chapitre 28

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PDV Marcelo

Pendant le retour vers la maison de mon père, après avoir vue Camilo se prendre pour un cascadeur professionnel.

Camilo-ont est d'accord que ont dit rien  à propos de se qui vient de se passer à ma famille? Dit-il pendant que je le porte sûr mon dos.

Marcelo- ouais, si tu veut être sur que t'a famille te tue pas pour vraie se serait mieux. Dit-je en prenant ça main qui est accroché à mon coup.

Camilo- ouais...merci de prendre soin de moi. Dit-il en mettant ça tête dans mon cou comme pour se cacher, gêné.

Marcelo-*rigole parce-que il est mignon* mais évidemment que je prends soin de toi, je t'aime moi. Dit-je avec un grand sourire.

Camilo-moi aussi je t'aime mi vida. Dit-il en souriant à son tour.

Je marche avec un grand sourire, les gens nous regarde et nous sourie aussi . C'est dans ses moments que je suis heureux d'avoir rencontré se Madrigal qui embellit chaques secondes de ma vie. Pas que je ne le suis pas en tout temps, juste que se sont des moments que j'apprécie beaucoup. J'arrive chez moi et mon père nous salut je monte ensuite à ma chambre, Camilo est toujours sûr mon dos. Je le dépose sûr mon lit pour qu'il se repose après se qui c'est passé.

Marcelo-je sais que tu m'as dit que tout allait bien mais ça vas mieux? dit-je après m'être assied près de lui.

Camilo- honnêtement juste le fait que tu sois avec moi fait que je me sent mieux. Dit-il avec un grand sourire et ses yeux fermés, épuisé.

Je l'embrasse sûr la joue et lui sourit, même si il ne peut le voir. Il tend ensuite ses bras devant lui comme signe qu'il veut un câlin. Je le prends dans mes bras puis m'allonge sûr lui. Je suis si bien au chaud dans ses bras.

Camilo-tu sais quoi? J'ai constaté quelques choses. Dit-il d'un air fière de lui.

Marcelo- ah oui? Quoi? Dit-je vraiment intrigué par se qu'il vas me dire.

Camilo- j'ai faim. Puis il se mis à rigoler se qui me fit aussi rire.

Marcelo- *soupire, faussement désespéré* ne t'inquiète pas ont vas mangé dans pas longtemps, je peut sentir l'odeur des panzerotti, trenette Al pesto et les Osso-bucco just'qu'ici. Dit-je en rêvant de c'est classiques italien que mon père préparait dans la cuisine.

Camilo- des oço-bou-quoi?? dit-il ne connaissant pas vraiment ma culture culinaire.

Marcelo- si tu pouvais goûté au bonheur ça aurait cette saveur, littéralement. Dit-je était un grand fan de bouffe Italienne.

Camilo- heu! Si le bonheur aurait un goût il aurait la saveur des mets Colombien pas Italien.

Marcelo- a tu déjà mangé de la vraie cuisine italienne, c'est à dire, cuisiner par un Italien compétant?

Camilo-heu.. non mais je sais se que je dit.

Marcelo- pense se que tu veut mais mes goûts en nourritures sont beaucoup trop élevé pour toi. Dit-je avec le sourire.

Camilo- gngngngngn gngngngn. Dit-il en essayant de m'imiter.

Lorenzo- venez à table les jeunes c'est prêt. Dit-il de l'autre côté de ma porte.

Marcelo- alors? après à goûté au bonheur mio sanza gusto? Dit-je en riant.

Camilo- toujours mi inculto. Dit-il en me prenant de haut.

Ont se lève puis arrive à table, toujours avec se regard déterminer.
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(Camilo X Oc) Des Yeux Plus Sombre Qu'une Nuit D'étéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant