Chapitre 22

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Victoire :


Au résultats de mon si beau poème, j'ai écopé d'une heure de retenue parce que sois disant mon poème était menaçant (peut être).
Liam et Arnold on eu beau montrer toute les photos (car oui tout les matins on en prend) du casier vandalisé. Mon sors n'a pas changé et celui du maître chanteur non plus.
Le pire dans tout ça c'est qu'ils n'ont pas chercher un coupable. Au contraire ils ont étouffer l'affaire.
Résultats quelques jours après ma colle les mots sont réapparu.

Je soupire appuyé contre l'épaule d'Arnold, lui sur son téléphone à lire.

- Je sais plus quoi faire. Je soupire plaintif.

- Moi non plus... On va continuer à les enlever et surveiller.

- Mouais c'est rageant quand même. Liam arrive et s'installe sur le banc ce rajoutant au sandwich.

- Vous êtes lourd ! Vous le savez ?! Râle mon voisin qui à présent à le poids de deux personnes sur l'épaule.

- Ouais. Je souri de toute mes dents.

- Sérieusement, arrêter de l'embêter, déclare Paul en arrivant avec sur ses pas Naïs et Simon.

- Mais il est confortable. Je reconnais avec fierté avant de m'appuyer encore plus.

- Si vous me cassé l'épaule vous allez entendre parler du pays. Préviens Arnold commençant à ce débattre avec ferveur.
Je fini par m'assoir à côté des gars par terre. C'est long la cantine, tout les midi on fini en zombi sur les bancs.

- Je l'ai ! Annonce Louis en fonçant droit sur nous.

- De quoi ? On demande à l'unisson (il est douer pour les scoops).

- C'est pas de quoi mais plutôt de qui. Il précise on le regardent en attendant qu'il accouche.
J'ai peut-être trouver notre maître chanteur. Il affiche un sourire carnassier qu'on prend surement tous à cette annonce ( de quoi faire fuir n'importe qui, qui ne soit pas assez fou pour nous approcher).

- Tu sais que je t'aime bien toi ? Lui fait Simon en passant un bras autour de ses épaules.

- Je sais, fait-il pas peu fière. On fait quoi du coup ?

- Oh... Vous inquiétez pas on va s'en occuper avec Victoire. Dit Arnold avec un petit sourire en relevant le nez de son téléphone.
Techniquement on a la réputation d'être un très bon duo maléfique. Car depuis petit c'est toujours nous qui nous sommes occupé de ce genre de choses. On est réputé inattaquable. Je peux pas me vanté que ce soit vrai, ça pourrait nous porter la poisse (mais un peu quand même, je touche du bois).

Notre plan ? Simple ! Maintenant qu'on connaît l'identité de la personne (oui on a  bien vérifier au préalable on est pas fou) on va simplement aller lui reglisser tout ses jolies papiers sous la porte de son casiers. Histoire qu'elle comprenne qu'on sait qui elle est, avec un peu de chance ça suffira.




Arnold :



Victoire est toujours super emballé, entre guillemets, par ce genre d'affaires (en même temps il les gère plutôt bien) et moi en bonne poire je le suis. Amis même dans la c*nnerie comme on dit.

- C'est chez qui ce week-end ? Me demande-t-il quand on sors de l'établissement avec son scooter qu'il pousse ( il a refusé encore de démarré).

- Je crois qu'on est chez moi, je m'accroupis me retroussant les manches pour chercher le nouveau problème cette fois-ci (on c'est arrêter un peu plus loin pour ne pas trop encombrer la sortie).

- Ok, je ramène quoi tout a l'heure ? Il me demande en ce me regardant bidouillé prêt du démarreur. Faut dire que cette mobylette est une Suzuki 125 bleu que Victoire nous a dégoté l'été dernier dans un vide grenier remplie d'antiquaires. Vue son âge c'est un exploit qu'elle roule encore mais c'est quand même une histoire à chaque fois. Mais une neuve coûte un bras et puis on l'aime bien mine de rien !

- Ramène le nouveau jeu que tu viens d'acheter si tu veux, je propose en enfourchant l'engin appuyant sur la pédale de démarrage une première fois.

- Ouais bonne idée ce sera plus drôle. Il me souri, je continue mon petit manège avec la poigné d'accélération.

- Oublie pas ton pyj' cette fois stp. Je recommence une dernière en me disant que je vais descendre et chercher une autre cause a cette panne quand le moteur crachouille puis ronronne enfin. 

- T'inquiète j'ai fais mon sac hier. Il s'installe derrière moi pendant que je cale ma besace entre lui et moi afin qu'elle ne glisse pas dans un virage. Tu conduis ! Il m'enserre avec ses bras alors que je fini de fermer la dragonne de mon casque.

- Sans blague ? Je fais avec ironie avant de démarré pour m'insérer dans la circulation.

En bref si je vous la fait courte, grâce à l'achat de Victoire on ne prend plus le car ( qui nous déposé à  15 min de chez nous ) mais puisque nous faisons tout ensemble : on a passer le permis moto A1, ensemble. Il faut savoir que mine de rien ça demande de l'organisation notamment avec nos sacs de cours ( tellement encombrant à deux sur un deux roues). Du coup le conducteur porte la besace ( mon sac) que le passager à pour devoir de garder entre lui et le dos du conducteur bien calé pour ne pas déstabiliser. Sachant que lui même porte le sac à dos ( sac de Victoire) autant dire qu'avant d'en arriver à cette combinaison parfaite... on en a essayé des trucs... beaucoup idées... plus ou moins bonnes.

 Je vais vous épargné les détailles de nos idées car si mes parents passe par là ou ceux de Victoire on est foutus ( nous sommes des anges ne vous inquiéter pas). 

On fait un arrêt par chez Victoire qui largue son sac de cours et reviens aussi rapidement avec un autre sac plus vieux, il doit daté du collège facilement.

En arrivant chez moi, je suis content enfin débute notre rituel. On fait ça depuis qu'on est petit, un week-end chez l'un et un week-end chez l'autre ainsi son rythmer nos vies. Nos mères travaillent toutes deux à l'hôpital et son collègues, même très bonne amies à ce stade. Autant dire qu'on ce connaîent depuis le jardin d'enfance facile !

Au moins, deux soirs par semaines on est pas seuls chez nous la nuit.

J'avoue qu'en vacances c'est plus une semaine d'un côté et une semaine de l'autre. On s'incruste chez Lili ou Marie (ma mère) en fonction de leurs gardes mais puisque la plus part du temps elles sont sur les mêmes horaires, on a pas vraiment de problèmes à trouver. Finalement chacun y trouve son compte.

Quand on ce connecte pour rejoindre Liam en partie on a une petite surprise qui nous fait bien rire.

- Salut ! On reconnait la voix de Naïs dans le micro de Liam.

- Tiens je savais pas que tu l'avais adopter ! Taquine Victoire en activant ses doigts sur la manette.

- Non, il crèche chez moi ce soir car ses parents reçoivent du monde. On entend un " en gros" venant de Naïs dans le fond.

- Met toi en main libre qu'on l'entende au moins ! Je rigole, pour une fois qu'il est là en game.
























Obi v(°u°v)

Recueil: ce jour là, la pluie...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant