Chapitre 7. Une longue nuit agitée (3)

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Des doigts épais entrèrent, faisant atrocement un rapide aller-retour à l'intérieur de son sexe.

Sa chaleur, frémissante, avala les doigts de l'homme en réponse. Au fur et à mesure qu'elle atteignait des endroits, elle était devenue plus humide.

La sensation qui s'était glissée de son ventre commença à la remplir comme une traînée de poudre. Embrouillée par le plaisir grandissant, elle le repoussa précipitamment.

Malheureusement, l'homme était aussi dur qu'un roc et n'a pas bougé, même d'un pouce. À califourchon sur lui, Leah se tortilla et secoua la tête. Elle serra l'homme dans ses bras et lui griffa le dos avec ses ongles. Mais la marée déferlante de sensations n'est pas tombée, et l'homme n'a pas faibli dans sa quête.

Elle semblait être poussée au bord de la falaise. Alors que ses doigts commençaient à la frotter en rythme, faisant des va-et-vient dans son sexe, des feux d'artifice jaillirent devant ses yeux.

"... !"

Leah ouvrit grand les yeux, bouche bée. Elle s'arqua, courbant le dos.

Si possible, ses plis sont devenus encore plus trempés. Ses halètements de plaisir résonnèrent, suivis d'une sensation presque insupportable qui secoua son corps.

"hum, ...euh.., ah ..!" Elle gémit bruyamment. Quand elle revint à elle, Leah se rendit compte qu'elle s'accrochait à l'homme et tremblait. Ses genoux qu'elle pouvait à peine sentir perdirent de leur force. Elle s'effondra en lui, un gâchis total alors que son corps émettait des tremblements.

« Ahh ! »

C'était l'apogée de sa première expérience de toute sa vie. La sensation inédite de perdre le contrôle de son corps pendant un instant l'engourdit.

En regardant Leah sangloter, submergée par le mélange persistant de honte et de plaisir, les commissures des lèvres fines de l'homme se soulevèrent légèrement.

« Ça ne t'as pas fait du bien ? Il traînait, tandis que ses doigts espiègles rampaient pour taquiner son clitoris, durcissant à son contact.

Alors qu'il le faisait, son nœud sensible attira l'attention. Elle s'est alors rendu compte que c'était la source de tous les battements.

« Arrêtez, arrêtez... » supplia-t-elle, mais l'homme fit autrement. Il a allongé Leah sur le lit et l'a fait atteindre l'orgasme une fois de plus. Elle agrippa les draps si fort que ses jointures devinrent blanches.

Alors qu'une petite langue se révélait à travers ses lèvres ouvertes, l'homme captura sa bouche et la suça jusqu'à la soumission.

Alors qu'elle était déchirée entre l'orgasme et les baisers violents, elle ne remarqua pas que ses sous-vêtements fins se détachaient lentement. Dès que Leah réalisa qu'il s'était détaché, la laissant ouverte et vulnérable à l'homme, elle ramassa ses jambes par réflexe, mais fut à nouveau écartée par les mains calleuses de l'homme.

C'était une attitude peu sophistiquée. Elle n'avait jamais été aussi étalée devant qui que ce soit. Et pour ajouter à sa honte, l'homme regarda ouvertement son sexe.

"Que se passe t-il ici?" Sa voix narquoise la fit rougir à nouveau. Contrairement à d'autres, elle était presque sans poils en dessous. Ses longs doigts massaient les pétales roses. Leah répondit à peine par un gémissement.

"C'est comme ça...."

"Depuis la naissance?"

Hochant la tête, l'homme attrapa son poignet, levant brusquement son bras. Quand il vérifia son aisselle lisse, il gémit brièvement et marmonna d'un ton très troublé.

"Je n'aurais jamais pensé que j'aimerais ça jusqu'à présent."

"...." Pourquoi est-il comme ça ? Il semblait vouloir la lécher partout ! La montée et la descente de sa poitrine devinrent turbulentes.

Il a commencé à enlever son pantalon.

Oh mon Dieu... La mâchoire de Leah tomba alors qu'elle regardait entre les jambes de l'homme. Elle avait déjà deviné que ce serait gros car le physique de l'homme était conséquent. Mais ce n'était pas normal. Sans exagération, il était plus épais que l'avant-bras de Leah. Son pénis, qui s'était dressé aussi raide qu'il avait touché son nombril, avait une extrémité humide et les tendons saillants saillaient.

Kurkans a hérité du sang de la bête, et son membre n'était rien de moins qu'une bête.

L'homme rit comme s'il savait ce que Leah pensait. Il soupira langoureusement et frotta sa longueur sur la cuisse de Leah.

"Es-tu surprise?" La zone frottée était chaude comme si elle avait été brûlée.

"Mais c'est à cause de toi. Vous devez prendre vos responsabilités et l'apaiser."

Leah attrapa la couverture, des mots effrayés sortant de sa bouche. "Non. Comment vais-je m'adapter à ça ?!"

"Tu devrais essayer."

Une tête ronde s'est glissée à travers un interstice étroit. La pression était considérable, même si ce n'était que la pointe.

Ses entrailles étaient assez humides mais étaient toujours serrées et à l'étroit. L'homme respira péniblement, ses lèvres en une ligne serrée.

"Tu es si serré..."

Mais contrairement à sa voix dure, les yeux de l'homme étaient sereins comme la mer calme. À l'insu de Leah, son membre épais s'est coupé en deux et est lentement entré.

Il a fait confiance et ne s'est arrêté que lorsqu'il a vu le visage rempli de larmes de Leah. Elle respirait à peine, mais en sentant quelque chose entrer en elle, elle lui demanda avec empressement.

« A—as-tu tout mis dedans... ? »

« Tu me sous-estimes, n'est-ce pas ? »

L'homme répondit avec un sourire malicieux. "Il reste encore un long chemin à parcourir."

Et avec ça, il a poussé son sexe jusqu'à la racine.

Mariage Prédateur (+18) Partie 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant