regard brûlant, je crois que c'est la première fois de ma vie qu'on homme me regarde ainsi, comme s'il voulait me sauter dessus mais qu'il se retenait.
— la plus merveilleuse des femmes. Dit il en fixant mes lèvres une nouvelle fois avec envie?<< ok là je n'ai pas rêvé hein?>>.
— q-quoi?
— j'y gagne la plus merveilleuse des femmes. Dit il plus sérieusement. C'est si terrible de t'imaginé être ma femme? C'est vrai tu ne me connais pas encore et toute cet histoire peut te semblé trop brusque, je le conçois je ne m'y suis pas pris de la meilleur des façons mais croire le ou pas, c'était juste pour te protégé.
— m-me protégé ?
— oui, comme je l'avais promir à ta mère, je ferais tout pour vous protégez ta soeur et toi. Dit il alors que des larmes me montent aux yeux.
— t-tu connaissais ma mère? Chuchotait je.
— et pas seulement. Dit il en me montrant un collier, le collier que je l'avais donné à lui.
— m-mais c-comment t-tu...
— tu te rappels enfin de moi ma douce.
— n-non, t-tu es m-mort....
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DANGEREUSE ATTRACTION
RomanceQuand j'ai croisé son regard pour la première fois j'ai été subjugué, fasciné, il était le plus belle homme que je n'avais jamais vu mais pas seulement.... J'ai fuir cet enfer avec ma soeur pour pour échappé à la vie qui était la notre il y'a encore...