IMAGINE HOT HARRY

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IMAGINE HOT HARRY
Harry te gueulait dessus. Tu ne l’avais jamais vu dans un état pareil. Il est fou de rage et pourtant, tu n’as rien fait.
Harry : je ne sais même pas pourquoi on est ensemble !
Toi : mais putain, si je te dis qu’on a rien fait !
Harry : et qui peut me le dire ?
Toi : mais …
Harry : je le savais.
Toi : mais tu sais quoi putain ! Si tu aurais confiance en moi, tu saurais que je n’ai rien fait !
Harry : j’avais confiance en toi !
Toi : pardon ? Si tu veux vraiment tout mettre sur le feu, d’accord. Caroline Flack ?
Harry : quoi ?
Toi : quand tu es allé dormir chez elle, je ne t’ai rien dit mais elle m’a confirmé que vous aviez fait ! Et tu sais très bien de quel trou ! Alors arrête de faire ton intéressant parce que mon meilleur ami je le connais depuis bien longtemps comparé à ta Flack là !
Harry : je n’ai rien fait avec.
Toi : qui peux me le dire ?
Harry : je ne sais pas.
Toi : crois-moi, j’en suis sûr que tu as fait avec !
Harry : qu’est-ce qui te dit ça ?
Toi : j’ai reçu une vidéo. Regarde là !
Tu lui montres le pc. La vidéo montre les débats d’Harry et Caroline. Elle jouissait pourtant par derrière, ça ne fait pas si du bien que ça. Elle simule !
Harry : …
Toi : regarde-moi.
A peine sa tête retourner que tu lui fous une gifle.
Toi : moi qui croyait que tu étais le mec parfait avec tes phrases à la con, tes roses et tes chocolats !
Harry se rapproche de toi dangereusement : si tu n’aurai pas couché avec ton meilleur ami comme une PUTE, tout ça ne serait rien arrivé ! On dirait que tu le fais exprès ! Comme une salope !
Toi : PUTE ? SALOPE ? Dégage.
Harry : non. Tant que je n’ai pas les vraies explications, je ne pars pas.
Toi : très bien. Tu ne pars pas. Alors je pars.
Tu prends tes clics et tes clacs et pars. Harry te suit.
Harry : mais tu ne sais pas dire la vérité et on passe à autre chose ? Sérieux ?
Toi te retournant vers lui : Harry, toi et moi c’est fini. J’en ai marre de tes crises de jalousie à cause de mon meilleur ami. Je le connais depuis que je suis petite et si j’aurai vraiment envie de me le faire, ça serait déjà fait avant que je sois avec toi ! Qui c’est qui m’a déviergé ? C’est toi. Qui c’est qui m’a fait découvrir le sexe par toutes les positions, par tous les moyens ? Toi. Crois-moi, je suis si … dégoutée que tu puisses penser une seule seconde que ... j’ai pu te tromper ! Et ça me désole que tu me traites comme une moins que rien. Alors, maintenant je vais aller chez mon meilleur ami. C’est fini entre nous Harry. FINI ! Tu restes chez toi et moi, je reste chez moi. Quand est-ce que je pourrai te faire comprendre que je t’aime et que ce n’est pas facile de vivre avec toi avec ta jalousie de merde là ! Tu m’énerves Harry. Tu m’étouffes Harry. Tu m’horripiles même ! Laisse-moi, j’ai besoin de réfléchir. Bye, Styles. A jamais.
Tu pars.
Il te regarde partir. Les larmes commencent à monter des deux côtés. Harry se rend enfin compte qu’il a été trop loin. De là, à te traiter de PUTE ! Il s’enfouit dans son divan en pleurant, ne voyant plus rien tellement que ses yeux sont gorgés de larmes. De ton côté, tu pleures aussi. Mais, ce n’est pas de peine que ce soit fini, c’est de rage. De haine. Tu téléphones à ton meilleur ami.
Toi : Chace ?
Chace : qu’est-ce qui a ? Tu ne devais pas voir Harry ?
Toi : justement, je me suis disputé avec lui.
Chace : tu sais que tu es toujours la bienvenue chez moi. Je t’attends, on en parlera au moment même.
Toi qui renifle : d’accord.
Tu repenses et repense encore à ses mots : : si tu n’aurai pas couché avec ton meilleur ami comme une PUTE, tout ça ne serait rien arrivé !
Le pire c’est que … tu n’as rien fait et que lui, oui. Et c’est encore toi qui s’en ramasse plein la gueule. Tu es dans la rue à Chace, le temps de penser ce qui va te dire pour te consoler, tu as déjà sonné chez lui. Et directement, il te prend dans ses bras.
Chace : ma belle !
Toi qui pleure de toutes tes forces : J’en ai marre !
Chace : quitte le si tu ne peux plus le supporter.
Toi : mais je l’aime c’est ça que tu ne comprends pas.
Chace : c’est sûr que 9mois avec un mec, ça laisse des marques. Tu lui a dit quoi en partant ?
Toi qui renfile en te retirant de ses bras : je lui ai dit que je devais réfléchir et que pendant ce temps, c’était fini. Un genre comme ça.
Chace : il a eu quelles réactions ?
Toi : je ne sais pas. J’étais tellement énervée que je ne l’ai même pas regardé une dernière fois !
Et tu recommences à chialer.
Chace : mais comment ça s’est passé ? Pourquoi vous êtes-vous disputés ?
Toi : il y a une semaine, je suis venue dormir chez toi et … il a encore fait une crise mais là il m’a traité de PUTE et de SALOPE !
Chace : c’est lui qui parle ? Mais n’importe quoi, tu es comme ma petite sœur.
Chace à 4 ans en plus que toi. Il est beau, musclé et c’est ton meilleur ami. Dans toi-même, tu t’avoues que ton meilleur ami peut paraître tel un prédateur pour tes copains. Mais ... tu le connais depuis ton enfance ! C’est comme ton grand frère. Toujours là pour écouter. Toujours là pour te conseiller et toujours là pour … pour tout en fait !
Tu reçois un appel qui te retire de tes pensées, Harry. Chace est partit chercher un truc à boire et revient avec soit du coca ou du chocolat chaud.
Toi : Chocolat chaud.
Chace : comme tu voudras ma princesse.
Il va te le chauffer.
Toi qui crie à Chace qui est dans la cuisine et toi dans le salon : JE REPONDS OU PAS ?
Chace : réponds. Il voudra surement te parler.
Tu réponds.
Toi : …
Harry : …
Toi : … quoi ?
Harry pleure, cela s’entend à sa voix qui est plus tremblante : Je t’aime.
Toi qui s’emballe sur lui : tu aurais dû me le dire plus tôt ça ! Non mais, Sérieux quoi ! C’est quoi ton problème !? Chace et moi, on est fusionnel et si tu ne l’acceptes pas, tant pis pour toi parce que je ne le lâcherai sans aucun prétexte et encore moins pour quelqu’un.
Harry : je suis vraiment désolé ma chérie… je me suis laissé emporter par les mots, je ne pensais pas ce que je disais. Je t’aime ! Et je sais pourquoi nous sommes ensemble ; c’est parce qu’on partage les mêmes envies et les mêmes délires. Je t’aime et je t’aimerai pour toujours. J’en ai marre aussi d’être aussi jaloux mais je tiens tellement à toi que j’ai peur de te perdre. Ton meilleur ami est beaucoup plus avantageux que moi et tu le sais en plus. C’est ça le truc qui me fait mal. Je suis jaloux de lui parce que je vois que tu as plus d’amour pour lui que pour moi et …
Tu l’interromps : ça non ! Je l’aime mais ce n’est pas le même amour pour toi que pour moi. Je t’aime Harry et tu le sais. Je ferai n’importe quoi pour toi et tu en abuses.
Harry : et si on parlait de personne en personne ?
Toi : c’est trop tôt, je ne suis pas encore prête à voir ce visage agressif qui m’a traité de ce qui ne fallait surtout pas.
Tu lui raccroches au nez. Harry, de son côté est deux fois plus triste.
Soit, tu prends le chocolat chaud que te tend Chace. Il est brulant. Mais … il est bon.
Chace : dort ici aujourd’hui, vaut mieux que tu te changes les idées.
Toi : merci !
Chace : alors qu’est-ce qu’il a dit ?
Toi : il a dit que c’est parce que en gros il tenait à moi qu’il était aussi jaloux et qu’il était jaloux de toi.
Chace : tu m’étonnes !
Toi : n’en rajoute pas s’il te plaît !
Chace : je rigole et tu le sais ma belle !
Toi : oui.
La soirée passe plutôt vite. Tu t’endors vers 19h45, c’est tôt mais comme tu l’as toujours dit ; la nuit porte conseil !
Le «matin», il est 12h45. Chace t’apporte ton petit déjeuner. Avant de le manger, tu regardes sur ton portable pour voir si Harry aurait pensé à toi. 55 appels de lui et 24 messages ; quasi tous te suppliant de le pardonner ! Mais, en ce moment, tu te demandes si il n’a pas raison ; est-ce que tu préfères Chace à lui ? Non. Ce n’est pas possible.
Chace : fonce ! Il t’aime et j’en suis sûr que c’est réciproque. Je sais que … quand on te parle mal tu as tendance à réfléchir s’il faut garder contact avec cette personne. Mais là, c’est Harry ma belle. Je pense que … tu te voiles la face. Tu réfléchis justement trop ! Sûr et certain que si vous pourriez vivre ensemble, vous le faites ! Si vous pourriez vous marier, aussi ! Vous vous aimez et personne ne peut changer ça. Même moi.
Toi : mais … j’ai l’impression que … si justement je … je lui pardonne vite, je vais me sentir … faible !
Chace : on est tous comme ça quand on est amoureux ! Je ne veux pas tenir avec lui mais … il ne le pensait pas, ce mot. Il l’a dit sur le coup comme toi tu lui as dit A jamais non ?
Toi : oui, tu n’as pas tort. Il faut que je rentre chez moi. Je dois aller bien me préparer pour … pour qu’on se parle !
Chace se retire du lit : go ! Et cartonne tout ma belle !
Tu lui réponds avec un sourire. Et il part de la chambre. Tu te lèves deux minutes après avoir mangé cela. Croissants, Pains au chocolat, cacao, jus d’orange = le déjeuner parfait, surtout quand ce n’est pas toi qui te le prépare. En t’habillant, tu imagines déjà ce qui pourrait se passer. Rupture ou réconciliation ? Engueulade ou câlins ? Quoiqu’il arrive, tu stresses. Tu mets les mêmes affaires qu’hier, c’est pour cela que tu dois aller chez toi ; pour te laver et ensuite, t’habiller pour l’occasion. Simplement mais stylé ! Tu as déjà l’idée de comment tu vas t’habiller et même te maquiller mais pour cela, il faut que rentres d’abord chez toi. En descendant du haut [logique], tu fais un bisou à Chace et lui dit au revoir. Tu vas chez toi et sur la route, tu donnes rendez-vous à Harry.
Ton message à Harry : Je viens chez toi vers 18h30. On pourra parler tranquillement.
Aucune réponse. Tant pis, en rentrant chez toi, tu laisses couler l’eau de la douche pour qu’elle soit bien chaude quand tu y rentres. Après ta douche qui a duré 45 minutes, c’est beaucoup pour toi, mais tu te sens trop bien sous les gouttes chaudes, tu t’essuies et vas dans ta chambre. Tu regardes si les affaires que tu veux mettre sont là et oui, aujourd’hui tu as du bol, elles sont là. Ta maman les a lavés.
Toi : MERCIIIII MAMAAAAAANNNNN !
Maman : DE RRIIIIIIEN, MAIS JE NE SUIS PAS ENCORE SOOOOUUUURDE !
Tu rigoles en regagnant la salle de bain.
Toi : maman, je vais chez Harry vers 18h30.
Maman : il s’est passé quoi hier ?
Toi : comment tu sais qu’il s’est passé quelque chose ?
Ta maman rentre dans la salle de bain après avoir monté les escaliers au fur et à mesure qu’elle parlait et que tu répondais.
Maman : il est passé hier. Il t’a laissé une lettre. Il était vraiment mal et en ne sachant pas ce qui s’est passé, il est désolé. Il t’aime et ça se ressent.
Toi : elle est où la lettre ?
Maman : sur ton lit.
Toi : d’accord, je la lierai après … mais tu ne l’as pas lu ?
Maman : juste le début … mais j’ai pleuré donc j’ai arrêté !
Toi : maman …
Maman : c’est bon, je ne le ferai plus ! Allez, je descends. Je te laisse te faire toute belle … même si tu l’es déjà !
Toi : merci maman !
Comme vêtements, tu as pris ton jeans préféré ; un jeans sexy, moulant, foncé ; un slim en fait. Tu commences à t’habiller, tu vas mettre un tee-shirt normal mais … il ne l’est pas pour toi. C’est un tee-shirt qu’Harry t’avait offert avec écrit dessus : je t’aime ! ♥. Tu mets des baskets Nike violettes et blanches pour aller avec ta veste qui est mauve aussi. Tu mets même des bretelles, c’est sexy sur un mec et sur une fille, ça fait stylé. Tu les laisses pendre évidemment. Après t’être habillée, tu mets juste du crayon en dessous de tes yeux et du far à paupières mauve. Ainsi, que un peu de gloss. Tu devras quand même te remaquiller à la dernière minute. Il est déjà 15h30. Tu rentres enfin dans ta chambre pour lire cette fameuse lettre.
Lettre de Harry *je tiens à dire que je ne suis pas poète donc si c’est à chier, c’est normal*: Bébé, mon amour, mon cœur, [ton prénom]. Aujourd’hui, je ne sais pas comment t’appeler. Je t’aime et je sais que c’est réciproque. Je sais que tout est ma faute et que je suis extrêmement jaloux. Mais, ce n’est pas parce que je n’ai pas confiance en toi, c’est juste parce que je t’aime et que je ne veux pas te perdre. Mais je me rends compte que c’est tout le contraire. En étant jaloux, je te perds au fur et à mesure. Je suis même possessif. Je ne peux vivre sans toi car tu es mon rayon de soleil. Tu es magnifique jour et nuit. Le matin, le soir, pas rasé, pas maquillé, tu es tout simplement la fille que je cherchais. Je sais que je t’ai dit un mot qui ne t’as pas plu, ce que je comprends, mais je ne le pensais pas. JE T’AIME ! Dés, le matin, je pense à toi, je … je vis pour toi. En ne passant pas cette nuit avec toi comme c’était prévu, j’ai pu réfléchir au mal que je t’ai fait mais encore une fois je suis désolé. Laisse-moi une chance et je serai la saisir. Je ne sais pas où nous en sommes. Est-ce fini entre nous ? Faisons-nous un break ? Sommes-nous toujours ensemble ? Est-ce juste une dispute, une grosse dispute ? Je ne sais pas. Et j’espère que tu pourras m’éclairer. J’ai besoin de toi, j’ai besoin de te respirer, de te toucher, de … de te chérir, de t’aimer, de te faire l’amour parce que ... avec toi, je fais l’amour par amour ! Je t’aime. J’ai besoin de te montrer que je t’aime et je ferai n’importe quoi pour me faire pardonner. Je n’ai jamais vraiment fait de lettre aussi longue pour une fille, ce qui prouve encore une fois que tu es la femme de ma vie. Je sais. Tu n’aimes pas quand je te dis ça et la plupart du temps c’est plus ironique qu’autre chose mais là, je fini par le penser vraiment. Avant, je ne savais pas ce que voulais dire Aimer ou Être Amoureux ! Maintenant je le sais. Je suis amoureux de toi. Je ne veux pas te … te heurter en te disant ça mais si tu viendrais vivre avec moi, je serai un homme comblé. Je le suis déjà avec tout l’amour que tu me donnes, tu m’en donnes même de trop comparé à moi. J’ai l’impression de ne plus avoir le contrôle de la situation et maintenant, tout dépend de toi. Je t’aime ma choucroute. Ma chérie. Ma bombe sexuelle. Je t’aime. Avec toi, je veux tout. Enfants, mariage. TOUT ! PARCE QUE JE T’AIME ! Je tremble maintenant. Je suis faible sans toi et je ne peux affronter la réalité, sans toi. Si tu vois des traces sur la lettre c’est certainement mes larmes qui sont tombées en l’écrivant. Oui. Pour une fois je pleure, je sais aussi que tu l’as fait. Et encore une fois, j’en suis désolé. Non seulement, je suis désolé pour cette dispute mais aussi pour tout le reste. Pour avoir fouillé ton téléphone, pour ne pas te faire confiance comme je le devrais, pour … pour tout ! Je sais que tu penses que je suis difficile à vivre. Pour moi, je suis juste amoureux. Je te décrocherai le ciel, j’irai me brûler les ailes prêt du soleil, je t’offrirai la planète entière pour toi seul, si il faut que je te récupère. Je t’aime. Ensemble, je sais que nous sommes forts et que malgré tout ce qui a pu se passer, on est complice. Pour moi, tu es la fille parfaite ; belle, intelligente, réfléchie, charmante, timide, impressionnante … il y en a de trop pour te qualifier et pour te dire combien tu es la fille parfaite. Cette fille qui compte le plus à mes yeux. Je n’aurai jamais pensé dire cela un jour à une fille en le pensant mais s’il te plaît PARDONNE-MOI ! JE T’AIME ! Tes délires, tes baisers, tes sentiments que tu n’extériorisais pas tout le temps, toi. Tu me manques. A peine un jour passé sans toi et tu me manques ! Encore une fois, je ne peux vivre sans toi, tu es mon oxygène, ma kryptonite. Je t’aime. J’espère que tu liras tout et si maintenant, tu pleures alors viens. Je t’attends et je t’attendrai toujours si c’est vraiment la fin entre nous. Mais, pour moi, il ne peut pas y avoir de fin. Non. C’est impossible, nous n’avons pas encore vécu assez pour moi. Je t’aime. C’est toujours plus facile d’exprimer ses sentiments en écrit et j’en suis sûr aujourd’hui. Tu as su me faire monter aux cieux de toutes les manières qu’ils soient. Mes fans t’acceptent et je suis heureux aussi pour cela. J’espère qu’elles voyent en toi la femme que j’aimerai chérir et câliner tout au long de ma vie. Pour revenir à cette incident avec Caroline, elle m’a payé pour. Je ne pourrais te montrer les preuves à part que cette argent a servi à te payer ce tee-shirt. Je sais que cette histoire qui peut paraître vraiment improbable pour toi mais je te le jure que c’est vrai. Je comprends vite sais-tu. J’apprends vite aussi. Et je comprends que je te perds et j’ai appris que tu étais chère à mes yeux. Je te vois comme une pierre précieuse ; un saphir ou un rubis. Ou les deux mélangés. Je t’aime ma belle, s’il te plaît fais-moi signe parce que je ne survivrai pas longtemps sans toi. J’ai l’impression qu’on est ensemble depuis des années et années et que je te connais depuis que je suis enfant. Les garçons essayent de me réconforter, de me remonter le moral mais ce qui me le remonterai serait un baiser de toi, une caresse sur la joue, un geste d’attention. N’importe quoi, du moment que ça vient de toi. Je ne peux vivre sans toi, j’ai besoin de toi ! JE T’AIME ! Je ne te le dirai jamais assez. En espérant te revoir, aujourd’hui. Te toucher, te parler. Je t’aime ! Dans mon lit, désespéré, je suis comme un vieux qui attend que son dernier souffle s’estompe parce qu’il manque d’oxygène … loin de sa femme partie depuis 1 jour. Je sais que je suis fait pour toi et le contraire aussi. Je ne suis pas poète mais je parle juste avec mon cœur. Il bat pour toi. Je t’aime. Te amo. I love you. Ik houd van jouw ! En toutes les langues je le dirai pour que tu le comprennes. En toutes les intonations je te le crierai pour que tu le comprennes. En toute simplicité, je t’embrasserai. Quand je t’embrasse, j’ai la sensation qu’on se parle. Rien qu’en se regardant, on se comprend, pas besoin de dire que l’on s’aime parce qu’on sait qu’on s’aime. Mais je me sens mal et je comprends que je t’ai fait du mal. Je t’aime. Ton bouclé favori. Ton homme. Ton amant. Ton mari. Je serai ce que tu veux pour toi. Je t’aime.
#fin de la lettre.
Tu es en pleure. Ta maman remonte pour faire aller la machine à laver.
En passant, elle te dit : Vas-y ! Il t’aime. Et ce n’est pas pour dire mais ton maquillage coule !
Tu souris en ayant une larme qui tombe sur la joue. Tu repenses à tout ce qu’il a dit. Au nombre de «je t’aime» qu’il a écrit. Tu penses aussi à cette bague que tu as laissée dans ta trousse à bijoux. Tu l’as mets. Elle est en or. Vos initiales sont inscrites dessus. Il ne t’a jamais fait une aussi belle déclaration. Et comme il dit c’est toujours plus facile de le dire par écrit. Le temps que tu as pris pour lire la lettre est énorme ; 30 minutes. Entre larmes, sourires et froncement de sourcils. Tu relisais quelques phrases. Tu essayais de te ressaisir mais rien n’y faisait, ces mots sont magnifiques. Bon. Il est 16h et à 18h30, tu vas chez lui. D’un coup, ton téléphone vibre dans ta poche. Un message de Harry. Quel hasard [ard ard «Kev’ Adams»].
Message d’Harry : ma chérie, vient le plus tôt possible. Je ne peux vivre sans toi. S’il te plaît, vient dès que tu vois ce message.
Tu ne lui réponds pas mais va dans la salle de bain te remaquiller ; crayon, gloss et fard à paupières. Ensuite, tu descends en triple vitesse pour prendre ton sac à main. Tu mets ta veste mauve stylé et tu sors rejoindre ton Harry chez lui.
Pendant le trajet, tu te demandes comment ça va se passer. Comme hier. Tu es plutôt indécise et tu l’as toujours été. Naïve aussi, quelques fois. Harry n’arrêtait pas de te le répéter ; «ne fais pas confiance à n’importe qui et trie tes amis» et c’est lui qui dit ça. Le fait d’être amoureuse peut détruire une vie. Peut aussi la rendre heureuse ou peut faire tout le contraire. Mais dans ce cas, avec Harry, tu es heureuse. Tellement heureuse que tu te demandes ce que tu ferais sans lui. Toi qui ne voulait pas dépendre de quelqu’un … c’est raté ! Tu as vraiment l’impression d’être marié avec. Tu dors presque tous les week-end chez lui, vous faites l’amour ensemble le plus souvent possible, il te rend heureuse comme jamais, vous vous aimez. Comme a dit Chace : personne ne peut changer ça. Un petit sourire du coin des lèvres quand tu repenses à Chace. Ton meilleur ami depuis l’enfance et vous vous parlez toujours. Aucune dispute ne s’est éclaté entre vous. Vous êtes comme deux âmes sœurs ! Tu arrives enfin chez Harry après 10 minutes de trajet. D’habitude, tu mets moins longtemps parce que tu as envie de le voir mais là … tu as plus peur qu’autre chose, tu en trembles. Tu toques chez lui. Personne ne répond. Tu entres de toi-même dans le salon. Personne. Tu vas voir en haut. Personne. Et c’est là que tu le trouves dans le jardin.
Toi : salut.
Harry : bébé !
Il se lève de toute vitesse pour venir t’embrasser mais tu le repousses. Même si tu en as envie.
Toi : je ne suis pas venue pour ça mais pour parler Harry et tu le sais très bien.
Harry se remet sur la balançoire, toi tu t’assieds sur une chaise de jardin. Le soleil brille, les oiseaux chantent. Le printemps qui dit bonjour à l’été.
Tu soupires, Harry ne parle pas. Tu avais imaginé que la scène se serait déroulée autrement.
Toi : Harry …
Harry se lève, les larmes aux yeux : je suis tellement désolé.
Il se met à genoux devant toi.
Toi : Harry …
Harry : tu me manques ! Je t’aime et je en veux pas te perdre ! Je ne savais pas que j’étais aussi dégueulasse avec toi et je m’en veux. Ce serait tellement dommage de ne pas me laisser une seconde chance. On a tous les droit à une seconde chance. Comme je l’ai dit dans ma lettre, je ne peux vivre sans toi ! Tu es ma bouffée d’air au quotidien ! Je t’aime et …
Toi : STOP !
Harry a les yeux remplis de larmes. C’est trop touchant. Et juste après c’est toi qui te mets à pleurer.
Toi : Harry … tu as été trop loin et j’ai l’impression que si je te pardonne trop rapidement cela… je vais me faire passer pour une fille facile. Ce que je ne veux pas. Tu me manques aussi mais hier, je ne t’ai pas reconnu. Tu n’étais pas le Harry attendrissant, chaleureux, marrant, insouciant … le Harry que je connais depuis quelques mois. Je t’aime aussi. Mais …
Harry : qu’est-ce qui t’empêche de … de ne pas me pardonner ?
Toi : les mots.
Harry : mais je suis désolé pour ces mots, je ne les pensais pas et tu le sais très bien.
Toi : mais tu m’as trompé Harry.
Harry : …
Il pleure 2 fois plus, s’accrochant à tes jambes. Posant sa tête sur celles-ci. Ça te fait mal au cœur. Tu finis par lui caresser les cheveux, ce qui le calme un peu.
Harry : je t’aime.
Toi : ce ne sont que des mots ça !
Harry : mais il faut que je fasse quoi pour te montrer que je t’aime ?
Toi : je ne sais pas. Je ne sais plus.
Harry se relève.
Il te prend les mains et te regarde dans les yeux : je t’aime, bébé !
Il rapproche sa tête de la tienne et vous vous embrassez. Pas la peine de dire que tu en crevais d’envie alors, tu te déchaînes. Flirt. Bisou. Flirt. Bisou. Baiser. Flirt. Tout y passe.
Harry : et si pour me faire pardonner je te faisais du bien ?
Tu lui souris et t’accroche à lui. Il te transporte jusqu’en haut. En arrivant là, il te dépose sur le lit et se met sur toi, sans t’écraser évidemment. Vous vous embrassez. Plus l’embrassade dure plus les 24 cm de Harry se font sentir. Elle grossit de plus en plus, même Hulk n’en a pas une pareille. Il t’embrasse dans le cou te faisant gémir peu à peu. Il te retire ta veste délicatement, que tu n’as pas enlevée depuis que tu es arrivé, trop crispée. Ton tee-shirt se soulève grâce à ses mains qui te font frissonner. Il se retire assez rapidement. Tu te retournes sur Harry et fait identiquement la même chose mais plus bestialement. Son tee-shirt s’est retiré beaucoup plus vite que le tien, quand tu es en feu, rien ne peut t’arrêter ! Tu lui déboutonnes son pantalon et lui enlèves en triple vitesse.
Toi : prêt ?
Harry te regarde comme pour te dire «prêt pourquoi ?». La dispute est comme oubliée au moment où vous faites l’amour. Vous vous êtes toujours réconciliés comme ça mais il faut bien avouer qu’une dispute pareille, vous n’en aviez jamais eu. Le fait qu’il te traite de ce que tu n’es pas, c’est ça qui t’a fait le plus mal. Mais en ce moment, c’est oublié. En vous chauffant mutuellement, on dirait que des décharges électriques s’échangent entre vous. C’est comme si c’était la première fois que vous le faisiez ensemble, c’est une sensation bizarre. En le bisoutant tout le corps, tu finis par descendre à son boxer. Tu lui enlèves délicatement mais sensuellement, ça l’excite toujours. Et tu commences à le sucer. Le fait de mettre ta salive sur son jouet, c’est comme si ça servait de vaseline pour mieux que ça glisse. Elle est grosse, très grosse. Même pendant l’acte, il t’a toujours respecté. A part hier, où il t’a carrément blessé.
Dans ta tête : mais, je pense à la dispute alors que c’est censé être oublié ? Oublie ça juste pour ce soir.
Ce que tu aimes bien quand tu lui fais une fellation c’est qu’il t’excite en te tirant les cheveux et en «t’obligeant» à continuer. Tu essayes de faire le plus de fonds de gorges que possible à la fois parce que c’est la chose qui fait le plus de bien, en entendant ses gémissements. Dans le sexe, pour ton mec, tu ferais n’importe quoi pour lui faire du bien, comme il t’en fait au quotidien. Tu lui fais aussi des petits ronds sur le bout de son jouet, ce qui s’appelle le gland en d’autres termes. 10minutes à peine, bien trop tôt que d’habitude et il éjacule. Tout le sperme coule sur son tuyau que tu décides par avaler. C’est dégueulasse. Salé, blanc et dégueulasse. À la limite, il vaut mieux penser que si ça va dans ta bouche, tu ne risques pas d’être enceinte. À ce moment, tu compris que ça lui faisait du bien. Il te tirait les cheveux de plus en plus, criait de plus en plus fort et c’est à peine si il n’allait pas faire un seau de 10litres de sperme.
Toi retirant son jouet de ta bouche : et maintenant ?
Harry toujours sous le choc du plaisir : euh … je … c’est parti !
Il te retourne à son tour pas besoin de dire qu’il t’arrache ton soutien-gorge après avoir enlevé tes baskets et ton jeans durement, il est plus déterminé que jamais ! Et là, il t’écarte tes jambes et te fait du bien avec son doigt et sa langue. Son doigt se trouve dans ton vagin et sa langue bouge ton clitoris. Ce qui te fait gémir.
Toi : mmmmmmmhhh …
En allant de plus en plus vite avec son doigt, tu as l’impression que tu vas arracher les draps de son lit parce que tu t’accroches à ceux-ci. Tu ne peux t’empêcher de crier de nouveau, c’est juste les préliminaires et il te rend déjà dingue !
Toi : oooooooooooooohhhhhhhhhhh … HHHaaaaaaaaaarrrrrrrrrrryyyyyyyyy !!!
Harry arrête pour te regarder et puis il te lance : faut pas demander quand on sera à l’acte principal ! N’est-ce pas chérie !
Toi en plein dedans : ta gueule et continue !
Il s’exécute comme un esclave [mouhaha]. Tu veux pour te relever mais Harry te repousse pour te recoucher. Et il continue ce qu’il était en train de faire. Bizarrement, il ne te le fait pas souvent mais tu ne lui refuses jamais. Encore quelques minutes et puis l’action commence vraiment. Il retire son doigt et sa langue de ta fleur *ptdr* et puis, il t’écarte encore mieux les jambes pour t’enfoncer son tuyau. Ses aller et vient vont de plus en plus vite. De plus, il te tient les jambes pour aller justement plus vite. Toujours avec ses draps, tu te défis de faire le moins de bruit possible. Du coup, tu essayes de t’étouffer avec mais les cris sortent quand même.
Toi : aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUUUUUUUiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!! CCCConTTTTinuuuuuEEEE !
Harry : je ne comptais pas m’arrêter.
Tu te relèves et lui dit : tu es obligé de faire toujours des réflexions ?
Harry se sent comme un enfant qui a fait mal. Trop marrant. Et il continue en ne disant rien. D’un coup, tu la retires de ton corps.
Harry : bah … tu fais quoi ?
Toi qui sors de la chambre nue : tu verras.
Tu descends prendre quelque chose, allez savoir quoi. Harry se demande qu’est-ce qui pourrait te faire descendre en bas pendant l’acte. Quand tu rentres dans la chambre il est couché sur le lit. La position banale quand tu es sur le lit, comme si tu voulais dormir.
Toi : étant donné que j’ai un petit creux, j’ai pris de la glace.
Harry qui stresse déjà : hein ?
Toi : tu sais très bien que je t’aime.
Tu le regardes d’un air coquin et montes sur lui avec le pot de glace à la fraise, au chocolat et à la vanille. Tu as quand même pris une cuillère. Pour le faire un peu bleffer tu mets de la glace chocolat sur ton doigt et le lèches ensuite.
Toi : t’en veux ?
Harry : ça dépend où t’en mets !
Toi : c’est toi qui va le décider ça !
Tu lui tends le pot de glace et te mets à sa place. Lui se lève. En fait, vous avez échangé les rôles. Tu es mise horizontalement. Calme. Mais plus pour longtemps parce qu’il te met de la glace vanille sur ton sein gauche qu’il lèche ensuite. Il t’enduit de crème glacée des 3 goûts de tout ton corps. Qu’il lèche ensuite. C’est toi qui avais faim et c’est lui qui mange. Quand il finit par enfin t’embrasser, il sent la fraise. Que c’est chou. Maintenant, c’est le temps pour ne plus rigoler, Harry te demande un truc qui te laisse perplexe !
Harry : je ne sais pas si tu voudras mais … juste pour essayer, est-ce que … par derrière ?
Toi bouche bée : euh … Harry … ce … ça doit faire mal !
Harry : tant que tu ne l’as pas fait, tu ne serais pas le dire.
Toi : un point pour toi. Mais … il faut préparé tout ça et … c’est bon j’me tais mais si tu me fais trop mal, je te jure qu’à la prochaine fellation, je te la mord à sang. Compris ?
Harry : euh … oui … oui !
Tu te retournes et t’accroches aux barreaux du lit. Pendant que lui, l’enfonce dans ce qui te sert aux toilettes.
Toi : aïe aïe aïe ! ça déchiiiiiiiree ! AAAAAAAAOOOOOOUUUUUUUWWWW !
Tu te retournes : tu ne veux quand même pas me déchirer l’anus pendant que tu y es ?
Harry : je suis désolé …
Toi : bon … si ça fait vraiment trop mal, on arrête.
Harry : d’accord.
Toi : c’est bien parce que je t’aime et que les mecs ont plus de bien de ce trou là sinon …
Harry ne dit plus rien et revient à ses moutons. Il te la renfonce. Ça te fait moins mal mais tu as l’impression que tu vas devoir aller chier après. Soit, il le fait pendant 15 minutes, mais étant donné que ça te fait trop mal, tu demandes d’arrêter. Il accepte volontiers. Encore heureux ! Mais vous ne changez pas de position pour autant, parce qu’il t’enfonce sa chose par devant mais par derrière, c’est dans ton vagin. La position là fait plus que du bien mais tu aimes voir Harry pendant l’acte, pouvoir l’embrasser, pouvoir le caresser en bref, pouvoir l’exciter en plus de ce qu’il ne l’est déjà. En plus avec tes cris aigus comme un sifflet. Un peu plus grave quand même qu’un sifflet. Il te l’avait déjà dit que tes jouissements l’excitaient. Ce qui fait que plus tu gueules, plus il va vite, plus il va vite, plus tu gueules. 40 minutes après, c’est l’orgasme. Tu gueules comme une forcenée.
Toi : OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! VVVVVVVVVVAAAAAAAAAASSSSSSSSSSS YYYYYYYYY ! CCCCCCOOOOOOONNNNTTTTIIIIIIIIIINNNNNNUUUUUEEEEE !
Harry : MMMMMMMMMMMMMMMMMM !!!!!!! OOOOOOUUUUUUUUUIIIIIIIIII !
Il est beaucoup plus calme que toi quand il jouît mais il gueule aussi. Et vous vous écroulez ! Le moment-là, cela fait longtemps que tu l’attendais. Le faire vraiment longtemps et par amour pour un mec. Vous vous êtes fait du bien tout en vous faisant du mal. Pendant que tu somnolais, il te mis la couette sur toi. Pourtant, pour les autres disputes, tu n’as jamais été aussi tourmentée. Fille facile, tu l’es. Il t’embrasse et tu t’emballes comme une allumette qui se frotte à sa boîte. Oui. Tu es en feu. Tu l’aimes ton Harry mais … tu lui pardonnes mais n’oublie pas. Lui, dort de suite mais toi, tu as justement attendu qu’il dormait pour descendre avec une de ses chemises pour ne pas avoir trop froid. Tu te mets dans le divan et tu penses et repenses à la dispute. Tu penses aussi à te préparer un thé que tu fais de suite. À la pomme, c’est ton thé préféré. Le même que Harry. Mais qui aurait cru que tu aurais été en couple avec une star. Tu aurais su comment ça se serait passé, tu aurais refusé de lui parler. Mais il était si charmant habillé en rose et blanc, si élégant avec ses boucles qui charment toutes les filles. Il t’a attiré vers lui et un beau soir où tu dormais chez lui, vous vous êtes embrassé et vous avez couchés ensemble. C’était bon. C’était ta première fois mais tu ne lui avais pas dit. C’est seulement le lendemain que tu lui as dit mais il t’a répondu qu’il le savait ; que tu étais trop crispée et pour cause, il n’y avait pas de quoi étant donné que faire l’amour est la chose qui fait le plus de bien au monde. Pour toi. En buvant ton thé brulant, tu t’es brulé la langue forcément, mais peu importe. Tu vas dans ton sac et regarde ton téléphone. Chace t’a envoyé un message.
Message de Chace : soit forte ma belle ! Tu sais que je serai toujours là pour toi et j’en suis sûr que ce qu’il disait était faux des deux côtés.
Pas totalement. Dans le plus profond de toi-même, tu sais que l’aimes bien plus qu’un meilleur ami et c’est réciproque. Mais vous n’êtes jamais allés plus loin peur de briser l’amitié entre vous. Soit. Tu penses à Chace alors que tu es chez Harry ; ton copain. Tu sais très bien que … dans 1 semaine vous n’en parlerez plus mais tu sais aussi que dans une semaine, dans un mois ou même dans un an, pour toi la dispute sera toujours là. Et pour cause, Harry descend.
Il te voit assise seule dans la salle à manger, sur une chaise.
Harry : eh ! Je ne t’ai pas sentie dans le lit, ça ne va pas ?
Toi : oh si si !
Harry en passant à côté de toi et en te donnant un bisou sur le front : c’était parfait !
Tu souris mais ne dit mots.
Toi : et si tout cela n’était qu’un rêve ?
Harry : de quoi ?
Toi : je veux dire … toi et moi !
Harry ricane : pourquoi ça le serait ?
Toi : je sais qu’un jour où l’autre, tu vas tomber amoureux d’une de tes fans. Tu l’as dit dans une interview, il n’y a pas longtemps. Et …
Il t’interrompt : et toi, tu es quoi ? On s’est rencontré au magasin, tu me regardais de tes yeux qui brillaient de mille feux ! On s’est échangé nos numéros et tout s’est fait naturellement. Bébé, je ne regrette pas de t’avoir connue et je suis content de voir que mes fans acceptent enfin une de mes copines. Tu sais très bien que le couple parfait n’existe pas, tu l’as même dit par toi-même. Un couple sans disputes, sans fissures n’est pas un couple. Pour moi, un couple est deux êtres qui se comprennent, qui échange leur point de vue et qui se font du bien au quotidien et je ne parle pas de sexe là. Ce n’est pas vraiment marrant d’avoir toujours le même point de vue que toi, même si on ne l’a quasi jamais. Je t’aime. Et j’aimerai faire ma vie avec toi sans que tu repenses sans cesse aux disputes qu’on a pu avoir. Je sais que … que tu y repenses. Sinon, tu ne serais pas ici, seule, en train de boire un thé. Tu serais avec moi, dans mes bras, en train de dormir, si tu n’y pensais plus. Je t’aime. Je voulais juste te le dire. Tu comptes beaucoup à mes yeux et rien que le fait que ce soit fini entre nous me fait avoir les larmes aux yeux ! Regarde ! Sur ce, je te laisse, je vais me recoucher.
Il te fait un autre bisou sur le front en remontant et te dit encore une fois je t’aime. Nostalgie quand tu nous tiens. Tu sais qu’il ne faut plus que tu y penses mais c’est plus fort que toi. Les mots te reviennent et tu pleures avec un thé brûlant à la main qui fume sur ton visage. Pourquoi ? Mais ensuite, tu repenses aux délires que vous avez eus ensemble. Aux courses qui tournent en séance de photos avec des fans à lui. Au compliment qu’on te rétorque souvent : je suis contente qu’Harry soit avec une fan qui laisse à désirer. Belle, intelligente et marrante. Les 3 qualités qu’une vraie Directioner doit avoir. Tu plais beaucoup à Harry … et à nous aussi.
C’est ce que t’avais dit une de ses fans. Tu avais les larmes aux yeux. Après t’être remémorée cela, tu remontes laissant ton thé fumer. Ton retourne prés de ton Harry. En sentant que tu étais dans le lit, il se retourne et te prend dans ses bras. Et il te dit à l’oreille : je t’aime bébé ! Ne l’oublie jamais.
Mais, tes larmes à peine séchées refont surface. Pourquoi ? Parce que en répondant à Chace que tu t’étais remise avec Harry et que vous aviez fait ;
Chace t’a répondu : moi qui pensait que tu m’aimais. Je voulais te proposer de venir vivre avec moi aux Etats-Unis mais je suppose que tu as mieux à faire en Angleterre ! Alors, oublie-moi. Mon nom, mon numéro, nos délires, nos baisers. Je t’aime. A jamais joli cœur ! Je t’aime et je te haïs en même temps. Au revoir.
C’est là que tu te recroquevilles tel un fœtus et que tu déprimes. Que vas-tu faire sans Chace ? Quand Harry et toi, vous vous disputeriez encore ? Qui va être là pour toi ? Personne. Qui va te rediriger vers le bon chemin quand tu en auras besoin ? Qui fera le fou avec toi au magasin quand Harry n’irait pas ou ne pourrait pas venir avec toi ? Personne ne peut remplacer Chace. Personne. C’était ton meilleur ami. C’ÉTAIT. Tu pleures. Harry, lui, ronfle. Sympa pour une vie de couple. Tu n’avais que Chace pour te confier et là, tu n’as plus personne. Tu te retrouves seule. Tel est la fin de l’histoire. Mais qui aimes-tu vraiment ? Chace ou Harry ? Harry ou Chace ? Tel est la question.
FIN !


DE ONE DIRECTION IMAGINES(FRENCH) = MOI.

Imagines longs en tout genre.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant