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Dimanche 30 janvier
France , Paris
14h50





Une amitié unique , une relation toxique.

(Nda : l'histoire démarre doucement mais sûrement, la mises en page des prochains chapitre seront moins nickel que les précédentes

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(Nda : l'histoire démarre doucement mais sûrement, la mises en page des prochains chapitre seront moins nickel que les précédentes.)

La tête contre la vitre j'écoute la musique que ma petite Namiko a mis , elle c'est permise de s'auto proclamer Dj. Comme c'est là chouchou de Yanis , elle est toujours celle du côté passager et celle qui décide de la musique.

Yanis et Namiko s'amusent avec la musique à fond, les voir rigoler ensemble comme ça sans ce soucier de rien. Ça me fais plaisir.
En temps normal je l'ai aurais rejoins , mais la de suite j'ai pas envie. Je suis un peu tracassé, ou plutôt fatigué.

Je suis totalement ailleurs je repense à Shakir, j'arrive pas à le faire sortir de ma tête. Je crois que c'est le centre de ma vie ce mec , je dors , je mange et je vis tous simplement en pensant constamment à lui.

Depuis le début de cette misérable histoire, il est n'est question que de lui , de moi et de notre amour. J'espère que je vais pas vous ennuyez avec ça !
Dans tous les cas il faut que les choses change , j'peux pas continue comme ça.

Je pense trop à lui , je vais arrêté.

En plein dans la réflexion Yanis s'arrête au feu rouge et parle avec Nana , mais j'écoute absolument pas.
Ça fait un moment que je regarde par la fenêtre et là tous de suite je suis beaucoup trop concentré sur la vue.

J'suis concentré sur quelques choses en particuliers , je fronce les sourcils pour être sûr de bien voir .

Je vois un grand policier noir qui me dit vachement quelque chose , il me semble qu'il m'avait déjà arrêté il y'a deux mois de ça.

Je vois un grand policier noir qui me dit vachement quelque chose , il me semble qu'il m'avait déjà arrêté il y'a deux mois de ça

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Il y'a 2 mois...

Je me dirige vers ma voiture en courant presque, je sentais les larmes monter. Mais je veux pas pleuré maintenant, je dois au moins rentrer dans la voiture pour libérer ce mélange de tristesse et de rage qui animait mon cœur.

𝐀̀ 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐞𝐫𝐬 𝐦𝐞𝐬 𝐥𝐚𝐫𝐦𝐞𝐬.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant