Chapitre 4

17 1 1
                                    

Eden:






Bon honnêtement je peux pas dire que je me suis couché tôt vendredi soir. Du coup ce matin je suis levée que vers neuf réveillés par Pierre qui redescend du 3 ème étages (il marche comme un éléphant) heureusement il est discret quand il rentre tard dans la nuit de soirée.

Je me lève à contre coeur mais je me rendormirais pas donc autant profiter de la matinée qui ce profile à l'horizon.
Même si je sais déjà ce à quoi est consacrée ma fin de journée.

Je me lève, m'habille (je me suis lavé la veille au soir) j'enfile un sweat et un jean au hasard désireuses d'être dans des vêtements confortable.

Je vais aller m'acheter un pain au chocolat à la boulangerie sur le passage en allant à la bibliothèque. J'ai besoin de plusieurs livres pour le lycée alors autant en profiter de plus il fait beau !

Je sors de la maison après avoir noté un mot sur le tableau de l'entrée (qui sers à transmettre les infos importante)"je suis partie à la bibliothèque". J'aime marcher mais c'est tous de même un peu long de relier le centre ville aux quartier légèrement extérieur à pied alors je prends le bus. Mais comme d'habitude j'ai la flemme de changer du coup je descend à un arrêt au Pif au mètre enfin je me suis quand même assurée de ne pas être trop loin. Et je poursuis mon petit bonhomme de chemin à pied toute contente le sac à dos sur le dos et ma veste accrochée à la taille le sweat me chauffant amplement.

En passant devant les commerces je me fais la réflexion que prochainement il faudra que je lâche un billet dans une paire de chaussures neuves. Les miennes commence à rendre l'âme. Je dois avouer que la veste en jean tenant très longtemps ça allait je faisais toute les saisons avec alors que les chaussures... Quand c'est fichue, c'est fichue. En même temps ça fait plus de deux ans que je les portes alors elles ont bien vécu. Une retraite s'imposent pour mes chères compagnes de voyage.

Je soupire déjà que les chaussures de sport sont à changer. Je ne veux rien demandé à ma tante qui à déjà fait tellement pour moi. Dans le pire des cas je sais que dans ma "vrai maison" (Je sais même pas si je peux la considérée comme cela à présent) dans mes cartons plus précisément j'avais une autre paire de basket. Mais faudrait que je demande à Naïs et je sais déjà qu'il est bien occupé par tous ce monde qui à du débarquer ce matin.

Ça m'arrache un petit rictus il a dû être surpris il oublie tout les ans.
Je fais un arrêt par la boulangerie, m'achète mon pain au chocolat et le mange. C'est pas le tout mais mon vendre commencer à sévèrement ce manifester.

Depuis l'accident j'ai jamais était aussi maigre que maintenant. Je m'alimenter toujours qu'on soit d'accord mais comment dire? Il m'arrivait de manquée un repas par ci par là. J'avais un peu déperis avant d'être récupérer par ma tante heureusement aujourd'hui ça va mieux j'ai recouvert l'appétit mais de temps en temps ça passe pas, comme n'importe qui vous me direz.

J'entre dans le bâtiment et salut les deux personnes à l'accueille et y dépose les livres que j'avais emprunté précédemment. Je lis beaucoup maintenant c'est entre guillemets ce qui m'a sauver enfin c'est surtout Naïs. On est inséparable. Je lui dois beaucoup c'est lui qui à indiqué à ma tante, en même temps c'est sa marraine, ce qui ce passait. C'est grâce à lui qu'elle ma sortie de là.

La bibliothèque Louis Aragon as tellement de charme qu'on en tombe amoureux rien qu'en entrant. La belle baptise inspirée de l'art antique et l'intérieur très ouvert avec un beau parquets ancien. On défilé à travers les pièces, c'est une halte temporelles, c'est un véritable temples. On pouvait y flâner des heures sans sans lacer. Je suis souvent obligé de me mettre une alarme je ne vois pas le temps passé.

Vers seize heure je longe la somme où sont parker des péniches. Revenir dans le coin me fait bizarre. Évidemment je me suis pas planter depuis le temps. J'ai l'habitude tous est réglé comme du papier à musique dans cette famille. Dans les environs des seize heures trente une partie de ma famille éloigné sort de notre maison. Bien entendu je suis sur la rive opposée planqué derrière des arbres.
Mon coeur tenais impassible jusqu'à ce que je vois sortir Louis, Liana et Jules. Quelques larmes ce mirent à dévalé mais quand je vois passer mes grands parents c'est trop tard mes larmes ne veulent plus cessaient. Un an sans les voir... Mes cousins et cousine ont tellement grandis. J'ai vraiment l'impression de perdre des années à profiter d'eux comme de mes grands parents. C'est dur. Je m'accroupis tête dans les bras, le pire dans tous ça c'est que pour éviter les scandales je ne traverserait pas les voir, je ne suis pas assez courageuse.

J'ai mal, mais je savais qu'en venant voir comment ils allaient ça me ferait mal. J'ai jouer j'ai pas était assez forte. Mais j'en avais besoin.












Bonjour/bonsoir ! Je me perd dans les horaires avec le décalage °^°¡ j'espère que ça vous à plus :)
Je pense commencer bientôt à rentrer dans le vif de l'histoire car pour l'instant je vous donne beaucoup de questions sans réponse ;)
Bonne continuation !

Obi d(^-^)D

Recueil: ce jour là, la pluie...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant