Ce jour là, la pluie...

55 3 5
                                    

Eden:

Ce jour là je ne l'oublierais jamais, une corde de ton cœur à lâcher...

Peu de gens connaisse cette histoire dans mon établissement, non, seulement une poignet qui n'avaient, d'ailleurs pas vraiment demander à savoir non plus.

C'est ce genre d'histoire que l'on croit toujours que ça ne peu pas arriver, c'est trop rare. Ça n'arrive qu'au autre. Mais le jour ou ça vous tombe dessus c'est comme un coup de point a l'estomac. Reprendre sa respiration est quasiment impossible. Oui c'est tomber sur moi mais pas que...

Cela faisait six mois que je me rendais régulièrement chez Stéphanie je ne sais pas pourquoi après tous rien ne mis obliger mais j'avais besoin de m'assurer que ça aller, dans ce genre d'épreuve on ce sers les coudes.
J'y aller aussi pour Lucas, au début il n'avait rien montrer et puis un jour il avait quasiment cessé de parler. Quand je viens je joue avec lui aux jeux vidéos, on parle pas de grand-chose mais je crois que la encore on en as besoins tous les deux. Même s'il y a encore six mois nos relations était pas des plus amical.
Je m'arrêtait sur le palier a chaque fois que je montais regardant la porte face a la chambre de Lucas, close. Je marquais toujours un arrêt, je ne suis jamais re rentré dans cette pièce non plus depuis ce jour. Un jour ou c'était dure j'ai poser ma main et mon front et je suis rester la longtemps. J'ai fini par m'asseoir le long du mur, Lucas en silence m'avait rejoint. Oui un silence veut dire énormément. Je ne rester jamais bien longtemps l'affaire de deux heures, je repartais vers les dix-huit heures consciente d'être attendue autre part.

Encore aujourd'hui je suis repartie pas bien tard, il faut dire qu'il fais beau et que l'envie de flâner dans les rues pour rentrée chez moi ne me déplaisée pas. J'aime les jours de beau temps ou le soleil réchauffe le visage.
Enfin, il est quasiment dix neuf heures et Clémence vas encore m'attraper avec Elio.

Quand je pénètre dans la maison une douce odeur de gâteau vint m'accueillir.

- Je suis rentrée ! J'annonce pendant que j'enlève mes chaussure assise sur le banc de l'entrée.

Ça fais quelques mois que j'habite ici, j'ai a peine dix-sept ans mais c'est plus ou moins autoriser au regard de la lois.
Mes parents et moi ne nous entendions plus du tous alors dans l'urgence ma tante voyant que je dépérissais a vue d'œil ma pris sous son aile après avoir négocier avec mes parents. Oui a dix-sept ans je vie en colocation avec cinq autre personnes dans un petits immeuble, ma tante gère le bâtiment et connais très bien c'est étudiants. Et elle a raison ils sont super gentil ! C'est convivial, ils ne sont pas fêtard et organise des choses sympa au saint de la coloc'. Quand je suis arriver début novembre de l'année dernière pour me remonter le morale on est aller acheter un petit sapin d'à peine un mètre de haut qu'on a décoré tous ensemble. Bon c'est super chouette une colocation mais ça à certains aspect qu'il ne faut pas omettre : c'est qu'il faut savoir être autonome. Bon les premiers temps heureusement qu'on ma aider non pas que je ne sache pas me gérer c'est plus l'aspect organisation. Car il y a le planning cuisine le week-end et le planning machine a laver. En semaine personne ne mange vraiment ensemble, on a chacun nos bannettes avec nos aliments et on ce fait a manger. Idem pour la salle de bain que je partage avec les deux autres occupant des chambres du deuxième étages. Au dessus de moi il y a deux autre personnes mais eux ce servent de la salle d'eau du rais de chausser.

Oui ma vie six mois après cette événement commence a retrouver de la stabilité. Évidemment il y a des plus et des moins mais c'est comme tout. Quand je m'avance dans la grande salle avec la cuisine ouverte je vois Clémence qui me tend une assiette avec plusieurs crêpes.

- Salut, je lui sourit étonné, merci ?

- Coucou, il me rester des œufs qui ce périmer aujourd'hui alors j'en ai profiter. Clémence était grande et menue, elle n'avait que la vingtaine mais avait une telle classe et un ora... Je l'aimais beaucoup, c'était une personne qui transmettez le virus du sourire. J'allais m'asseoir a la table dans le milieu de la salle mais elle m'indiqua avec sa spatule en bois le plafond. J'écarquille les yeux et comme aillant compris elle acquiesça.

Recueil: ce jour là, la pluie...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant