Sweet Secret.

nine

Le soleil se couchait, laissant apercevoir l'un des plus beau spectacle du cicle de la vie, je suppose. Cet endroit est décidément le mieux pour changer d'aire, étant tout d'un coup surmenée par mes émotions interne, cela faisait déjà quelques jours que je me rendais dans ce parc tranquille à la fin de mes cours pour y passer du temps et me changer les idées.

Surtout pour souffler un peu.

Vous n'y croirez pas lorsque je vous dirai que Mr. Chris alias Christopher Mills a refais son aparution dans mon lycée le jour de la rentrée de nos vaccances.

Soi-disant, qu'il avait commencé son anné en Algérie où il devait apprendre de la culture de son père pourtant, il a fallu que son père revienne pour gérer l'entreprise familiale *avais je pu entendre de la bouche de ses filles conlporteuses lorsque je passais au près d'elles.

Tout ceci m'importait peu a son arrivé, le pire c'est que à ses yeux je n'etait qu'une simple inconnue, je ne represente rien à chaque fois que son regard tombe sur moi, il est vide d'expression et sans interêt.
malgré le fait que nous nous coltinons depuis le primaire.

Serait ce a cause de cette nuit si marquante et palpitante qu'on ait eu a passé ensemble il y'a de cela des mois déjà?

Surement.

Toute cette routine commençait naturellement à me lasser encore une fois ma vie ne rime qu'à des bêtises. Ne voulant pas me retrouver dans la pénombre en beau milieu de ce parc, je me relève balançant mes jambes après m'être dépoussiérée jusqu'à la résidence Park dans la perspective de faire à manger pour deux bien que monsieur ait décidé de se faire très rare ces derniers temps... Je ne sais pour qu'elle raison Ou soit je pouvais tout simplement dire qu'il ne m' apprécie pas si et seulement si trois soirs après le depart de nos parents, il s'etait faufilé dans ma chambre.. .

Oui.

Flash back*

Il la regardait, elle couchée dans ses draps, sa respiration semblait entremêlée, lorsqu'elle s'échappait de bouche, sa bouche. D'un pas nonchalant, il se rapprochait du lit avant de doucement s'y assoir.

Elle ne lui parlait plus, ne lui regardait plus. Il n'aimait pas être ignoré, un peu le cas de tout les hommes. Peut-être parcequ'il avait très mal agit? Avait elle mal prit le fait qu'il ait appuyé ses lèvres sur les siennes ? Bien sûr à quoi pouvait il s'attendre.