Chapitre 8

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PDV SANAÉ

J'arrive dans ma chambre et tente de fermer la porte mais il place sa main avant et niveau force c'est lui qui l'emporte. Dernière solution courir dans ma salle de bain me cacher.

Mais quand je me mets à courir il rentre dans la chambre et se place devant moi.

C'est la merde

La grosse merde

La j'avoue j'ai peur, très peur même, la prochaine fois je réfléchirai. J'espère à ce moment même qu'il y'a n'importe qui, qui rentre dans ma chambre.

Je vais mourrir

Au secours

Osamu va me tuer

-Sanaé: Euuu Osamu tu sais j'ai pas trop fais exprès

Menteuse

-Osamu: Ferme la

Ok je me tais aussi tôt mais par contre tu pourrais juste sortir de ma chambre même voir de l'appartement se serai géniale.

-Osamu: Tu veux que je te tues ou quoi?

Non je ne suis pas très chaud

Il commence vraiment à s'énerver et ça s'annonce pas très bien pour moi. Il donne un coup de pied à mon sac à dos qui tombe au sol.

Je m'abaisse pour le ramasser mais il m'attrape mon poignet et me le serre. J'avais presque plus mal mais là j'ai envie de pleurer tellement que j'ai mal.

-Sanaé: Osamu lâche moi tu me fais mal
-Osamu: Tu crois qu'on n'est pote pour que tu me balances un bol ?

J'essaye de me défaire de sa prise mais au contraire il resserre encore plus sa poigne. Je sens mes larmes monter au coin de mes yeux, il ne faut surtout pas que je pleure surtout devant lui.

-Osamu: Joue pas avec mes limites et répond à ma question PUTAIN
-Sanaé: S'il te plaît lâche moi

Rinni t'es où s'il te plaît vient, Osamu c'est un gros malade mentale.

-Osamu: Tu crois que je vais te lâcher peut être mais va rêver, depuis que t'es arrivé je dois te supporter tu viens dans l'équipe, tu gâches tout. C'est pas parce que tu es la cousine de Suna que tu peux faire ce que tu veux Sanaé au contraire ferme ta putain de grosse gueule et trace ta route. Tu me casses déjà assez les couilles comme ça

Il resserre sa prise et je ne peux plus retenir mes larmes. Je baisse la tête et tombe à genoux, je n'ai pas envie qu'il me voit pleurer. Comment ça se fait que tout le monde l'aime bien, il est complètement malade.

-Sanaé: Lâche moi s'il te plaît

Je prononce cette phrase la voie brisée et il se rend enfin compte qu'il me fait mal parce qu' il lâche enfin mon bras.

Je me relève directement, je ressuis mes larmes. J'attrape mon sac à dos et pars en direction de la porte.

-Osamu: Sanaé

Il essaye de m'appeler mais je ne veux pas lui répondre tout ce qu'il mérite c'est mon silence. Je continue d'avancer vers la porte.

-Osamu: Sanaé revient
-Sanaé: VAS TE FAIRE FOUTRE PUTAIN, C'EST TOI QUI ME CASSES LES COUILLES DEPUIS PLUS D'UNE SEMAINE. J'AURAIS TELLEMENT ESPÉRER QUE MON COUSIN NE TE CONNAISSE PAS, JE N'AURAIS PAS EU BESOIN DE TRAÎNER AVEC TOI OU DE MÊME TE RENCONTRER. J'AI PENSÉ PENDANT UN SEUL INSTANT QU'ON AURAIT PU DEVENIR AMI MAIS NON UN CONNARD RESTE UN CONNARD

Osamu Miya x OCOù les histoires vivent. Découvrez maintenant