➼Iᴹᴬᴳᴵᴺᴱ•Cᴴᴼᴵ.Sᴬᴺ²•➼

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(C'est pas une commande)

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(C'est pas une commande).

A marriage not so forced.

Le mariage. C'est une fête merveilleuse, où tout le rient, dansent, chantent, s'amusent, en fait est heureux. Malheureusement ça n'a pas été le cas du tiens.

Tu as été mariée à Choi San, le PDG du grande entreprise de mode, tes parents étant des investisseurs conséquent, ils n'ont souhaitez aucune pars des futurs profits. Leurs seule condition à été la main du jeune homme.

N'étant pas dans une bonne fase avec son entreprise il accepta. C'est un ainsi que depuis maintenant 3 mois tu es devenu Mme Choi.

À votre mariage tout le monde s'amusaient, riaient, dansaient, chantaient, tout le monde, sauf les mariés. Vous vous étiez à peine adresser un sourire lors de la cérémonie et le reste du temps vous ne vous regardiez même pas.

San étaient un mari froid mais il n'était pas méchant, il refusait toute les avances qu'on lui faisaient même en sachant qu'il était marié. Il ne montrait aucune affection certe, et des fois sur un saut d'humeur il pouvait t'embrasser furtivement ou même se coller à toi. Mais cela avait suffit à faire naître des sentiments envers lui.

Il s'en était rendus compte dès que les premières rougeurs apparurent sur tes joues et en jouais beaucoup. Et lui non plus tu ne le laissait pas indifférent, les petites attentions que tu lui portais, comme le mots que tu laissait lui disant de prendre soin de lui, ou alors le café que tu lui apportait toujours à la même heure, ne le laissait pas de marbre. Mais il ne voulait pas le voir.

Ce matin il t'avait accompagné à un rendez-vous avec un possible partenariat, l'homme avec qui cette entrevue avait lieu ne se gênait pas pour te faire des avances, plutôt déplacer en plus de ça, te mettant très mal à l'aise et énervant ton compagnon.

C'est cette après midi quand son sous-directeur et ami, Wooyoung, vint lui apporter de la paperasse, il lâcha se qu'il avait sur le cœur.

Son ami entra dans le bureau de San après avoir eu la permission de celui-ci, et s'avança vers le bureau pour y déposer des documents.

"Mec je crois que je suis amoureux..."

Wooyoung le regarda abasourdi en mettant les papiers sur le meuble, il s'assit un des sièges à sa disposition et lui répondis.

"Je savais que tu n'aimais pas T/P mais pas au point de tomber amoureux de quelqu'un d'autre."

San qui avait la tête tourner vers le paysage regarda le jeune homme avec incompréhension, puis Wooyoung repris.

" Franchement...si tu ne veux vraiment pas de ta femme divorce... c'est avec plaisir que je me remarierai avec elle..."

Le directeur mis se tint le nez, désespéré par son ami, il sourit et dit.

" Wooyoung..., il marqua une pause, c'est de ma femme que je parle..."

Le concerné fus surpris mais très vite un sourire apparus sur son visage.

" Tu ose enfin voir la vérité en face..., se moqua-t-il, et quesqu'y a été le déclic ? Finit-il par demander."

San se crispa en entendant sa question et commença à rougir de honte, il se sentait comme un gamin de 15 ans qui avait fait une crise de jalousie à sa copine.

Wooyoung le remarqua et se mit à rire à gorge déployée. Regardant celui-ci d'un regard noir San lui expliqua la situation.

" Ce matin j'ai accompagné T/P à un rendez-vous avec un possible partenariat, et l'homme avec qui elle c'est entrenu l'a dragué ouvertement, devant moi, et ça m'a mis en rogne..."

Wooyoung pouffa tout d'abord puis lui demanda.

" Et T/P comment elle a réagis ?"

Il réfléchit quelques secondes en se rememorant tout les moindres faits et gestes de sa conjointe.

" Elle était extrêmement gêner et dans la voiture qui nous accompagnait à l'entreprise elle m'avait dit qu'elle ne ferait pas de partenariat avec lui..., dit-il."

Wooyoung se leva en souriant, et emprunta le chemin de la sortie, sous le regard d'incompréhension de son supérieur, il ouvrit la porte, et avant de partir pour de bon il lui conseilla.

" Tu devrais aller la voir et lui dire ce que tu ressens..."

Après ses paroles il ferma la porte, ne laissant pas le temps à San de répondre.
Celui-ci réfléchis au conseil de son ami le reste de l'après midi et quand vint le temps de fermer l'entreprise il commença à se préparer. Quand il fus près à partir il sortit son téléphone de sa poche et alla sur ses messages.

De San à T/P.20h43
Est-ce que tu es partie du travail ?

De T/P à San.20h44
Non j'ai encore quelques petites choses à régler.

De San à T/P.20h45
D'accord, je viens te chercher.

De T/P à San.20h45
D'accord à tout de suite :)

Il sourit au dernier message de sa femme et sortie de son bureau, il ferma à clé la salle puis pris l'ascenseur et descendit au parking. Arrivé à l'étage demander il pris le chemin de la seule voiture qui restait dans cet endroit vide, sa voiture, une magnifique porche noire.

Il entra dedans, mis le contact, s'attacha et se mis en route pour la boîte où tu travaillais. 15 minutes plutard il arriva devant celle-ci et alla se garer sur le parking réservé aux employés. Il sortit du véhicule et se dirigea vers l'entrée.

Il s'arrêta dans sa course quand il te vus avec l'homme de ce matin. Mais tu n'avais pas l'air d'être enjouée de le voir en face de toi, au contraire, San pouvais lire la détresse sur ton visage, l'homme avait une main poser dans le creux dans ton dos, son corps coller au tiens tandis que toi, tu essayait en vain de le repousser.

Tu fermas les yeux, ne voulant plus voir cet horrible spectacle, et, au moment où tu sentait que ses dégoûtantes lèvres allait se poser sur les tiennes, tu sentis une force tiré ton agresseur vers l'arrière, tu rouvris les yeux et vu ton mari, fous de rage, tenant par le col l'homme qui était devenu pâle devant lui. Il lui assena un coup de poing, le faisant saigné de la lèvre inférieure, et l'homme partis, en courant, avec une blessure au visage.

San se retourna vers toi, pris ton poignet et te tira jusqu'à que ta tête cogne son torse, puis de son autre main, il carressa tendrement tes cheveux en te chuchotant des mots doux, face à tant de tendresse tu te laissa aller et pleura à chaudes larmes, disant à ton homme combien tu avais eu peur. Celui-ci te rassura, te disant qu'il était là et qu'il te protègerait.

Une fois tes pleures finis, il pris ton visage entre ses grandes mains veineuses, passant son pouce sur tes joues pour essuyer l'eau salée, et toujours avec tendresse, t'embrassa, faisant danser vos langue ensemble, tu fus d'abord surpris, et le regarda choquée puis, mais très vite, tu fermas les yeux, et approfondi votre échange en passant tes mains sur sa nuque, il sourit alors contre tes lèvres, tout en passant sa main gauche dans le creux de ton dos.

Après quelques minutes, vous mîttes fin à votre échange, à contre cœur ,et doucement, il posa son front contre le tiens, rendant le tableau adorable, et il te souffla, ses mots, presque inaudible.

" Je t'aime T/P..."

Fin...
1 236 mots.
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