Je suis Monkey. D. Kuroi, la fille de Garp le héros de la Marine, mon père voulait absolument que je devienne un petit soldat pourtant ça n'a jamais été dans mes plans, la marine n'est pas faite pour moi à mon plus grand malheur, je ne rentre dans a...
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Maintenant, que je suis débarrassé du brun, je vais pouvoir mettre mon plan à exécution. Je marche dans cette immense chambre et m'approche de la valise rouge foncé poser à même le sol. Je m'accroupis à côté de celle-ci fixant les nombreux vêtements de la fille aux cheveux blancs. Je prends dans ma main un soutien-gorge noir en dentelle qui ne semble pas laisser beaucoup de place à l'imagination. - Sacré bonnet. Elle me plaît bien cette petite. Je passe ma main dans mes cheveux rouges mettant le vêtement sur mon visage. Je hume son odeur plusieurs fois en fermant les yeux profitant de son odeur corporelle qui a imbibé le tissu. Putain, j'ai envie de la baiser ! Je baisse les yeux pour voir mon membre complètement dresser dans mon jogging qui malgré sont coter ce large est très serré. Elle m'excite vraiment la "Monkey. D". Dire que le gamin a dormi dans la même pièce qu'elle sans lui sauter dessus, comment il. Fait ? Je n'aurais jamais pu me retenir de la prendre par-derrière sans préparation ni lubrifiant. Je me relève le sexe gorgé de sang alors que mon corps est déjà en ébullition. Je me dirige directement vers le grand lit m'asseyant sur le côté gauche du lit pour soulager mon envie. Un sourire se dessine sur mon visage en pensant à la vague de plaisir qui est sur le point de m'envahir. Je baisse lentement mes dessous et empoigne mon membre d'une main ferme ce qui me procure un long frisson dans la colonne vertébrale, je lâche déjà un petit gémissement tout en commençant à caresser ma virilité qui durcit encore plus grâce aux mouvements répétés de ma main autour de celle-ci. - Bordel, une déesse comme elle, son cul ferme comme deux pommes bien mûres, ses seins dans lesquels j'ai envie de mordre à pleine dent ! Putain, je vais te violer à en perdre ma bite !! Je plaque instantanément ma main sur ma bouche par réflexe. Mon regard se dirige lentement vers mon pénis. Même si tout le monde connaît mes penchants sexuels pour la viole, la traque et j'en passe, si la petite m'entend ça risque d'être problématique. En plus de ça, je sais que je suis un fils de pute, c'est pour ça que je suis aussi dur en pensant à la violer par tous les trous. Mais c'est l'une des choses les plus bandantes. Imaginez son petit cul ligoter, les cuisses écartées face à moi, pleurant pendant que je fais entrer mon sexe en elle. Mon regard divague à moitié après mes pensées plus que stimulantes, je transpire à grosse goutte, mes joues sont certainement aussi rouges que mon pénis. Je redirige lentement ma main vers ma bite plus chaude et grande que jamais. Tout le sang de mon corps s'est dirigé vers mon attribut masculin. Je recommence lentement mes mouvements en pensant à cette salope. Je mords ma lèvre inférieure pour cacher mes gémissements, mon corps se réchauffe et ma main resserre sa prise sur ma batte, mes mouvements sont de plus en plus intenses ce qui les rend 100 fois plus savoureux, quelques gémissements de plaisir étouffer sorte de ma bouche. - Tout son corps m'appelle. Ma bite veut cette salope. Cette sale allumeuse, je lui brisais les côtes avec mes coups de bassin... Huh... Nnhhh putain, je vais lui mordre les tétons tellement fort qu'elle saignera, je veux l'empailler profond. Putain de merde ! qu'est-ce que c'est bon ghn- nuh tous mes muscles se contractent en même temps alors que mon corps commence à se cambrer face au plaisir, mon visage fixe le plafond comme-ci il était sur le point de se déshabiller. Mon membre frétille au creux de ma main alors que mes gestes brusques font s'écouler quelques gouttes de liquide qui vole et viennent se coller à mon torse humide et transpirant recouvert d'un pull noir. Le plaisir m'envahit dans un spasme tellement agréable que j'en perds mes mots, plus rien ne compte à part moi, ma bite et mon fantasme de la violer, le moment fatidique est proche, je sens que ça vient, c'est comme si une autre main était en train de me branler, une main de femme. Mon pénis est à deux doigts d'imploser. Je suis dans un état d'extase absolue, mes gémissements ne font que s'accentuer. Je vais jouir en pensant à cette salope et à son corps de déesse, mes fesses se contractent, mon corps sursaute, ma main est trempée et enfin, je ressens ma semence sur ma paume, ça soulage tellement, sentir quelque chose qui est à l'intérieur s'expulser de cette manière, se sentir libéré, quels pieds. Je regarde ma main recouverte de sperme et souris en me léchant les lèvres. Je vais la bouffer cette fille ! La bouffer comme un morceau de viande, c'est tout ce que je veux. Et faut qu'elle soit attachée ! Ouais. Je vais lui écarter les cuisses et la prendre à répétition. Maintenant, que j'y pense, il est pas mal son compère, muscler comme j'aime, un regard de tueur, en bref lui aussi ça pourrait être un bon second round. J'essuie ma semence sous l'oreiller de Kuroi avant de remettre le jogging noir du gamin et de me lever du lit. J'ai tellement hâte de la baiser. Je sens déjà mon érection dans le jogging rien qu'en y pensant. Je reprends mes esprits en respirant doucement, ce visage est certes très mignon et attirant, mais il ne me va pas du tout. Je pose ma main gauche sur mon visage et active mon fruit du démon faisant apparaître mon vrai visage. Un homme aux longs cheveux blonds, aux yeux verts avec une grande cicatrice sur le visage, mon corps reprend également, ça forme d'origine, je prends quelques centimètres, perds un peu de muscle et gagne en longueur de bite. La mienne est 10 fois meilleure. Le gamin que j'imite n'est même pas majeur. Est-ce qu'il a la majorité sexuelle ? Oh et puis qu'est-ce que j'en ai à branler ? Il est mignon, musclé, il a l'air délicieux, j'en ai rien à foutre de son âge. Je souffle en passant ma main dans mes cheveux. Il faut que je mette le plan à exécution. C'est le moment idéal, maintenant ou jamais. Je marche vers le bureau et m'assieds sur la chaise en prenant du papier et un stylo. C'est parti pour écrire le rapport trafiqué qui va justifier la mort de cette petite salope. Je commence à écrire pendant de longues minutes. Je suis pris d'inspiration, mais un bruit au niveau de la fenêtre me fait lever la tête. Je vois des pieds apparaître en haut du cadre de la porte. La seconde d'après je pose ma main droite sur mon visage et je prends l'apparence de cet homme, Shanks. La femme sur qui je viens de me branler entre dans la chambre par la fenêtre en l'ouvrant d'un coup de pied. Je ne m'attarde pas trop sur son corps qui entre dans la pièce. Elle passe derrière moi pendant que je fais comme-ci j'étais concentré sur mon faux rapport. - Tu ne le fait pas un peu tôt le rapport ? On a encore du temps et surtout, on n'a pas encore accompli notre mission. Je ne prends pas la peine de me retourner, aucun regard pendant que je continue à réfléchir à ce que je vais dire. - De quoi je me mêle. J'évite de porter attention à elle. Si elle n'est pas à ma merci dans une cellule les cuisses écarter, elle ne m'intéresse pas. Je ne veux pas apprendre à connaître une femme que je vais tuer. - Shanks. Pourquoi tes cheveux sont rouge ? C'est un problème, j'ai pris l'apparence du gamin d'origine sauf que je l'ai copié avant qu'il ne change de couleur de ses cheveux, j'ai donc les cheveux rouges. Mais d'un autre côté la marine ne m'a pas fournie beaucoup de temps pour le copier, j'ai dû suivre le bateau sur une île pour pouvoir toucher le beau garçon de la main droite, ça n'a pas été simple avec les hommes puissants qui l'entoure. - J'ai pris une douche et la couleur est partie. Meilleure excuse. - Euh, d'accord. Je me concentre de nouveau sur le rapport, je ne sais pas vraiment combien de temps est passé, mais je viens de terminer ma mascarade. Je n'ai plus qu'à le mettre sur le cadavre de l'allumeuse comme ça, leur équipage le trouvera. Je vais le relire quand même pour être sûr. Rapport de mission. Nous sommes le 4 mai. Nous... Avons échoué, nous n'avons pas réussi à faire la copie du Road Ponéglyphe, j'écris ce rapport à côté du cadavre de Kuroi...Elle est... Morte. Ils l'ont eu. Je l'ai perdu, je suis vraiment désolé, Roger, je suis désolé, mais j'ai échoué. Je ne peux pas aller plus loin comme ça. Ils l'ont torturé avant de la tuer et je n'ai rien pu faire. J...Je suis désolé.J'ai échoué, je ne mérite pas d'être dans l'équipage. Je devrais mourir. Je trouve que j'ai très bien réussi. Maintenant, je n'ai plus qu'à tuer le vrai Shanks et leur envoyer le cadavre. Il est drogué à la morphine et à l'anesthésie complètement KO. Il ne sera d'ailleurs meilleur à baiser dans cet état second. Je me retourne pour voir Kuroi allonger sur le lit, je sens mon sexe bouger dans mon pantalon quand je vois qu'elle a la tête sur l'oreiller où j'ai essuyé mon sperme. Bordel, ça m'excite ! Je me relève les mains dans les poches. J'ai mal partout ! Je suis resté trop longtemps assis le dos courbé. Mes yeux cherchent un endroit pour ranger le rapport qui sera sur la petite. Mon regard se pose finalement sur la cape rouge qui va avec la tenu rouge qu'elle a préparé pour demain. Putain. Elle va être tellement bandante dans cette tenue, j'ai choisi le meilleur jour. Je m'approche discrètement voyant bien qu'elle ne dort pas et met délicatement le rapport dans sa cape avant de partir dans la salle de bains, j'ai bien besoin d'une douche, je suis transpirant et j'ai du sperme sur le pull après ça, j'irais voir mon petit prisonnier.
