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Je suis en train de perdre ma virginité

Je me réveillais à côté de Davy, il était tellement mignon endormit. On l'avait toute la nuit, je n'avais pas arrêter de gémir. Je sentais un nouveau désir en moi j'en voulais encore. Je réveillais Davy, avec un léger baiser sur les lèvres, et il recommença là où on c'était arrêter.

Plus tard le même jour

Aujourd'hui était le jour du match, c'était aujourd'hui qu'on devait jouer contre l'équipe adverse. Après ce match on rentrait chez nous.

Durant tout le trajet Davy n'arrêtait pas de me dévorer des yeux, on était assis l'un à côté de l'autre dans le bus, et il commença à me caresser les hanches. Je frissonnais...

Je suppose que les autres membres de l'équipe, le remarquèrent. Mais ils ne dirent rien.

Enfin sur le terrain notre coach, nous encouragea. J'étais prête à gagner ce match, tous ce que je devais faire c'était de tirer dans le but. On marqua 3 buts a 2 à la première mi-temps. L'équipe menait d'un point sur nous, notre coach était plus rigoureux:
« Vous devez aller en final sinon vous aurez fait tous ce chemin pour rien!»

À la fin de la partie on gagnais de 6 buts à 3.
Je ne sais pas si c'est grâce à notre capitaine, ou notre coach, mais je fis un truc que je ne faisais jamais d'habitude. À la dernière minute du match, je sortis des camps, courut jusqu'au but et marqua le gardien avec le pied gauche, alors que je suis droitière.

Mon équipe me souleva, et me félicita.

Point de vue de Davy

On avait gagné, et grâce à ma copine en plus. Je ne me rendais pas compte, que je la regardait avec un regard qui en disait long sur mes pensées, jusqu'à que Jodie me dise:
- Hé mec arrête de la regarder comme ça on dirait que tu la déshabille des yeux.

C'était vrai je la regardais comme un gros pervers. Après le match, on devait repartir tout de suite, alors je l'emmenais une dernière fois sur l'air de pique nique, la regarda intensément, lui prit la nuque dans mes bras et lui donna un baiser des plus fiévreux. Nos langues s'entrelaçait nos lèvres se cherchaient, et c'était le plus beau baiser de ma vie.

Point de vue de Enaïa

Salut, je suis de retour. Vous vous rappelez que j'écrivais un livre et que je devais l'envoyer à l'éditeur, et bien il l'a accepté. Personne ne savais que je le lui avais envoyé, je voulais que sa reste un secret au cas où il n'accepterait pas, de le publier.

Mais un mois, passa puis deux, puis cinq. J'avais l'impression que finalement l'éditeur a jeter mon manuscrit à la poubelle. Quand le 1er Juillet 2021, il décida de m'envoyer une lettre:

Bonjour Mademoiselle Enaïa, votre livre sera publier. Venez dès que possible.

C'est tout, pas de cordialement ni rien, j'étais surprise mais comme je n'avais pas cours j'ai décidée de me rendre dans cette maison d'Edition.

« - Vous attendez quelqu'un mademoiselle ? me demanda la secrétaire
- Et bien oui, j'ai reçue une lettre, qui me disait que vous alliez publier mon roman.
- Hum, comment vous appelez vous?
- Je m'appelle Enaïa Faga. ( c'est mon nom d'auteur)
- Ah oui mademoiselle Faga, et bien je pense qu'on vous a fait une mauvaise blague, parce que le directeur a dit que votre livre était très mauvais, et qu'il n'y avait aucune cohérence.

J'étais surprise, et je demandais à voir l'ouvrage qui leurs a été remis. Quand je l'ouvris je m'exclamais :
- Mais ce n'est pas ce que je vous envoyer.
Heureusement j'étais préparer à cette éventualité, et avais déjà pris une copie sur mon ordinateur. Je le lui remis, et effectivement le soir même on oublia mon livre, avec une lettre d'excuse et une somme d'argent que je mis de côté.

Je rentrais à la maison ni vu, ni connu.
- Où étais-tu? me demanda Emmie
- J'étais occupée, quoi je peux plus sortir tranquillement?

Je n'étais pas juste avec elle, elle n'avait rien à voir dans cette histoire.

- Excuse moi Emmie, mauvaise journée. Sinon ça va toi?
- Oui ça va, juste je dois terminer de payer les factures, après si tu veux on peux sortir chercher ta soeur, elle revient aujourd'hui de sa tournée.
- Se serait super. dis-je reconnaissante

Je monta dans ma chambre, et ouvrit un tiroir secret sous mon lit, où je rangeais une boîte avec plusieurs billets. Ce n'était pas la première fois que je me faisais publier, mais à chaque fois je décidai de ne pas mettre mon nom.

Après avoir finit je commença à m'habiller. J'avais une robe bleu, avec des chaussures blanches, et un noeud papillon dans les cheveux.
On monta dans la voiture et Emmie me dit:
- Enaïa, je sais que tu as écris un livre, et que tu as reçue beaucoup d'argent et que ce n'est pas la première fois, alors on va retourner à la maison récupérer ton argent et le mettre en banque, parce qu'il est hors de question qu'on casse ma maison pour voler.

J'étais surprise, mais ne dis rien, on retourna en silence, à la maison et avant d'arriver à l'aéroport on déposa l'argent sur mon compte en banque. Ensuite Emmie me dit:
- Enaïa, je sais que je ne te le dis pas souvent, mais je suis fière de toi, ma fille. Tu es douée, tu as du talent dans l'écriture alors continue comme ça.

J'étais vraiment émue par ses paroles, car elle n'a pas l'habitude d'être aussi chaleureuse avec moi. On récupéra Lilly, et elles nous emmena dans un magasin pour nous acheter des ordinateurs. Elle voulait me montrer qu'elle me soutenait , et Lilly lui avait dit qu'elle voulait aussi essayer d'écrire.

C'est à ce moment précis, que je me suis dis que je n'échangerais ma famille pour rien au monde.

Coucou, j'espère que vous passez de bonne vacances. N'hésitez pas à commenter, et je vous souhaite une bonne journée. On arrive bientôt à la fin du livre j'espère qu'il vous a plût.
Bises

Une vie fantastique Où les histoires vivent. Découvrez maintenant