chapitre 8

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— putain je n'en peux plus, il me faut un verre ou deux ou trois, et puis merde je vais boire un coup tu me suit ? Dit jess d'une voix tout sauf normal en rigolant bêtement et je la suis dans son délire, faut dire que je ne suis pas mieux qu'elle, je secours vivement de la tête pour lui faire comprendre que moi je vais continuer à bougé un peu, elle sourit puis prend la main de Josh et se dirige vers le bar, une fois qu'ils sont hors de vue je ferme les yeux et me laisse emporté dans la "havana" de camilla Cabello, mon esprit est complètement éteint, je refuse de pensées à ce menteur et encore moins à la situation que je vais devoir affronté à mon retour, je dois trouver un moyen d'annuler ce mariage peu importe ce qui m'en coûte.
— tu sais que tu n'es pas mal toi? Souffle une voix masculine dans mon oreille ce qui me fait brutalement ouvrir les yeux pour me rendre compte qu'il a ces mains sur mes hanches.
— oui je sais, dis je avec un sourire aux lèvres en continuant à bougé contre lui sans me retourné, je n'ai pas envie de gâché ce moment en me rendant compte que se mec n'est pas comme mon cerveau embrumé l'imagine, on continue de dansé pendant je ne sais combien de temps mais je commence à avoir mal aux pieds, j'essaie donc de m'écarté de l'inconnu mais il ressert sa prise sur moi.
— où tu vas comme sa ma belle?
— j'ai besoin d'un verre mon mignon, alors soit gentille et va m'en cherché un tu veux bien? Dis je en me retournant enfin pour rencontrer l'inconnu qui finalement n'est pas si mal, je lui fais mon plus beau sourire qu'il me rend presque aussitôt, ah oui j'avais oublié à quel point ce côté remontait à la surface quand je suis soule.
— d'accord ma belle, ne bouge pas d'ici. Dit il en me fessant un clin d'œil que je réponds avec un sourire charmeur, il s'en va enfin et je recommence à danser mais je m'arrête quelque seconde plus tard en sentant une aura écrasante près de moi, j'ouvre les yeux et regarde partout mais je ne vois rien pourtant j'aurais juré que quelqu'un me regardait, je dois vraiment être soule ma parole, je souffle et essaie de reprendre ma danse mais malgré tout l'alcool que j'ai ingurgité les sensations ne sont plus là, je me sens étouffé tout à coup, il faut que je sorte d'ici, j'ai besoin d'air. Je titube mollement sur mes pieds tremblants et après une lutte acharné contre tout ce beau monde je me retrouve enfin dans un petit couloir qui je l'espère de tout coeur me mènera dehors mais plus j'avance plus cette sensation d'être espionné me met mal à l'aise, j'ai envie de vomir, je commence vraiment à stressé et là je sais que la crise de panique n'est pas loin, je m'assois maladroitement contre le mur de ce couloir qui me parait bien sombre maintenant, je mets ma tête sur mes genoux essayant de combattre ce malaise, je ferme les yeux et prend une grande inspiration, << ma pauvre, regarde dans quel état tu t'es mise à cause de lui>> dit ma conscience d'un aire peine qui me fait encore monté les larmes aux yeux je n'ai même pas la force de les nettoyés, je suis tellement fatiguée, j'aurais tellement voulu être chez moi à regarder un dessin animé avec un pot de glace, mais au lieu de sa je me retrouve dans une boite toute seul à me morfondre à cause d'un mec qui c'est toujours foutu de moi et de mon géniteur qui ne cesse de me pourrie la vie où que j'y aille, je suis fatiguée.
— madame, vous allez bien? Dit une voix en face de moi sur un ton que je jurai professionnel, je relève faiblement la tête et hoche doucement cette dernière, l'homme me regarde les sourcils froncé puis me tend sa main en gardant une certaine distance, je regarde celle-ci sans bougé, il me fait un petit sourire qui se veut rassurant.
— vous devez venir avec moi, mon patron veut vous voir. Dit il alors que je fronce les sourcils à mon tour.
— votre patron? Qui est il et pourquoi veut il me voir? Dis je sur la défensive.
— vous le saurez si vous venez avec moi, il m'a juste chargé de vous ramenez à lui. Dit il d'une voix qui bien que masqué me semble tout de même tendu ce qui me fait stressé encore plus.
— je suis désolé, vous direz à votre patron que je ne suis pas intéressée et je ne suis pas venu seul, ma soeur m'attend et je suis sûr qu'elle s'inquiète déjà pour moi, je suis désolé mais je dois vous laissez. Dis je en me relevant pour prendre le chemin inverse du couloir mais une main sur mon épaule me retiens.
— madame, vous ne comprenez pas les ordres sont les ordres, Mr a été clair sur le faite d'utiliser tout les moyens possible alors je vous en prie évitons des désagréments inutiles d'accord ? Dit il et cet fois je flippe pour de bon, je vois bien dans son regard qu'il n'est pas prêt à lâcher l'affaire mais je ne peux non plus ignorer les voyants rouges qui sonnent l'alerte dans ma tête alors que faire? Je souffle et jette un coup d'oeil inquiète vers la direction que je suis venu espérant un quelconque miracle mais rien, je reporte mon regard sur le type qui ne bouge toujours pas attendant sûrement que je me résigne à mon sort et c'est ce que je fais, il fallait vraiment que je laisse mon sac et mon téléphone dans un pareil moment hein.
— très bien, je vous suis. Dis je fatiguée, il hoche de la tête et se dirige vers ce qui me semble être un ascenseur que je n'avais même pas remarqué jusqu'à présent, il me jette des coups d'oeil sûrement sur ces gardes, mais ce qu'il ne sait pas c'est que même si je voulais m'en fuis je ne pourrais pas, non seulement parce que je suis bien soule, mais aussi parce que ma maladresse légendaire ne m'a jamais lâché, alors au lieu de me cassé la gueule pour rien autant rencontré son fameux patron au plus vite et rentré enfin à l'hôtel me reposé
— vous avez parlé de votre patron, mais je ne le connais pas, et pourquoi il demande à me voir moi spécialement ?
— je ne peux rien dire de plus je suis navré, mais allez y vous verrez par vous même, il vous attend à l'intérieur. Dit il en ouvrant la seul porte qui se trouve à cet étage, une boule se forme dans ma gorge et mon envie de vomir me reviens de plein fouet, j'ai un mauvais pressentiment là.
— je ne crois pas que...
— ne vous inquiètez pas, tout va bien ce passé. Dit il d'un air rassurant, j'hésite encore quelques secondes puis me décide finalement à entré dans cette pièce qui me fait froid dans le dos et le bruit de la porte qui se referme derrière moi n'arrange rien à mon état, j'avance le plus doucement possible et remarque une grande baie vitrée, je m'approche de celle-ci et je constate que l'on peu voir toute la salle d'ici, j'essaie de repéré jess et Josh mais je ne les vois pas, je remarque l'inconnu avec qui je dansais assis au bar près d'une fille qui semble aussi soule que moi, << on peu dire qu'il ne perd pas de temps lui>>, je souffle et me retourne pour prendre place sur le canapé que j'ai vu en entrant, je pousse un hurlement quand je remarque que quelqu'un se tient derrière moi ou plutôt en face de moi maintenant.
— je vois que tu t'es bien amusé ma belle. Dit une voix rauque à la respiration saccadé, je recule d'un pas d'instinct.
— q-qu'est ce que v-vous faites là ? Dis je en reculant encore quand il fait un pas vers moi.
— allons ma belle, ne me dis pas que tu pensais vraiment m'échapper, sa fait des années que je ne te quitte pas des yeux et tu pensais sincèrement pouvoir t'en fuis sans que je ne le remarque ? Ne soit pas stupide ma belle.
— m-mais je ne...
— ferme la, ferme cette magnifique petite bouche si tu ne veux pas que je le fasse pour toi tu veux bien? Dit il avec un sourire qui n'augure rien de bon ce qui me fait encore plus peur, qu'est-ce qu'il faire ici? Je baisse les yeux de peur de croisé son regard.
— voilà qui est bien, maintenant nous pouvons rentré. Reprend t'il ce qui me fait relevé vivement la tête.
— comment sa rentré? Ou sa? Dis je dans un murmure, alors qu'il me regarde avec une lueur sombre dans les yeux, et ce sourire qu'il affiche, bon sang il me fait peur.
— ou sa? C'est pourtant évident, nous rentrons à la maison chérie, tu es ma femme après tout.
— j-j-j....quoi?





DANGEREUSE ATTRACTIONOù les histoires vivent. Découvrez maintenant