Chapitre 7 | Valser

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Vendredi

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Vendredi

Le reste de la semaine passe relativement vite. Vera et moi passons notre temps à profiter de la piscine de l'hôtel, et quand elle doit aller à l'université, j'en profite pour travailler sur les posts que j'ai prévus pour les réseaux sociaux de Max.

Il est actuellement avec sa copine en vacances et il est un peu moins actif, et j'ai reçu quelques mails de sponsors qui exigent qu'il poste quelqu'un chose afin d'honorer les contrats qu'il a signé. Je lui envoie un message pour lui rappeler, en espérant qu'il ne va pas m'ignorer.

Je décide d'aller prendre l'air sur le balcon, la mer bleue et cristalline me détend un peu, j'essaye de ne pas trop repenser au dîner fatidique de lundi, quand soudain un appel me sort de ma bulle. C'est un numéro inconnu et je n'ai pas trop envie de répondre, mais on ne sait jamais, ça pourrait être important.

- Allô ?

- Eleanor, j'ai enfin réussi à obtenir ton numéro, la voix rauque de Charles me répond.

- Charles, bonjour. En quel honneur m'appelle-tu ?

- Je veux que tu me retrouves cet après-midi dans le hall de l'hôtel, je viendrais te chercher.

- Je crains que ça ne va pas être possible, je suis occupée et il est hors de question que je sois vue en ta présence, encore moins en pleine journée, j'explique.

- Ah, comment aurais-je pu oublier que tu étais la sœur de Max ? Dit-il, en rigolant.

- Je dois te laisser, bonne journée, je termine avant de raccrocher.

Le gala est ce soir, donc je ne sais pas pourquoi il m'appellerait, il est impératif que je l'évite le plus possible et qu'on ne soit pas vus par les paparazzis. La porte d'entrée de la suite s'ouvre en grand pour laisser place à Vera, qui semble cacher quelque chose.

- Eleanor, on va faire du shopping cet après-midi, on va te trouver une magnifique robe pour le gala.

- J'ai du travail V, et puis je n'ai pas besoin de robe, je peux toujours t'en emprunter une.

- Hors de question ! Tu dois être époustouflante surtout qu'il y aura un certain monégasque, elle accompagne sa réponse d'un clin d'œil.

- Je ne cherche pas à impressionner Charles et il est impératif que tu sois discrète, si quelqu'un a vent de cette histoire, je risque d'être mise dans une délicate position.

- Eleanor, me dit-elle les sourcils froncés, tu sais très bien que je ne ferai rien pour te compromettre. J'aime juste te voir un peu plus libérée et heureuse.

Te succomber | Charles LeclercOù les histoires vivent. Découvrez maintenant