chapitre 6

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                PDV de DAMON

— eh bien, eh bien, qu'est ce qui arrive au grand Preston pour qu'il se bourre la gueule à même pas 19 heures ? Raille une voix dans mon dos qui malheureusement je reconnais presque aussitôt, je porte mon verre à mes lèvres pour le vidé puis je me retourne vers se chieur qui bien évidemment n'est pas disposé à me foutre la paix, pourtant c'est la seul chose que je demande putain.
— je peux savoir ce que tu fou là Anderson? Dis je en me servant un autre verre. Ah non laisse moi deviné nath t'en a parlé pas vrai? Raillait je en levant les yeux au ciel déjà agacé de la conversation qui arrive.
— mais je ne vois pas de quoi tu parles mon cher ami, à moins que tu n'aie quelque chose à me dire? Dit il d'un air faussement innocent avec un sourire en coin qui à le don de me foutre les boules.
— ah, alors tu veux dire qu'il ne t'a pas parlé de Sofia Hamilton ou devrais je plutôt dire Sofia Preston, ou encore il ne t'a pas parlé de la charmante petite discussion que j'ai eu avec elle cet après midi grâce au super conseil de ce petit con. Raillait je en prenant place sur mon fauteuil en poussant un soupire de lassitude, il prend place en face de moi avec ce même sourire qui ne quitte pas ces lèvres.
— Je ne vois toujours pas de quoi tu veux parlé mon ami, à moins que tu veux parlé de cette jeune fille que tu as fuir il y'a 8 ans sous prétexte que tu était juste en mission alors qu'elle a eu le courage de te dire ouvertement qu'elle t'aimait, et puis tu es réapparu comme un fantôme en l'annonçant fièrement qu'elle était ta femme dû à cet échange avec son père et le clou du spectacle tu l'achève en lui disant que tu es ce cher Logan ride l'homme qu'elle a profondément aimé et qui n'a eu aucun remord à rejeté son amour et qui pour clôturé le tout est censé être six pied sous terre, si tu veux parlé de sa, eh bien, oui je pense qu'il m'en a vaguement parlé en effet. Termine t'il alors que ma machoire est sur le point d'exploser tellement elle est crispé, j'étais déjà au plus mal avant l'arrivé de ce con mais maintenant je me sens vraiment monstrueux, cette fille, je l'ai dans la peau depuis le premier jour que nos regards ce sont croisée dans cette grande salle de balle où elle était avec sa mère et sa soeur, dans ces yeux j'ai cru y voir le reflet de mon âme si abimé par tant de souffrance, j'étais tellement obnubilé par elle que je n'ai cessé de l'observer toute la soirée, et quand elle c'est éclipsé timidement pour se rendre sur ce balcon je n'ai pas pu tenir longtemps et je l'ai suivie, quand je l'ai trouvé sur ce banc sous la lumière de la lune le regard absent je crois que c'est à cet instant que mon coeur de glace a fondu pour elle mais ce n'était pas possible, elle n'était qu'une enfant à cet époque je ne pouvais pas l'avoir et puis il y avait mon père, je ne pouvais pas lui offrit la vie qu'elle voulait, elle ne pouvait pas être heureuse avec moi, essaie je de me convaincre jusqu'à ce qu'elle se tourne vers moi le regard méfiant et ce sourire de façade qui pourtant m'a déstabilisé quelque seconde et quand elle m'a dire ce bonsoir timide et distant j'ai flanché, je la voulais elle et personne d'autre mais...
— que compte tu fais d'elle? Dit la voix de jace qui m'arrache brutalement de ces pensées douloureux et merveilleux à la fois.
— je vais retourné lui parlé, je ne peux faire autrement c'est ma femme après tout, et il faut que je la protège, il ne va pas tardé à retrouver leurs traces maintenant qu'il a tout perdu je suis sur qu'il va vouloir les retrouvés.
— alors c'est la seul raison qui te pousse à agit ainsi? Tu te fous de moi Preston, oh, à moins que tu ne t'es découvert une passion de super héros maintenant ? Dit il un sourcil levé l'air ironique, je souffle en levant les yeux au ciel.
— l'ironie ne te va vraiment pas andersson, danie ne te le dit pas souvent ou quoi? Raillait je en portant mon verre à mes lèvres, une grimace étire mes lèvres quand je repense à la journée pourrie que j'ai passé, je revois son regard vide quand elle a compris qui j'étais avant qu'elle ne me mette dehors comme un putain de monstre.
— hum non, elle dit surtout que je suis le meilleur mari du monde. Dit il avec un sourire narquois. Bon, maintenant qu'elle sait que vous êtes marié c'est quoi le programme? Rassure moi tu ne comptes pas faire les mêmes conneries que moi n'est ce pas?
— ne soit pas stupide andersson, c'est vrai que je me suis un peu comporté comme un con avec elle, mais je ne compte pas gâché cette chance, je n'aurais jamais imaginé me marié de cette façon mais quand j'ai sû pour ce connard de caïn j'ai vu rouge, elle m'en veux pour le moment mais je comptes bien gagné sa confiance et peut être à ce moment...
— elle se rendra compte à quel point tu es fou d'elle depuis tant d'année, et c'est pour sa le délais d'un ans? Tu penses vraiment que sa va suffit?
— je n'en sais rien mon vieux, je sais juste que je veux être avec elle, putain tu ne sais pas à quel point c'était dure de la surveillé sans pouvoir l'approcher, ou encore de voir son connard de père la frappé sans pouvoir intervenir, et tout ces mecs qui... Fais chier
—  et si après cette année passé à tes côtés elle veut quand même partie est ce que...
— je la laisserais partie? Dis je en levant un sourcil moqueur. Allons andersson tu me connais mieux que sa, mais pour repondre à ta question, eh bien figure toi que j'ai une île au nord de la côte d'azur perdu au milieu de nul part, je vais juste la séquestré  disons un ou deux ans, et pourquoi pas 10 ans? Je verrais le moment venue, qu'à cela ne tienne elle restera à mes côtés. Dis je avec un sérieux déconcertant alors que le con en face de moi par dans un grand éclat de rire, il s'arrête au bout d'un moment à bout de souffle.
— t'es vraiment pas croyable toi, dit il avec un sourire en coin. au moins je suis rassurée.
— je peux savoir pourquoi exactement ?
— eh bien, pendant un moment j'ai eu peur que essaie encore de fuir ce que tu ressens pour cette fille, je suis heureux de voir que tu assume enfin tes sentiments pour elle, et surtout que tu es près à te battre pour elle.

C'est vrai que je l'ai faire par le passé, vu la vie que je menais je me disais ne pas avoir besoin de sentiment qui me rendrai faible ou dépendant de quelqu'un, pourtant quand je l'ai rencontré toute mes convictions ont flanché les une après les autres mais pourtant je n'ai cessé de me voilé la face pendant tant d'année, finalement je ne vaux pas mieux que ces abrutis.
— il faut croire que jouer les sauveurs pour vos magnifiques femmes m'a donné envie d'avoir également ce bonheur. Dis je en sortant mon téléphone de ma poche qui vibrait, quand je vois le nom de sanchez sur l'écran mon sang ne fait qu'un tour et je décroche presque aussitôt.
— qu'est ce qu'il y'a? Dis je d'une voix froide.
— patron, c'est madame, elle vient d'embarqué dans un avion en direction de los angeles. Dit il nerveusement alors que le verre que je tenais dans ma main se brise.

C'est une putain de blague hein?.






DANGEREUSE ATTRACTIONOù les histoires vivent. Découvrez maintenant