Chapitre 3

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Naïs:



Ce week-end j'avais enfin l'espoir d'être tranquille.
Bel euphémisme quand mon père m'annonce que toute la famille demain matin pour le "repas de famille annuel".

Tous les ans c'est le rituel on regroupait la plupart des anniversaires entre Noël et l'été et on les fêtaient à la mi ou fin février. Enfin cette année cela promet d'être bien long. Mon grand cousin de 19 ans cette année est en étude et ne viendrait pas. (Un gros coup dur pour moi).

À rajouter que ça va être très spécial : pas d'Eden.

Ça m'énerve énormément ! Personne ne si est opposé à par notre tante Christiane. Tout le monde à trouver ça normal ! Vous trouvez ça normal vous ?

Moi non.
Elle a rien fait vraiment. C'est lui qui a décidé. J'ai voulu le dire, je l'ai même crié. (Pourtant je suis quelqu'un de posé et calme rares sont les fois où je sors de mes gongs). Mais qui m'aurait écouté? Dans la pagaille ambiante personne n'écoutait et ne voulait vraiment entendre. Au milieu de ça Eden et moi, surtout Eden qui subissait tout, on lui reprocher tout.

Toujours est-il que le lendemain matin la maison est en pleine effervescence. J'allais devoir m'occuper des plus jeunes (c'était plus drôle avec Eden soyez en sur). Et faire le service en salle, rire, on étaient toujours chargés de servir et de débarrasser alors on se prenaient au jeu. On devenaient les plus grands serveurs d'un grand palace cinq étoiles de Paris ! (Avec élégance et fluidité des mouvements, s'il vous plaît).
Ah non on était pas triste ! Je souris en repensant à tout ça installant la table avec mon père.

- Naïs tu peux aller me chercher les nappes s'il te plaît ? Demande ma mère en entrouvant la porte de la salle d'eaux quand je passe devant.

- Ouais lesquels ? Je part chercher une chaise à fin d'accéder aux placards de la remise.

- Les oranges s'il te plaît. Je levai les yeux au ciel en m'exécutant. C'est dernier temps je suis devenu un tantinet insolent auprès de mes géniteurs. (Qui ne c'étaient pas gênés à me le faire remarquer)

- Dépêche toi les invités arrivent bientôt, appele mon père, on a même pas encore dressé !

- J'arrive, je fais un premier aller avec les nappes puis reviens chercher la chaise.

- Naïs oublie pas d'aller chercher ta chemise sur l'étente à linge au sous-sol. Elle sort mise sur son 31 avec un magnifique sourire.

- Oui maman, je lui souris et lui dépose un bisou rapide sur la joue en passant, tu es très belle.

- Merci mon chéri ! Elle me le rend et je prend le chemin de la buanderie.

Arrivé en bas je profite de ses quelques minutes de calme pour troquer mon sweat contre la chemise que je prends soins de bien ranger dans mon pantalon ( ma mère a des yeux de Lynx). Je regarde mon sweat à regret je veux déjà le remettre. Un long soupire s'échappa derrière mon dos.

- Les enfants grandissent trop vite. Ma grand mère me regarde avec un grand sourire. Je me jette dans ses bras.

- Mami ça faisait longtemps ! Je lui souris en la lâchant. Ça va ?

- Oui et toi mon grand ? Elle m'ébouriffe les cheveux. Maintenant je la dépasse d'une bonne tête.

- Super, papi n'est pas avec toi ?

- Si, si la haut en train de discuter avec René.

- Ah ok. Je lui fais une révérence lui indiquant les marches, ce qui la fit rire. Si madame veut bien se donner la peine.

- Avec plaisir jeune homme. Elle passe devant moi et je prend mon sweat ( je le remettrais par dessus ma chemise dès que l'occasion ce présentera).

En effet durant mes quelques minutes d'absence la maison c'était remplie et je ne tarda pas à être reperé par mes Minimoys préfèrerait.

- Naïs ! Cria une petite fille qui viens m'entourer de ses bras, je m'accroupis pour me mettre à sa hauteur.

- Liana ! Comment vas tu ?

- Bien. Elle me sourit de toutes ses dents.

- Oh ! La souris est passée ? Dis moi.

- Oui deux dents là, avec ses doigts elle me montre les deux endroit où les dents manquaient toute fière. Je me mis à rigoler me redressant en la prenant sur mon dos.

- Bon il est où ton grand frère ?

- Je sais pas je crois qu'il est avec Louis (c'est un autre cousin).

- Ok. Alors c'est partie ! Je la garde sur mon dos tout le temps que je face la tourner des salutations me faisant tourner sur moi même la faisant rire.

- Naïs va faire le guignole autre part et occupe toi de tes cousins et cousine j'ai mis des jeux dans le bureaux, Louis et Jules y sont déjà emmènes y Liana.

- Oui Cheffe ! Je fais un clin d'oeil à ma mère.

En grimpant les marches je respire un grand coup, le "bureaux". Mes yeux demangent d'aller regarder le ciel. En effet ce " bureau" n'était autre que l'ancienne chambre d'Eden.
Le lit avait fait place à un clic-clac et ses meubles avaient disparu et remplacer par un beau bureau d'angle en bois Massif avec une belle chaise en cuir.
Le nouveau "bureau" de papa. Et pourtant la moquette verte était toujours là. Les garçons avaient sortie le vieux train et les légo.

- Alors comme ça on me dit plus bonjour les monstres plantes ?

- On t'a pas vue quand on est arrivé. Dit l'un en venant lui donner un bisou baveux, en bon cousin je lui fais faire l'hélicoptère et l'avion à Louis plus léger.

- Bon alors vous faites quoi de beaux ? Je m'agenouille en observant leur début de construction.

- Un tunnel pour que le train passe. Déclare Jules.

- On peut construire une maison au dessus ? Comme une cabane ? Demande Liana aux garçons.

- Bonne idée. Je leur souris, il ne me rester plus que ça. Le sourire.

Heureusement il fait beau aujourd'hui et je sens que je vais être amené à jouer dehors. Tant mieux.









Bonjour ! Voilà un nouveau chapitre :) j'espère que ça vous à plus. Hésitez pas à commenter et partager pour me faire évoluer ;) je suis ouverte à toutes critiques.
Bonne continuation :)

Obi c(∆-∆c)

Recueil: ce jour là, la pluie...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant