Recueil: ce jour là, la pluie...

Chapitre 5: Arthur

Arthur :

Je m'appelle Arthur j'ai seize ans. J'ai deux meilleurs amis, qui sont eux même frère et soeur jumeaux pour autant ils s'entendent très bien au point que ça ne nous à jamais embêter dans notre relation.

Bon je dois avouer que avec Naïs c'est autre chose... Disons que c'est plus que de l'amitié entre nous, cette amour dur depuis déjà 2 ans. On a rien dis à Eden mais elle le sait (bien que Naïs penses qu'elle n'est pas au courant) et puis elle est pas bête.

J'ai aussi un petit frère, Lucas. Nous jouions souvent ensemble petit même si en grandissant Eden et lui on eu quelques différents (même beaucoup). Une fois ça à avait fini par provoqué une sanction général (ils n'avaient respectivement que neuf et douze ans). Après ça le froid c'était installé entre eux. Je me demande comment ils s'entendent aujourd'hui ?

Sinon j'avais les meilleurs parents au monde ! Ma mère est d'une tendresse elle nous aime de tous ce qu'elle peut. Mon père nous aime aussi mais lui nous enseigne surtout l'école de la vie. Cette équilibre était assez étrange mais fonctionner bien.

On a une routine bien rodé tous les matins c'est la même chose. On habitent par très loin les uns des autres ce qui est pratique. Le matin on ce retrouve à l'entrée du pont et ils nous restent quinze minutes de route ensemble.

Ce matin là il pleuvait comme d'habitude et le brouillard remonter à cause du Somme. On marchaient en quinconce Eden devant et Naïs et moi un peu en retrait. Disons que le brouillard nous arranger tous les deux on pouvaient ce tenir la main discrètement. De toute façon Eden était au courant plus ou moins alors on ne risquer pas grand chose. Elle aurait était en désaccord elle nous l'aurais dit directement en découvrant la nature de notre relation.
On arriva au carrefour dans le centre ville le feu de signalisation piéton est passé au vert. Évidemment on a commencé à traverser Eden commencer à s'avancer pour franchir la seconde voie de circulation.

Après ça tous c'est précipité.

J'ai entendu le vrombissement d'un moteur, il allait pas s'arrêter là voiture aller trop vite pour arrivé à un feu. Sans réfléchir j'ai lâcher la main de Naïs j'ai franchis les quelques pas qui nous séparer et l'ai pousser dans mon élans de toutes mes forces.

La voiture ma percuté de plein fouet.

J'ai entendu Naïs hurler mon prénom et j'ai du volé sur une dizaine de mètres. Eden et Naïs suivie de passant ce sont précipité vers moi. Naïs tenais fermement ma main des gouttes tomber sur mon visage. J'essayais de sourire pourtant. Les secours sont arrivés et après je ne me souviens plus très bien de la suite.
C'était comme ça au moins Eden était en bonne santé c'était le plus important et Naïs ne perdait pas ça moitié. Ils étaient heureux.

Il paraît que je suis un de ses enfants partie trop vite. Au moins je ne suis pas partie inutilement.

Obi °^°