Pierre:
J'avais fini par m'installer dans le canapé dans le salon. J'étais bien fatigué ces derniers week end j'avais beaucoup naviguer de soirée en soirée. Résultat je suis fatiguer mais je dois travailler. je soupiras de tout ce que je savais. Avant de voir Naïs débarquer dans l'entrer.
- Salut Naïs tu... Il ne fit même pas attention à moi et traça dans la cage d'escalier.
Eden:
Je fus tellement choqué que je lâcha ma pauvre tasse qui n'avait rien demander, ce qui fit ce retourner Simon surpris. Je m'approcha doucement de Naïs, des larmes commencèrent à perler.
- Que c'est-il passé ? Demanda Simon en s'approchant.
Naïs avait le côté droit du visage rouge, la lèvre sanglotant et la main en sang. Le pire dans tous ça c'est son regard éteint. Je l'attrapa par le coude et l'entraina jusqu'en bas. Pierre ce leva rapidement en voyant sont état.
- Assis toi là, ordonna-t-il en allant chercher la boite à médoc dans la salle de bain du bas. Simon sors moi de la glace dans le congélo en bas et mais ça dans un torchon. Moi je l'aida a enlevé son manteau.
- Tiens met ça sur ta main, dit Simon en lui tendant le torchon. Pierre revins, ouvrit la boite sur la table et s'accroupie.
- Qu'est ce qu'il t'es arrivé ? Pierre était froid, le visage fermé. Il voulu toucher son visage mais il frissonna. Ok le torchon met le sr ton visage on va d'abord s'occupé de ta main.
- Maman... Soufflais je, il acquiesça, Pierre fronça les sourcils et Simon parut choqué.
- Ma main... J'ai frappé de toute mes forces un mur... Dit-il.
- Franchement, il va vraiment falloir que la propriétaire finisse par faire quelques choses. Dit Pierre après avoir fini de désinfecter et bandé sa main.
- Je suis désolée. Je m'accroupi en boule les larmes monté. Simon s'approcha de moi.
- Eden.. fit Naïs sans pouvoir bouger accaparait par Pierre qui s'occupé de sa lèvre. Simon me redressa.
- Je vais appeler la proprio.
- NON! Ne l'embête pas... S'il te plaît... Souffla-t-il.
- Plus ça va plus votre situation ce dégrade. Vous pouvez pas rester comme ça. Il s'appuya contre la table la main sur la nuque.
- Il nous reste un an a tenir. Protesta-t-il, après on ne sera plus obligé d'entretenir des liens avec eux.
- Je sais mais si c'est pour te voir pendant un an te faire démonter à chaque fois. C'est déjà la deuxième fois Naïs que tu nous arrive dans cette état.
- Désolé... Je vins le prendre dans mes bras il ce leva pour ce mettre à ma hauteur.
- J'aurais pas du venir... Pardon Naïs, pleurais je contre lui, il me sera de toute ses forces.
- C'est rien tu avais le droit...
Simon:
Honnêtement vous feriez quoi dans mon cas ? Mises a part être choqué et attrister, je connaissais rien d'eux, vraiment rien. Ils ne parlaient jamais de leurs familles, on savaient à peine qu'ils étaient frère et sœur. Pierre me tira a l'écart et me chuchota.
- Excuse moi je vais être direct : Tu les connais et tu connais leurs histoires ? Surpris je répondis mal adroitement.
- Heu... Je sais juste que Eden n'a plus le droit de vivre dans son foyer et qu'elle a peur des voitures.
- Ah, souffla-t-il exaspérait il me regardât droit dans les yeux et je ne savais quoi y lire. Trop de chose différente. Tristesse. Peurs. Incertitude. Inquiétude. Beaucoup trop.
- Il y a quelques chose que je peux faire pour les aider ? S'il te plaît. En quelques jours passé avec Eden c'est pas compliqué de savoir qu'il y a quelques chose qui cloche. Idem pour Naïs. Toute l'heure je l'ai retrouver sous l'abris à vélo au lycée en pleurant.
- C'est pas à moi de t'en parler, désolé si je peux juste te donner un Conseil. Réfléchi à deux fois avant de te lancer la dedans. Ce que pourrais découvrir derrière eux est vraiment troublants. Mais si tu le fait, il me sourit tristement, les juges pas, les blesses pas et si jamais tu venais à les embêter sache que tu risque de trouver des gens à qui parler ici.
C'était vraiment impressionnant de la façon où ils les protégeaient et ça me donner envie de faire partie de c'est gens.
- Je ne suis pas leurs ennemis. Je veux être dans votre camp. Je lança mon regard le plus assuré en même temps c'était le cas.
- Bon courage et bienvenue dans leur monde. Il ce dirigea vers Eden et Naïs ce tenant la main assis dans le canapé, appuyer l'un à l'autre, fatigués. J'avais suivie Pierre mais je ne savais pas vraiment quoi faire.
- Pierre ! Appela un gars brun en s'introduisant dans l'entrée.
- Ouais ? Il ce recula de quelques pas pour le voir. Tu peux venir deux secondes ? Le gars s'approcha et soupira en regardant les deux adolescents.
- D'accord... Il ce passat une main dans les cheveux puis regarda Pierre avec sérieux.
- Voilà l'idée... Soufflat-il.
- Ouais, une fois allons bon mais deux ? Ça va pas être possible vous le savez ça ?
Naïs hochat la tête.
- On fait quoi ? Demandat Pierre.
- On appele la proprio ? La dernière fois c'était aussi la bouche et le visage. Après ce sera quoi ? Le ventre ? Le nez ? L'oeil au beurre noir ? Non mais faut pas déco*ner ! S'enervat-il. L'autre gars blond lui posa la main sur l'épaule en signe d'apaisement.
- Oui et on va lui demander de passer en plus elle est ici en ce moment. Eden hocha la tête. Naïs envoie un message à tes parents et dis leur que tu dors chez un ami tu vas rester ici et moi j'appelle la proprio.
- Je ne veux... Commença Naïs à protesté vite refrainer par Elio et son regard noir, il ce tue. Pierre s'accroupit face à eux.
- Laissez vous aider, faite nous confiance. Il leur sourit doucement.
Je me mis de côté à un moment Eden vint me voir. Le visage fatiguée.
- Je suis désolée pour tout ça.
- Je vais vous laissez tranquille. Je lui sourit doucement.
- Désolée, je vais chercher les clés.
- Ok, je vais chercher mes affaires à l'étage.
Quelques minutes plus tard après avoir retrouver mon vélo en entier. Et je repartis avec le coeur lourd.
Quand j'arriva chez moi mes parents étaient là... Moi j'avais la chance de connaître un foyer chaleureux avec des parents qui travaillent longtemps et tard le soir. Mais on savaient apprécié nos moment passer ensemble.
Bonjour merci d'avoir lu ;)
Bonne continuation :)
Obi °^°
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Recueil: ce jour là, la pluie...
Teen Fiction"Ce jour là je l'oublierais jamais, une corde de ton cœur à lâcher... Peu de gens connaisse cette histoire dans mon établissement, non, seulement une poignet. C'est ce genre d'histoire qu'on croit toujours que ça ne peu pas arriver, c'est trop rare...
