Chapitre 13

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Naïs:





Une fois qu'on a fini de nettoyer la péniche, Simon fût récupérer au passage par ses parents sur le retour de leur balade et nous, nous sommes repartit avec l'attirail a la coloc'.

- Tu es parti avant la tempête ? Demande-t-elle à un moment assis dans le canapé tête sur mes cuisses.

- Non je l'ai croisé... À mon avis quand je vais rentrer les parents vont être dans un sale état. Et c'est bien ce qui m'inquiéter, j'avais intérêt à me faire petit et discret.

- Je vais te racompagner. Elle me sourit doucement en voulant ce redressait ce que je ne la laissa pas faire. (Je suis maléfique) mais après un bon coup dans mon estomac (pas méchant juste pour la forme) elle ce redressa.

Sur le chemin du retour on étaient silencieux. Au abord de la maison Eden en silence m'avais prise dans ses bras. Dernière entreinte qui me ferait tenir. Quoi qu'il arrive.
Puis je me décolla d'elle et dans un grand efforts laissa mes doigts glisser des siens.
Eden me fixa du bout de la rue jusqu'à ce que je rentre dans la cours.
Je passe le pas de la porte, me déchausse et laisse ma veste sur le banc puis je m'enfonce dans la salle. Mes parents sont là assis à table. Je m'approche doucement.

- Bonsoir... Dis je en allant chercher quelques chose à boire dans la cuisine puisque eux même ont un verre.

- Tu as passé un bon après midi mon coeur ? Demande tendrement ma mère.

- Oui j'ai aidé à faire le ménage sur une péniche c'est assez amusant. Je leur souris.

- Tant mieux. Me rendit mon père en piochant dans un ramequin de biscuit apéritif. Viens t'assoir.

- Oui. Je n'osais rien demandé par peur de me faire aligner. Malgré l'image qu'ils renvoies je sens qu'ils ne faut pas non plus les chercher.

- je suis aller t'acheter de la pommade pour ta joue. Rajoute ma mère.

- Merci. Je bois une gorgé de soda pour remédier à cette sensation de sécheresse dans ma bouche.

- Tu... Tu vas comment ? Tente-t-elle.

- Bien ? Je ne comprenais pas d'où ça vient.

- D'accord. Il ce passe quelques chose ? Je m'inquiète.

- Ta marraine... Persiffle mon père, nous à menacé de ramener l'assistante sociale, on ne comprend pas avec ta mère. J'affiche une mine si surprise que je crois que ça suffit pour convaincre que ce n'est pas de ma faute.

- Qu...? Quoi ?! Je me leva. Pourquoi ?!

- À cause de ta joue. Dit ma mère en toute simplicité. Ta marraine est inquiéte visiblement. On ce demandaient si du coup il y avait quelques chose dont tu devais nous faire part ? Je me rassis.

- Non vous connaissez déjà ce que je demande et j'ai déjà ma réponse. Je n'ai rien de plus. Dis je un sourire pâle.

- Tu sais très bien qu'on peu pas. Dit mon père et je me rembrume.

- Ce que je ne comprends pas mais je respect ça, vous le savez. Elle acquiesça en buvant une gorgé de vin.

- Et tu ne vois pas Eden en ce moment à tout hazard ? La c'est généralement à ce moment qu'on cris "sauf qui peut !".

- Non mise à part de loin parfois au lycée.

- Tu ne nous ment pas Naïs ? Insinue-t-il.

- Non pourquoi ? Il y a un problème ? Je demande faussement innocent mais de toute façon avec le coup de pocker de ma marraine dans l'immédiat pas grand chose de physique peu m'arriver mise à part des punitions matériels.

Recueil: ce jour là, la pluie...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant