Chapitre 6

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Eden:


Quand je rentre chez moi après les course en ce samedi soir, il est bien 18h passé. Je rentre, passe par la cuisine ou je range dans mon bac tous mes aliments et déballe ma nouvelle brosse à dents. Car oui Elio c'est retromper de brosse à dents (deuxièmement fois depuis mon emménagement) du coup je préfère la changer.

Je monte la mettre cette fois ci dans mon tiroir de salle de bain. Puis passe par ma chambre ou je me débarasse de ma veste et de mon sac. Je dois le reconnaître je suis lessivé et je sais déjà que je ne vais pas faire de vieux os.

- Eden ! Tu aurais du temps pour m'aider ? Demanda Elio en passant devant ma chambre pour regagner la sienne.

- Oui bien sur.

- Tu as des vêtements qui craignent pas trop ?

- Euh oui ? Je commence à me demander de quoi retourne ce service.

- Super alors viens, prend ton manteau ! Dit il en détalant dans les marches.

- Ok... Je le suis après avoir repris mon manteau et avoir enfiler un jean trop grand pour moi mais taché de peinture, puis descend.

- Tiens je t'es sortie t'es chaussures de rando. Il me ils indiquent du menton lui même en train d'enfiler une paire de vielle chaussures montantes.

- On va où ? Demandais je en le suivant sortant sur la rue.

- On va aller chercher les pots de peinture dans la cabane d'un pote a l'entrée des Hortillonnages. M'explique-t-il marchant à ma hauteur mains dans les poches.

- Sérieux ?

- Eh ouais ! Il me lança un sourire provocateur, je viens clairement de me faire arnaquer. T'inquiète pas je t'offre un sandwich au retour. Il me fis un clin d'oeil et je leva les yeux aux ciel en rigolant.

Elio et moi on s'entendaient plutôt bien (même très bien). Ça arrivait de temps en temps que je l'aide comme il m'aidait et ça me déplaisée pas de sortir quand la nuit commencer à arrivé. Je craignais rien avec lui de toute façon. Et puis on donner sur les Hortillonnages alors c'était plutôt rapide.

On arrive au boulot d'un quart d'heure plus le chemin en barque. On arrive à la petite bicoque sur un terrain ou un jeune homme sûrement de l'âge d'Elio attendait avec une lampe frontales.

- Hello ! Dit le jeune homme en nous saluant.

- Salut ! Ils viennent ce tchecker et je le salut d'un signe de tête.

- Tu as amener des bras à ce que je vois, remarque-t-il en ce dirigeants vers la cabane.

- Oui je te présente Eden, Eden c'est Antoine un ami de la fac.

- Enchantée, dis je en tirant sur mes manches pour saisir la anse mentalique d'un des peaux. Sans indiscrétion, vous allez en faire quoi ? Je m'appliquer à équilibrée la barque.

- On à un spot pour une fresque, Antoine est dans la fac d'art mais on ces connues grâce à nos deux bandes. M'informa-t-il en me rejoignant avec un pot (finalement je suis accroupie dans la barque à bien positionner les pots). Barque qui était très humide je me retrouve très vite avec les genoux mouillés.

- Ok, vous en avez encore beaucoup ?

- Huit au total. J'écarquille les yeux.

- Me dis qu'on va ce les traînés jusqu'à la maison ?

- Non t'inquiète pas on à une vieille carriole, dit Antoine en arrivant, et on va stocker ça dans votre réserve en effet. Bon on est bon ! Il regardat Elio.

- Ok, on décolle ?

- Oui, tu es sur que tu veux pas qu'on face moite moite ?

- Non c'est bon, j'ai de la force. Il montra sont bras, Eden tu peux détacher la barque s'il te plaît ? J'acquesce et saute sur la rive.

- Antoine tu veux que je te le face aussi ? Demandais je en venant à ça hauteur (ils avaient arrimé les barques l'une derrière l'autre).

- Non c'est bon t'embête. Il me sourit. Merci. Il décrocha la barque et sauta dedans.

- Ok. Je lui rendit sont sourire avant de détacher notre barque et de sauter avec agilité et m'asseoir mine de rien.

- Dit tu es agiles.

- Et oui mon vieux. Je lui tirais la langue et regarde les branches des grands arbres à présent quasiment plonger dans le noir, éclairé seulement par nos frontales. ( Antoine m'en à prêté une).

Arrivé au Pont j'arrime les barques et Antoine va décrocher de la chaîne cadenacer la carriole en métal. Et remplace dans la boucle les deux amarres.

- Direction la coloc', dit Elio tout content en tirant avec Antoine la carriole.

- Ouais au moins cette fois on a tous ce qu'il nous faut pour attaquer après-demain.

On s'engage tous les trois sur le chemin de nouveau bétonné longeant les canaux peuplé de plantes aquatiques et d'arbres aux longues branches descendantes. J'avoue que si on est pas trop du coin et qu'on connaît pas on ne trouve pas ça des plus rassurant. Pour ma part j'ai grandit ici, mon ancienne maison si on peut dire est le long des canaux. Alors honnêtement je m'en fiche pour autant je n'irai jamais mis balader la nuit. Arrivé sur une rue avec quelques commerce Elio demande un arrêt devant une boulangerie.

- Chose promise choses du. Il m'envoie un sandwich dans les mains et fait de même pour Antoine.

- Merchi ! Je mange goulument affamée.

- Merci a toi de nous avoir aider.

- Dite je pourrais la voir votre fresques une fois finie ? Demandais je en me retournant marchant en arrière.

- Oui mais c'est sur le campus. Dit Antoine entre deux bouchés ( ils s'échangent leurs sandwich à chaque bouché car ils étaient pas d'accord sur les ingrédients, j'ai pas chercher à comprendre). Au pire tu viendras à l'inauguration.

- Cool ! Merci. Je leurs souri avant d me remettre dans le sens de la marche.

Une fois arrivé on a déchargé la cargaisons eux sont aller ce mettre dans la chambre d'Elio ( sûrement à jouer au jeux vidéo) et moi après m'être laver les miens dans la mienne.

- Tiens j'avais tirer les volets avant de partir ? Murmurais je en enfilant dans le noir mon pyjama qui n'était autre qu'un vieux t-shirt et un jogging. Je bute sur un sac, sûrement mon sac de cours, et m'assoir sur mon lit. Eh bien longue journée, je me mis dans mes draps. Je commencer à m'endormir quand soudain ma main rencontra un membre. Je me redresse d'un coup en voulant crié mais une main chaude ce plaque contre ma bouche. Un corps ce pencha au dessus de moi et la lumière de ma table de chevets s'alluma. J'avais les yeux écarquillés par la peur qui mua en colère en prenant connaissance de l'identité l'individu.

- Cou***on ! Je lui mis une tape dans le dos ( il c'est affalé sur moi). Ça va pas la tête ?! Tu pourrais prévenir de ta présence !

- Moi je dormais ! Dit Naïs les yeux fermés sur moi en grognant à moitié.

- Qu'est-ce que tu fais la ? Lui demandais je après m'être calmer.

- Je voulais dormir avec toi. J'arque un sourcils et lui tend le bras pour éteindre la lumière.







Bonjour merci d'avoir lu °^° je suis très contente j'espère que cela vous à plu !
Obi •~•

Recueil: ce jour là, la pluie...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant