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ʲᵉ ᵛᵒᵘˢ ʳᵉᶜᵒᵐᵐᵃᶰᵈᵉ ᵈᵉ ˡᶤʳᵉ ˡ'ʰᶤˢᵗᵒᶤʳᵉ ᵉᶰ ᵐᵒᵈᵉ ˢᵒᵐᵇʳᵉ. ᵇᵒᶰᶰᵉ ˡᵉᶜᵗᵘʳᵉ !
Samedi 29 janvier
France, Paris
18h20








 ᵇᵒᶰᶰᵉ ˡᵉᶜᵗᵘʳᵉ ! Samedi 29 janvier France, Paris ↧18h20

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Je regarde le miroir en souriant, j'apprécie c'que je vois.

Ma coiffeuse m'annonce qu'elle a fini la coupe que j'lui ai demandée. Bien évidemment je l'ai déjà remarqué puisque ses petites mains ne sont plus sur ma tête.

J'ai opté pour une coupe simple, d'environ six à huit nattes collée. J'étais pas certaines du résultat parce que j'ai les cheveux à peine ondulés. Mes incertitudes ont vite disparu.

Elle est assez âgée quand même , je pensais pas qu'on pouvait encore utilisé ses mains encore à ce stade.

Des rides prône sur son visage au niveau de son front , ses yeux , ses lèvres et ses joues. Sa jolie peau noir contraste avec ses cheveux blanc grisâtre et sa petite taille la rends drôlement mignonne. Maintenant que j'remarque elle doit être vraiment dans un âge avancé.

C'est connue que les peaux noires, mates et métissées vieillissent moins rapidement que les peaux caucasienne. Alors ces nombreuses rides montre clairement qu'elle vas bientôt partir, rien que d'y penser j'ai un petit pincement au coeur.

Un peu épuisé, Gina s'assoit pas loin. Elle pose ses bras contres son visage , histoire de se reposer.

J'me lève et me dirige vers mon sac. Je prends mon porte-monnaie puis j'lui tends vingt euros, j'ai l'impression d'être une radine , même si c'était rapide et simple. Je pense que sa mérite plus qu'un minable billet de vingt.

Je m'approche vers elle, je lui souris avant de complimenter son travail.

- Je suis trop contente ! Gina , tiens.

Elle incline sa tête en signe qu'elle accepte mes compliment. Elle s'aide de son siège pour se lever avec difficulté, j'la devance pour l'encourager à se rassoir.

Je veux pas qu'elle clams maintenant, non seulement faut qu'elle voit avant ses petits enfants et sa petite famille. Et je serais incapable de gérer la situation, je serais probablement traumatisée à vie.

Elle gesticule sa main pour m'empêcher de payer, j'attrape sa main qui gigote et met le billet de force entre ses mains. Elle commence à éviter d'attraper le billet, j'savais pas qu'il fallait se battre autant pour que quelqu'un accepte de l'argent.

𝐀̀ 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐞𝐫𝐬 𝐦𝐞𝐬 𝐥𝐚𝐫𝐦𝐞𝐬.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant