Chapitre 9

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Simon:





Le lendemain Naïs que j'avais croisé en début de journée m'avais demandé de reprendre les devoirs d'Eden (encore un détour par les Hortillonnages). Puis vers 17h35 au parc a vélo il était venu me voir avec un sac en plastique noué, un vieux sac de pharmacie.

- Tu pourras lui donner ça, s'il te plaît ? Il me tendit le sac.

- Heu... Ouais... Je me gratta la tête, j'ai plus de place dans mon sac à dos. Naïs qui avait compris le problème me repris le sac.

- T'inquiète pas grave je lui donnerais plus tard. Il me sourit, il allait partir quand je l'attrapas par la manche.

- Non attend, tu as un mousqueton ? Il me regardat avec incompréhension.

- Non.

- C'est fragile ce qu'il y a dans le sac ? Demandais-je en enfourchant mon vélo.

- Non. Je lui pris des mains et le pendit à mon guidon.

- C'est bon si je le transporte comme ça ? Il acquiesça et me sourit.

- Tu gère mec ! Merci ! Il me salua et je partie.

L'heure de pointe de circulation arrivé et j'aimais pas vraiment circuler à cette heure. Les automobilistes et motards faisaient vraiment n'importe quoi même en me signalisant plus que nécessaire. J'avais déjà manqué de peux l'accident à plusieurs reprises. En même temps c'est sur que le bus était plus simple mais plus chère. Ça revenais moins chère d'entretenir mon vieux vélo que le forfait du bus. Et puis passer les grosses rues c'était plutôt agréable le matin et le soir ça réveillé et défouler (je dormais bien le soir et je me faisais pas prié pour rejoindre mon lit).
Toujours est-il qu'après le moment stressant de ma journée j'arrivais enfin à la rue juste avant le chemin ou je croisais une personne avec une capuche d'où des cheveux longs s'échapper. Je la dépassa puis m'arrêta... J'ai rêvé ? Rooh tant pis !

- Eden ! La personne ne réagit pas je retenta ma chance. Eden ! La personne s'arrêta et tourna la tête. Je me dépêcha de descendre de mon vélo et de monter sur le trottoir pour revenir sur mes pas. Eden, attend. Quand j'arriva à sa hauteur elle faisait déjà plus réveillé que la veille.

- Salut, ça va ? Me demanda-t-elle étonné.

- Salut ça va et toi ? Naïs ta pas dit que je venais ? Je m'étonnais.

- Oui ça va mieux merci, elle me sourit, non je n'ai pas eu de ses nouvelles depuis deux jours. Il ma juste prévenu que tu passerais mercredi soir ( on avaient cours le mercredi toute la journée comme ça le samedi était dégagé).

- Ok et tu allais où sans indiscrétion ? Demandais-je, ils sont décidément bizarre ses deux là. D'ailleurs je sais même pas qu'elle liens les unissaient c'était vraiment pas claire.

- Faire les courses, j'ai plus rien et je dois une brique de lait et d'autres bricole que je piquer par ci par là à mes colocataires.

- Ok tu me laisse dix minutes le temps d'aller posé mon sac si tu le permet.

- Oui sinon t'inquiète pas je peux y aller seule, tu pose les feuilles dans l'entrée et c'est bon.

- Non c'est bon j'ai le temps, attend moi je reviens.

Dix minutes plus tard j'étais de retour une fois mon sac déposé dans l'entrée.

- Le super marcher est à un quart d'heure à pied. Elle s'emblat gèné. Tu es sur que ça t'embête pas ?

- Mais non, il y a personne chez moi jusqu'à 21 heures facile. J'hossa les épaules en signe d'indifférence. Tu sais quoi ? Je lui sourit timidement, c'était peut-être pas l'idée du siècle, non, mais un gain de temps. Je lui indica le porte bagage.

Recueil: ce jour là, la pluie...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant