Chapitre 12

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Naïs :

La visite de ma marraine n'avais pas donné grand chose. Elle m'avait mis en garde sur le fait de ne pas provoqué nos parents et de ce faire discret. Et avait ajouté en partant avec tendresse qu'elle ferait quelques chose bientôt pour remédier à tous ça. On la crû et nous nous sommes rendue en cours l'après midi. J'ai du quitter Eden à contre coeur pour rejoindre ma division. J'avais pas vraiment envie de la laisser, sa présence me rassuré. Et puis j'allais devoir justifier l'état de mon visage dont le côté droit qui avait viré bleu et que Clémence avait gentillement essayer de maquillé pour que cela soit plus discret. Concernant ma main j'avais un peu mal mais je n'avais quasiment rien on aurait pu croire (si j'avais pas eu le visage) que je m'étais étaler par mégarde.
Évidemment que l'état de mon visage bien que protéger par une écharpe haute avait attiré l'attention. Surtout dans ma bande d'amis.

- Tu t'es ramassé ou ça ce passe comment ? Demanda un grand les cheveux brun habillé de façon skateur, Louis.

- Ouais on va dire ça. Soufflais je la tête baissé. Des doigts fin et anguleux prirent mon menton et le redressèrent délicatement.

- Eh bien c'est pas jolie, jolie mon gars. Dit Paul en croisent mon regard.

- Je sais, remontant machinalement sur mon nez l'écharpe et enfouie mes mains dans mes poches.

- C'est Eden qui ta fait ça ? Demande-t-il sérieux.

- Ta copine et violente dit donc. Fit Victoire un rire dans la voix.

- Tu es idiot ou quoi ? Arnold lui mis une tape derrière la nuque en levant les yeux au ciel avant de me regarder. Désolé il est pas très réveillé j'aurais aimais le faire tombé du lit ce matin. Cette dernière phrase avaient fait rire tous le monde. (Meilleurs amis qui dormaient souvent l'un chez l'aitre).

- Comment vas Eden ? Demande Victoire un fois sont calme retrouver.

- Je ne sais pas. J'attends des nouvelles de mes grands-parents actuellement... Un goût amer me revenais, surtout de la colère.

- Ok je crois que je viens de comprendre. Soupira Louis.

- Ok. Dis je pour simple réponse avant de rentrer en classe. Mauvaise journée en vue... Mais bon je suis en vacances dans quatre heures.

Des fois je me demandais à quoi tous cela rimer. Je trouvais ça même parfois ridicule. En fait j'y comprenais rien. Je voyais pas le problème. La raison dans tout ça. Rien.
Le pire ? C'est que ça me torturer l'esprit, je cherchais l'issue, les arguments, je cherchais à comprendre leurs opinion pour réussir à dialoguer avec eux. Rien. Et c'est franchement rageant. Arthur à laisser tous derrière lui mais au final on est séparer... J'arrive pas à tenir ma promesse. J'ai envie de pleurer. "Je suis désolé".

À la fin des 2 heures de cours Liam, dernière personne à laquelle je m'attendais et veux me confrontés, me traîne dans le font de l'étage dans la cage de l'escalier ou personne ne passe. Cette personne qui à présent me bloqué de toute échappatoire, avait un don. Celui de me faire cracher le morceau. Liam est pas bien plus grand que moi, quelques centimètres tout au plus. Les cheveux brun bouclé toujours habillé de façon sombre et discrette. Ses yeux fixé la base de mon crâne m'obstinant à ne pas croiser sont regard.

- Naïs... Dit-il d'une voix basse. Aller dit, personne n'aime te voir comme ça. Il tente de me redressait la tête, chose que je refuse. Pour autant ma vue ce floute... Mes mains sont mouillé ?! Je réalise étonné. Liam doucement mais sûrement m'étouffe dans une entreinte alors je pleure tous ce que j'ai à pleurer. Lui me tiens fermement.

- C'est tellement injuste et dur... Pleurais je entre un sanglot.

- Je sais. Ça va aller vous allez vous en sortir... Il me frotte le dos.

Recueil: ce jour là, la pluie...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant