Ce monde, c'est le mien ! [En Pause]

Chapitre 22

Je passai tous les point de contrôle sans pass puisque ceux charger de la sécurité avait été prévenu qu'une fille félin allait arrivé. Quand j'arrivai devant le bâtiment, je revis, sans surprise mais avec horreur, le monstre qui s'était auto-proclamé mon maître.

- Eh bien. Tu as vite compris où je me trouvais.

J'hochai simplement la tête, évitant tout contact visuel avec lui.

Je pensais avoir le courage de me défaire de ses entraves et de lui dire une bonne fois pour toutes, que je n'étais pas sa chose et qu'il ne pouvait pas m'utiliser à sa guise mais... Je suis terrifiée rien que de sentir sa présence.

On alla là où tous les participants attendaient le début des enchères.

On attendait encore et encore mais on entendit bien vite qu'il y avait du grabuge dehors. Et plus le temps passait, plus les participants, dont mon maître, s'agitaient et demandaient à récupérer leurs armes. Ils disaient que les professionnels qu'ils avaient payé étaient des incompétents et qu'ils allaient tué l'araignée eux-mêmes. Au début cela me fit rire mais quand ils ont commencé à agressé physiquement les organisateurs qui essayaient juste de faire respecter le règlement, ça ne me fit plus du tout rire.

- Bon maintenant vous la fermez !!! TOUS !!! M'exclamais-je en déployant soudainement mon Nen. MEME SI VOUS AVIEZ TOUS UNE ARME JE N'AURAI PAS DE MAL A TOUS VOUS BATTRE ALORS PENSEZ BIEN QUE L'ENNEMI Y ARRIVERA AVEC LA PLUS GRANDE SIMPLICITÉ DU MONDE !!! Si vous voulez mourir, prenez vos armes et aller vous battre mais si vous voulez vivre encore un peu, je vous conseille vivement de vous taire et de patienter sagement.

J'entendis un ricanement et vis... 

Attendez un instant mais c'est... Je rêve... j'ai juste un peu plus au dessus de moi Zeno et Silva Zoldik !!! 

Le grand père de Kirua rigolait tandis que l'autre me regardait sévèrement. Je calmai alors mon aura et repassai en mode Zetsu.

- Je me présente, Zeno Zoldik et voici Silva Zoldik. Bien qu'insolante, cette petite fille a raison. Pour ma part, si vous aviez tous un revolver cela me prendrai 7 secondes pour tous vous neutraliser, et c'est pareil pour notre ennemi. Alors écoutez son conseil et attendez sagement que les professionnels fassent le boulot.

Ils repartirent aussi vite qu'ils étaient arrivés.

Je me sentais fier, Zeno Zoldik l'un des plus brillant assassin que la Terre ai vu, a dit que j'avais raison !

Malheureusement, ce sentiment disparut aussitôt quand le maître arriva en furie vers moi et me gifla.

- Non mais qu'est ce qui t'as pris ?!  Es tu devenu folle ?! A être insolante comme ça, les acheteurs vont moins miser pour toi ! Ne refais jamais ça ! Tu as compris ?! Déjà que je ne sais pas se que tu as fait de la belle robe que tu avais et que tu viens aux enchères habillé comme une guerrière alors maintenant, tu t'assois et tu te fais discrète ! Entendu ?!

J'hochai faiblement la tête, celle-ci baissé trouvant le sol très intéressant d'un coup.

Je m'assis donc par terre et attendis encore et encore.

Après quelques minutes qui me parurent être une éternité, le maître m'attrapa par le col, pour je ne sais quelle raison, et me tira vers lui pour que je me mette debout, ce que je fis.

Il me montra ensuite une seringue, je compris immédiatement que c'était la drogue qu'il m'administrait pour fermer mes shôkos.

Je fis alors deux pas en arrière de peur. Cette sensation de manque que j'avais ressenti quelques heures auparavant c'était à cause de cet immonde produit. Je ne voulais pas revivre ça.

Mais il m'attrapa par la nuque me rapprocha et me l'injecta de force dans le cou. Ce qui fit très mal, car je gigotais, je ne pouvais pas m'en empêcher...

Puis il me lâcha et je retombai au sol là où j'étais avant qu'il n'arrive. Je tenais mon cou là où il m'avait injecter et levais faiblement la tête vers lui.

Mais il partit juste après un regard plein de dédain et d'amusement, sans m'adresser le moindre mot.

Quelques minutes plus tard, un gros "boom" retentit soudainement  et le sol se mit à trembler. Je me levai immédiatement.

Que se passe-t-il ? Qui as fait ça ? Et qui est touché ?

J'étais inquiète pour Kurapika et pour la brigade. Mine de rien, j'avais fini par m'attacher à eux.

Mais je n'eus pas de réponses à mes questions en tout cas pas à ce moment.

Quelqu'un de la sécurité arriva et nous dit que les parrains souhaitent expliqué eux-mêmes se qui se passe et que les enchères auront bien lieu et qu'il fallait se rendre au neuvième étage.

- Toi tu iras avec les objets, d'accord ?  Et répond moi avec des mots cette fois.

- Ou...Oui...

- Oui qui ?

- Oui... M... Maître...

- Bien.

Suite à ça tout les participants s'installèrent dans la salle et moi je rejoignis l'endroit où tous les objets étaient entreposés et m'y assis.

Un parrain par le biais d'une vidéo apparut.

- Bonsoir à tous. Veuillez déjà m'excuser pour cette vidéo de mauvaise qualité. Il y a eu beaucoup de trouble ces derniers temps mais à présent tout est rentré dans l'ordre. Nous nous occupons de la brigade fantôme, leur chef et déjà mort. Quant aux autres il ne leur reste plus que quelques heures à vivre. Laissez les professionnels s'en charger et profiter de la vente.

Qu... Quoi ?! Le chef est mort ?! N... Non ! Impossible !

Je m'apprêtait à me lever mais dès que je posai un pied sur le sol, je tombai à la renverse.

Qu... Qu'est ce qui m'arrive ?

Ce produit... Ce n'était pas pour refermer mes shôkos mais pour m'endormir et pour que je ne pose pas de souci.

Puis après ça, je tombai dans les pommes en pensant au chef, à Pakunoda, à Sharnalk ainsi qu'à tous les autres... 

J'ai peur... Je ne veux pas être vendu... à l'aide...

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Coucou ! Ça va ?

Je sais : je suis en avance.

Mais n'aurai pas pus le poster dans les jours à venir.

J'espère que ce chapitre vous aura plus bien qu'il soit un peu plus court que d'habitude.

Profitez bien de ce long week-end et à la semaine prochaine !