XXII

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POV BAJI




Les deux étaient entrain de se battre et je rageais de ne pas pouvoir intervenir. Je voyais bien que j'étais pas le seul à vouloir intervenir.  Ça me foutait en rogne.

Osanai ce chien ne retenait pas ses coups face à Pachin.

Vu comment il douille Osanai devait en avoir dans le ventre. Ça m'a doublement donné envie d'intervenir.

Ça durait déjà un moment et Pachin s'est effondré une première fois

Les membres du Moebius se sont mis à rire et à hurler de victoire

-Penyan :  PACHIN !!!!

-Mikey : restez où vous êtes !! Que personne ne bouge

A quoi il joue putain !

Pachin s'est relevé difficilement et a marché jusqu'à Mikey.

Il s'est littéralement effondré sur Mikey qui l'a directement soutenu

-Pachin: Mikey... je suis... une merde

Mikey a sourit. Je connais ce sourire, on connaît tous ce sourire.

-Mikey : qu'est-ce que tu racontes ? T'es tout sauf une merde. Tu t'es bien battu Pachin

Il avait ce visage à la fois souriant et froid. Je ne pense pas qu'ils l'ont vu venir... Mais moi je l'ai vu venir en tout cas

Il l'a aidé à s'allonger par terre pour souffler. Mikey a avancé vers Osanai sous les rires des membres du Moebius.

-Osanai :  tu me cherches ? Mikey

Comme à son habitude, Osanai a arboré un grand sourire moqueur avant de ranger la clope qu'il avait sortie de sa poche

-Osanai : je vais te buter en 10 seco...

Avant même qu'il ne puisse finir sa phrase Mikey lui a envoyé son fameux coup de pied. Un, deux, et trois.

En moins de « 10 secondes » il a cloué le bec de ce fils de pute d'Osanai et à son équipe de petite bite.

-Mikey : Pachin n'a pas perdu. Tant que je serais le chef du Tokyo Manjikai, personne ne perdra ! je couvre vos arrières. Et que celui qui pense que Pachin a perdu s'avance que je lui casse la gueule.

Il s'est retourné et nous a sourit

-Mikey : désolé Kennychou, je l'ai démonté

Les autres se sont mis à hurler au Moebius de dégager de notre zone, la salle s'est très vite chauffée.

Une des nouvelles recrues du clan est entrée en criant

-« LES KEUFS ARRIVENT BARRONS NOUS ! »

Putain. On était mal, on était vraiment mal. Les bruits des sirènes ont commencé à se faire entendre au loin

Tout le temps qu'il nous reste (Baji)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant