"On se reverra" Tome 1 (Shanksxoc)

Chapitre 35

Les problèmes

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Kuroi

Otohime me tend la main avec un grand sourire vers le grand lit où est assis le roi Neptune. Je mets mes mains dans mes poches en regardant un peu autour de moi.
- Quel genre de mission ?
- En vérité, c'est plutôt simple, nous devons récupérer une copie du road ponéglyphe garder ici.
- Ce road ponéglyphe a été voler chez les hommes poissons, il appartient à notre peuple. Les dragons célestes l'ont volé un jour où nous étions absents. En tant que reine des hommes poissons et je pense que mon mari est d'accord avec moi- je ne vois aucun problème à ce que tu le copies je suis sur que vous en ferez bon usage.
Un sourire se dessine sur mes lèvres alors que je croise son regard bleu azur plein de confiance.
- Je pensais que vous alliez vous opposer à cette mission.
Je m'incline en passant ma main dans mes cheveux.
- Je vous remercie.
Un léger sourire se dessine sur mon visage quand je me rends compte qu'elle est incapable comme femme, je l'adore et j'espère être aussi respectable quand je serais une adulte.
- Tu fais partie de l'équipage de Roger ! Et je connais cet homme, un homme bien, un peu turbulent, mais un homme bien un grand homme même ! Je suppose que c'est très important comme mission moi non plus je ne m'opposerais pas à ce que tu copies ce ponéglyphe.
Je suis contente d'avoir des alliés, nous sommes en terrain ennemi donc sentir une présence et un soutien est très agréable... Un soutien ? Le baiser avec Shanks me passe dans la tête me faisant fuir de regard des hommes poissons. Je n'arrive pas à croire qu'on se soit embrassé. Comment j'ai pu laisser ça arriver ? Je ne sais pas si c'est moi qui l'ai embrassé ou si c'est lui, et s'il m'en voulait ? Mais d'un autre côté, je me suis sentie tellement bien durant le temps où on était collé l'un à l'autre. Mais peut-être que lui n'a pas apprécié ce moment... Et qu'il ne veut plus jamais me revoir.
- Kuroi, ton père, ne t'a pas reconnu.
Mes pensées dérivent à présent sur mon père qui ne veut également plus jamais me revoir. Je hoche la tête négativement gardant un sourire sur le visage même si je n'en ai pas tellement envie. Je me fiche complètement de mon père, c'est Shanks qui me serre le cœur.
- Non, et pour être complètement honnête, je m'en fiche. Je suis fatigué d'avoir autant essayé d'attirer son attention. Maintenant j'en ai marre... Alors ça ne me dérange pas qu'il ne me reconnaisse pas malgré mes cheveux et mit des lentilles.
Une main se pose dans mon dos, une main pleine d'affection et de compassion. Je n'aime pas ce moment, je ne veux pas de leur compassion, je ne veux pas être plainte.
- Je comprends, cet homme n'est pas très observateur.
- J'aime beaucoup Garp, encore un grand homme, mais il est un peu idiot.
Un rire s'échappe de mes lèvres en regarde ce grand homme.
- Je m'en fiche. Tout ce que je veux, c'est faire la copie du ponéglyphe et retourner sur l'Oro Jackson.
- Ça va être compliqué.
- Oui, je suis parfaitement consciente des problèmes. Le principal est les nombreux Den Den Muchi dans les couloirs... Mais également les gardes armées, sans oublier les dragons célestes ou tout simplement Garp. Je n'ai pas énormément de chance de réussite.
Elle met sa main sur son menton en semblant réfléchir à des stratégies.
- Le seul moyen de ne pas être vue par les Den Den Muchi, c'est de passer par l'extérieur, mais il faut être assez haut pour ne pas être repéré par les autres Den Den Muchi présents dans les rues.
Je souffle en mettant mes mains dans mes poches. Normalement je trouve assez rapidement des stratégies, mais je n'arrive pas à réfléchir, je suis trop fatigué. Je devrais peut-être retourner dans ma chambre et réfléchir à une stratégie. Demain, c'est le dernier jour. La dernière chance. Je prends une grande inspiration avant de me lever du lit des deux hommes poissons.
- Je vous suis très reconnaissante de ne pas m'avoir dénoncé à mon père tout à l'heure. J'espère sincèrement que vous n'aurez pas de problème à cause de moi.
- C'est plutôt à nous de dire ça très chère, nous te souhaitons bonne chance.
Je lui fais un sourire avant de me rapprocher de la fenêtre. Un dernier signe de la main et je sors les laissant tous les deux dans leur chambre. Je me retrouve pour la deuxième fois de la journée pendue à plusieurs mètres du sol. Mes yeux se posent sur le toit di bâtiment qui pourrait m'offrir la plus belle vue de ma vie, mais il pourrait également être la dernière chose que je vois de ma vie.
Je plie les genoux sur le rebord et me propulse avec force pour attraper le relief juste au-dessus, je suis donc monté d'un étage. Mes mains tremblent légèrement sous l'effort alors que je porte tout mon poids uniquement avec mes doigts.
- Mais pourquoi j'ai toujours des idées à la con moi ?
Je me tire une nouvelle fois pour monter d'un autre étage sentant mes muscles hurler sous l'effort. J'esquive les fenêtres pour éviter d'être vu par les autres habitant, je tire de nombreuses fois sur mon corps ne sentent plus mes doigts quand je dépasse la hauteur des nuages. Plus je monte plus je sens que la mort est proche un seul faux pas un faux mouvement et je suis morte, un mouvement trop rapide m'envoie à la mort. Ou encore une trop grande transpiration sur les mains, et même résultat, un relief mal fixé ou qui se décolle, c'est la mort. Je dois être à bien 70 mètres du sol. Chute fatale.
- Aller, je dois voir s'il y a un passage.
Je me propulse une énième fois sauf que mon pied glisse sur une partie qui s'est révélé être un peu trop étroite pour me tenir. Mon cœur cesse de battre pendant une seconde avant que je me sent tomber en arrière, tout mon corps est pris d'un grand frisson. La mort. Mes mains agrippent mon sabre qui était pour une fois depuis plusieurs années dans mon dos, la seconde d'après j'ai mes réflexes qui prennent le dessus et me fais sortir mon sabre pour le planter violemment dans le mur, la lame s'enfonce dans le mur assez profondément pour que je puisse mettre mon poids dessus et qu'il me retient mon corps est pendu dans le vide. J'essaye de répondre mon souffle, mais l'adrénaline dans mes veines a fait rétrécir mes poumons. Mes mains tremblent sur mon sabre alors que je préviens enfin à prendre une grande inspiration.
Je me sers de lui comme d'une barre de traction utilisant mes abdos, mes épaules, pour m'agripper une nouvelle fois au mur. Quand j'attaque les reliefs, j'ai du mal à me tenir proprement ma respiration est saccadée et je tremble presque entièrement.
Je reprends mon sabre en prenant bien appui sur le mur. Je suis bien plus précautionneuse qu'il y a 5 secondes. Je le range dans mon dos le plus délicatement possible ne voulant pas être retrouvée demain matin en bouillie sur le sol.
- Ce n'est pas passé loin...
Je monte à un autre étage constatent que maintenant, je ne suis plus très loin du sommet. Je risque vraiment ma vie pour rien, mais ça me plaît d'être en danger permanent, sinon je n'aurais pas choisi la piraterie.
Je saute une fois de plus et arrive au sommet comme prévu, et forte heureusement il n'y a aucun Den Den Muchi. Mais en réalité ça ne m'aide pas, je suppose que les trésors sont cachés au sous-sol, qui mettrais un road Poneglyphe sur un toit ? Je soupire de fatigue et me laisse tomber au sol. Mon cœur semble avoir repris un rythme plus humain alors que la transpiration, elle n'est pas partie. J'ai chaud, je suis complètement exténué. Mes yeux sont fixés sur le ciel qui me montre un spectacle sublime. Le ciel est d'un bleu envoûtant alors que je reconnais toutes les constellations. D'habitude observer les étoiles le détend, mais je suis tellement stressé et sous pression que même mon passe-temps le plus agréable n'est pas capable de me calmer. C'est magnifique, j'ai envie de partager ce spectacle avec Shanks. Pourquoi je pense à lui ?
Je passe mes mains sur mon visage en rougissant comme un idiot. Se baiser... Comment je suis censé me le sortir de la tête ?
- J'arrive pas à croire qu'on se soit embrassé.
- Tu as embrassé qui toi ?!
Mon cœur rate un battement pour la énième fois de la journée alors que je le retourne en sursaut attrapant mon sabre pour le pointer sur la personne. Je m'arrête dans mon mouvement en constant sur c'est mon géniteur qui se trouve moi, mais aussi que je ne connais pas sa voix, je suis incapable de la reconnaître.
Il me regarde avec un sourire narquois sur le visage, habiller d'une chemise noire avec des papillons blancs, son pantalon est un short qui arrive au genou avec des motifs de violet de fleur. Il tient dans sa main un paquet de gâteaux, il a d'ailleurs des miettes de gâteau sur la barbe. Si je me rappelle bien, ce sont des donuts.
- V...Vous ? Excusez-moi monsieur le vice-amiral. Je vous ai pris pour un ennemi
Il rigole alors que je range Kuroyuki dans son fourreau qui est placé dans mon dos. Je me rassieds au sol tournant le dos à cette personne inintéressante. La présence à côté de moi me fait dire qu'il ne me trouve pas si inintéressante. Nous sommes que deux sur ce toit et que cette personne est une des personnes qui m'ont conçu.
- Que fais-tu ici ? Sur ce toit ? Et comment es-tu monté ?
- Je vous retourne la question.
Il n'a pas à savoir ce que je fais de mes nuits. Je ne le regarde pas, pour la simple et bonne raison que je n'ai pas envie. Les étoiles sont très belles, j'ai l'impression d'être au sommet de la montagne.
- Tu sais Tiana, j'ai une fille.
Je ne parle pas imaginant le visage de Shanks devant ce spectacle lumineux.
- D'accord.
- Elle te ressemble. Sauf qu'elle a les cheveux et les yeux noirs.
- Je vois le genre, la même couleur que vous-même si vous, ils sont un peu en train de devenir blanc.
Il rigole à ma remarque en mordant dans un de ses donuts.
- Kuroi, c'est son nom. Ça veut dire « noir » parce que sa mère avant de mourir a regardé le ciel qui était d'un noir intense, un noir aussi profond que ses yeux. C'est ma fierté cette gamine.
- Pourtant, ça ne t'est pas empêché de la détester et de l'abandonner.Il ne semble pas du tout surpris par les insinuations que je fais semblant même pris de remords.
- Tu sais bien que je ne te déteste pas.
- C'est pour ça que tu m'as confié à Sakasuki. Parce que tu m'aimes de tout ton cœur.
Je suis très sarcastique dans ce que je dis et ça s'entend. Je savais qu'il m'avait reconnu, mais tout à l'heure, il ne savait pas, c'est ma garde, c'est lui qui m'a appris à me mètre en garde, il m'a reconnu à cause de ça.
- Je savais qu'il m'avait reconnu, mais tout à l'heure, il ne savait pas, c'est ma garde, c'est lui qui m'a appris à me mètre en garde, il m'a reconnu à cause de ça. Mais maintenant je regrette mon comportement. Je t'aime, tu es ma fille chérie.
Un rire s'échappe de mes lèvres alors que je passe ma main dans mes cheveux.
- Tu ne m'aimes pas Garp, la seule personne que tu n'as jamais aimée, c'est maman et elle est morte. Depuis sa mort, tu as changé selon Dragon. Tu étais un bon père avant et après, tu as commencé à nous détester. Dragon est devenu un révolutionnaire et moi, je me suis retrouvé entre vous deux. Dans ce conflit permanent, mais apparemment, j'étais trop encombrante pour toi et pour t'as lutté contre l'autre révolutionnaire et Roger. Sans oublier cette histoire à God Valley, alors pour éviter d'avoir à m'éduquer, tu m'as donné à un connard qui n'a fait que me faire du mal sous prétexte que sa justice est absolue. La justice absolue n'existe pas.
Il tente une approche physique, mais je pousse sa main lui lançant un regard noir.
- Oui, j'ai changé après la mort de ta mère, mais qui ne change pas après la mort d'une personne proche. Je pensais que tu l'avais tué, j'étais certains qui si elle ne t'avait pas eu alors elle serait encore en vie. Mon cœur m'a dit de te détester. Mais quand tu es partie, j'ai appris tout ce que t'as fait subir Sakasuki. J'ai compris mon erreur, j'ai aussi compris que si elle était encore en vie ta mère m'aurais mis une dérouillée pour ça !
Il me prend la main de force avant de me tirer vers lui et de me prendre dans ses bras. Je ne cherche pas à résister sachant pertinemment que c'est un mauvais moment à passer.
- Je sais maintenant que tu es justement la dernière chose qu'il me reste d'elle. Toi et ton frère, même si lui et moi avons eu des gros différents par moments. Je vous aime, car vous êtes mes enfants chéris. La chaire de ma chaire, je vous aime et vous aimerez toujours. Si vous avez des enfants, je les aimerais autant que vous.
- Je ne t'aime pas. Et je ne te pardonnerai jamais tout ce que tu m'as fait subir.
- J'en suis conscient. Je sais parfaitement que tu ne me pardonneras pas de sitôt. Mais je sais que maintenant au moins tu sais. Et je sais aussi que tu considères Roger comme un père.
- Il a été plus un père pour moi que toi.
Il ricane légèrement en posant mon visage dans son torse.
- Je n'en doute pas, je n'ai vraiment pas été un bon père.
- Ça, tu peux le dire.
Je finis par le repousser pour me remettre à côté de lui, la nuit tombe doucement sur Maries Geoise, j'ai hâte de pouvoir voir les étoiles plus précisément. C'est déjà magnifique alors que le soleil n'est pas entièrement couché.
- Qu'est-ce que tu fais ici, Kuroi ?
- Parce que tu penses que je vais te le dire ?
- Le road ponéglyphe ? Tu es chargée de le copier, n'est-ce pas ?
Je souffle en regardant le soleil.
- Oui.
- Et tu cherches un moyen de passer sans être vue par les Den Den Muchi.
- Oui.
Je suis sortie de mes pensées par un violent coup sur ma tête qui me procure une douleur fulgurante.
- Aie ! Non mais ça ne va pas la tête ?!
- J'étais obligé, je suis un membre de la marine quand même.
Je le pousse en passant ma main sur ma bosse.
- Le couloir des dragons célestes, 10e étage. Aucun Den Den Muchi de surveillance. Ils ont droit à une vie privée eux, et ils ne veulent pas être surveillés, ils sont pudiques.
Je le regarde avec un léger sourire. Il est plus compréhensif que prévu, je ne pensais pas qu'il allait m'aider pour être honnête... Je m'attendais à ce que ce sois un ennemi.
- Et le ponéglyphe ?
Il continue de regarder l'horizon pendant que le noir enrobe lentement la cité.
- Je ne sais pas. Ils veulent garder les trucs dans un endroit secret sans importance.
Je vois bien qu'il ne me ment pas. Il essaye certainement de se rattraper, mais ce n'est pas comme ça que je vais lui pardonner, mes cicatrices sont la preuve de ma rancœur.
- Très bien.
Je n'ai pas envie de le remercier, il ne mérite pas ma gratitude.
- Kuroi. Je te conseille d'être très prudente quand tu partiras à la recherche du ponéglyphe. Les tréfonds de Marie Geoise sont pleins de mystère, il paraît que quelqu'un y vit, ou plutôt que l'autorité suprême y siège, je ne sais pas grand-chose dessus. Je te conseille de ne pas trop fourré ton nez dans les affaires du gouvernement mondiales.
Je me lève les mains dans les poches. La nuit est en train de tomber, je préfère garder un peu de lumière pour voir les reliefs des murs.
- Je serais prudente. Mais, dit moi Garp qu'est-ce que l'autorité suprême ?
- Oh, tu sais ce n'est qu'une légende, personne ne sait si cette personne existe réellement. Ce serait quelqu'un dont on ne connaît rien du tout. Tout ce qu'on sait, c'est que son pouvoir est immense.
- Son pouvoir ? Un fruit du démon ?
- Aucune idée, un fruit du démon où juste un pouvoir en matière de titre, je ne sais pas.
- Très bien. Je serais encore plus prudente que prévue dans ce cas-là.
Je me lève les mains dans les poches et commence à m'approcher du bord.
- Tu n'as pas répondu à ma question.
Je me tourne la tête vers lui, les sourcils froncés de quelle question est-ce qu'il parle ? Je ne me rappelle pas qu'il m'est posé une question.
- C'est-à-dire ?
- Tu as embrassé qui ?!
Mes joues virent aux rouges en 1 seconde. Je me retourne vers le vide avec de la gêne lisible sur mon visage. Je n'ai aucune envie de répondre et en plus, je ne veux pas qu'il me parle de Shanks ! C'est super-gênant.
- Per- personne ! Je ne suis pas du genre à embrasser des gens.
- Le petit mousse qui t'accompagne ? Je ne pensais pas qu'il te plaisait à ce point-là ?! Non mais sérieux ?! Shanks ?! Le petit de Roger !
Je me retourne vers lui et lui donne un coup de pied dans les abdos, il ne bouge pas d'un pouce en explosant de rire.
- Il ne me plaît pas ! C'est juste que... Je n'ai été emporté pas le feu de l'action.
- Ouais, c'est ça, je te crois ! Je n'aime pas le fait que ce pirate et toi soyez si proches !
- On n'est pas proche ! Et en plus, ce n'est pas ton problème.
- Tu es ma fille quand même !
- Et je suis une pirate.
- À mon plus grand regret.
- Tu n'avais qu'à mieux t'occuper de moi.
- Et je m'en excuse encore une fois.
Je souffle en passant ma main dans mes cheveux qui n'ont plus de boucles.
- Tu es mieux avec les cheveux noirs.
- Jure.
Je m'éloigne de lui les mains dans les poches m'asseoir sur le rebord pour quitter le toit.
- Kuroi.
Je tourne la tête vers lui qui me regarde soucieux.
- Shanks, ce gamin. Tu ne le connais pas réellement.
Je le fixe pendant de longues secondes attendant la suite de ses accusations.
- Il a un lien très proche avec Rocks.D. Xebec, tu as parler toi-même de God valley. Ce n'est pas normal de trouver un enfant dans un endort pareil sur l'épave d'un bateau rempli de tête aussi dangereuse. Il peut cacher un pouvoir ou une force incommensurablement, un futur pilier du monde la piraterie. Fait attention Kuroi, tout le monde te veut du mal.
Je tourne le visage vers le ciel avant de regarder le sol que j'aperçois à peine. Je glisse délicatement sur le mur m'accrochant au premier relief du mur, la lumière est tombée donc je ne vois pas grand-chose. Je passe devant le 10e étage, les fenêtres ont l'air blindées. J'active mon Haki de l'observation et vois qu'effectivement il n'y a aucun Den Den muchi accroché au mur, c'est l'étage parfait pour ne pas être repéré.
Les murs sont super épais donc aucun bruit, il n'y a pas de surveillance, par contre le nombre de gardes est hallucinant, mais ça se règle avec une déflagration de Haki royal, ils tomberont comme des mouches.
Un sourire se dessine sur mon visage alors que j'élabore un plan dans ma tête. Je continue de descendre en réfléchissent. Demain, c'est, le jour, décisif, le dernier jour, je dois aller dans les tréfonds de Maries Geoise, trouver le Ponéglyphe et passer par le dixième étage pour ensuite passer par une des fenêtres et rejoindre la chambre, ils ne seront pas que j'ai fait une copie. Il faut que je parle de mon plan à Shanks, mais je suis bien trop gêné ! Et s'il m'en voulait ?
« Tout le monde te veut du mal. »
Je secoue ma tête pour faire partie de cette phrase de ma tête. Il faut que je reste concentré sur mon objectif. Le ponéglyphe, mais d'un autre côté, il a raison. Shanks ne m'a jamais parlé de ses parents, mais j'ai déjà entendu Rayleigh dire qu'il n'en a pas ? Peut-être que l'un de ses parents était un acteur à god valley ? Peu importe, je me fiche de sa famille. Un futur pilier de la piraterie, n'est-ce pas ? J'ai hâte de voir ça mon roux chéri.

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Hey !! Voila pour ce chapitre ! Petite rencontre avec Garp qui avait finalement reconnu Kuroi, ont espères que tout va bien ce assertorique pour eux !

Enfin bref ! Merci d'avoir lu ce chapitre !! A plus ;)