09/saison du soleil/2020 (maredies)

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L'Aube commençais tout juste, Variis n'étais pas encore bercé par les doux rayons du soleil matinal à cause de la grand falaise de l'est. Dans la forêt et dans la capital de Variis il y faisait encore si sombre. Mais comme nous sommes  à la saison du soleil il ne fallu que peu de temps avant que cela change ! La forêt et la clairière fut illuminé en un rien de temps. Chacun entreprit ses activités matinales, et certaine sont pour le moins particulière...

"- Pourquoi me gronde-tu dès le matin ?! Grommela Edgard le palarticho qui buvait son thé       

- Car comme tout les helodies et lunadies tu disparait magiquement le soir et tu es injoignable ! Se plaignait Isabelle la majaspic mère adoptif de Florent.

- C'est le travail !

- Pff toujours cette même excuse. Tu es courant que je sais où me renseigné ? Ce n'est pas parce que je suis ta femme et mère aux foyers  que tu peux me prendre pour une idiote ! 

- Et de quoi tu m'accuse au juste ?!

- Ai-je réellement besoin de l'expliquer ? C'est un tel classique que un livre sur deux que je lis en parle !  

- Eh bien si tel étais le cas tu ne serais plus la seule à avoir de mauvaise fréquentation ! Conclut Edgard tandis que sa femme s'offusquait.

- Bonjour père, bonjour mère ! Salua le brindibou avec enthousiasme, feignant de n'avoir rien entendue 

-Bonjour !
-Bonjour mon chéri ! Dirent les deux parents sur leurs ton de dispute."

Florent qui sortait à peine de son lit car bercé par les douces disputes matinale de ses parents, se dirigea vers la table de la cuisine pour prendre son petit déjeuné. Edgard qui buvait le reste de son thé le toisait d'un air dégouté.

"- Tu sais quoi chérie ? Je me pardonne. J'ai oublié que tu n'étais pas la seul à avoir des relations peu fréquentable ! Florent brisa la biscotte qu'il avait à la main.

- Père ! Malgré tout le respect que je vous doit, je ne peux pas vous laissez dire du mal de mes amis !

- Impertinent ! Cria de rage le palarticho qui baffa son fils adoptif le faisant tombé de sa chaise  

- Edgard ! Cria à son tour la majaspic cette fois de peur.

- Quelqu'un de ton rang ne devrais pas s'abaisser à côtoyer des paysans, notamment cette clanique ! Je ne veux plus que tu les vois !

- Père ! Moi et cette clanique que vous méprisez, sommes amis depuis plus longtemps que vous n'exercer votre autorité sur moi. Et de toute façons même si je voulais me séparer d'eux, ils restent mes collègues et mes frères d'arme ! Argumenta Florent avant de se prendre un autre coup par son père.

-Edgard tu vas trop loin ! 

- Cela vaut pour toi aussi, femme ! Répliqua t'il en la frappant de son épée. Elle tomba à la renverse faisant tomber un cadre photo sur son corps serpentiforme.

- Tu... Tu n'est qu'un monstre !

- Tu devrais t'estimer heureuse ! Heureuse que ma famille t'es prit en pitié et qu'ils m'est forcé à t'épouser ! Sur ses mot le palarticho quitta la maison, Florent lui retourna dans sa chambre."   

 Le brindibou étais assis sur son lit malheureux. Il toucha les blessure infligé pour tester la douleur, il grimaça. Des flash de son cauchemars et de souvenirs douloureux refirent surface. Il se leva, prit son coffre portatif, s'assit sur son bureau un peu bordélique, se saisit de son petit mortier et de son pilon, et pris de son gros coffre quelque feuilles et une baie sitrus. Il l'éplucha et il pressa de toute ses force la baie de ses serres pour en extirper tout le jus. Il mit un peu d'eau  dans son mortier et y mit les feuilles. Florent commença à pilonner, pilonner de plus en plus fort. Les instants de plutôt en tête mélanger a de mauvais souvenirs et de son cauchemars le font pilonner de frustration. "Te pardonner ? Jamais !" Il continua jusqu'à ce qu'il obtienne un liquide verdâtre, qu'il mélangea au jus de baie sitrus avec la même ardeur que son pilonnage. Le brindibou mit le tout  dans une bouteille à spray avant de s'allonger sur son lit pour reposer ses mains. " Toujours pareil... Rien a changer !" De ses yeux énervé il fixa le plafond marmonnant des petite phrase les larmes aux yeux. " Je te hais !".    

Le journal d'un moustillonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant