Chapitre 24

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Eden:



Même si les garçons m'ont dis ce qu'ils en pensaient. Je suis une tête de mules et Naïs n'a rien dit étant pareille. Donc j'ai obtenus gain de cause ! Pourquoi je vous dis ça ?

Car je suis actuellement assise par terre au pied des ranger de casier du bâtiment centrale. Il est 17h45 et j'attends.

Simon est assis dehors sur le parapet de façon à me voir. Je ne sais pas s'ils sont trop suspicieux ou si je suis tout simplement trop naïve ?
Au bout d'un moment une jeune fille brune très bien habillé (au grès de la mode) s'approche de l'endroit où je suis. C'est elle.

- Salut Marion. Je me lève ( j'ai pris soin de m'asseoir au pied de sa colonne) avec un sourire.

- Salut ? T'es qui ? Elle sors ses clés.

- Je suis l'occupante du casier 541 dans le bâtiment du fond. Marion s'arrête pour me faire face.

- Donc tu es cette idiote de seconde qui me remets tout mes papiers ? Je me met à rigoler espérant détendre l'atmosphère.

- Pour ton informations je suis en première tout comme toi. Je suis pas là pour demander des comptes, je suis venue en "amie".

- Alors pourquoi ? Elle ne comprend plus ça ce voit. Je laisse glisser mon sac le long de mon épaule pour le poser au sol.

- Arthur il était... Important pour toi ? Je demande doucement avec un sourire triste, j'essaie d'instaurer un climat de confiance.

- Pourquoi je te le dirais ?! Elle s'énerve je guette Simon du coin de l'oeil qui n'en perd visiblement pas une miette.

- Parce qu'on est pareil, on est plusieurs à ce taire à ne pas parler mais on vis tous sa disparition. Elle secoue la tête énergiquement. J'ai lu tout tes mots, j'ai compris ton message.

- Tu... Tu peux pas comprendre. Moi je l'aimais mais lui il ne me voyais que comme une amie ! Le visage de Marion ce déforme par la haine et la tristesse. Tu n'as rien compris si tu penses que parler avec c'est personnes va changer les choses.

- Marion je veux juste... J'ai pas le temps de finir ma phrase qu'un bruit sonores résonne.

La douleur vient après.

Je récupère mon sac, redresse la tête et la regarde droit dans les yeux. Elle donne l'air d'être elle même surprise par son geste.

- Je veux juste que tu saches que tu n'es pas seule. Si un jour tu as besoin de parler tu sais à quoi on ressemble. On peu s'aider.

Simon ahuri traverse le haule à grand pas pour me rattraper. Il est rentré lorsqu'il a du sentir la tension monté.

- Ça...

- On rentre ? Je le coupe en souriant.

Pour toute réponse il remonte ma capuche sur ma tête et laisse sa main au sommet de mon crâne. Alors je sais que c'est bon. Mes larmes on le droit de dévalé ma peau et de me brulées les joues.

- Allez monte. Il pose le casque sur ma tête et l'attache avant de faire de même avec le sien. Tu veux venir chez moi ? C'est moins loin le temps de soigner ta joue. Je te ramène après.

- Si tu veux du moment que ça n'embête personne.

- Envoie un message par contre que tu n'ailles pas te faire disputer par ma faute non plus.

J'hoche de la tête et envoie un message bref et rapide tout de suite valider par Pierre.

- C'est good.

Recueil: ce jour là, la pluie...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant